Il y a quelques jours, nous évoquions les propos ignominieux de Michel Cymes contre Dieudonné. Cet extrémiste juif officiant sur France Télévisions où, entre deux propos graveleux et vulgaires, il vante l’avortement et l’euthanasie ou relativise l’effet des drogues avec l’un des ses coreligionnaires professionnel de la santé invité pour l’occasion, proposait alors, fidèlement à l’hystérie maladive propre à son groupe ethnoculturel, d’enfermer dans des hôpitaux psychiatriques les humoristes qui lui déplaisent (cf le Journal du 22 janvier 2015).
Il a profité de la grande opération d’escroquerie organisée autour de la commémoration de la prise du camp de travail d’Auschwitz par les armées criminelles soviétiques en 1945 pour publier un livre, évidemment consacré au seul sujet permettant d’être édité en France : la Seconde Guerre mondiale et les malheurs – supposés et exclusifs – des Juifs.
Dans Hippocrate aux Enfers, il prétend que l’université de Strasbourg abrite les restes de coupes anatomiques constituées durant la guerre de 86 israélites. Que des millions de Blancs soient aujourd’hui assassinés dans le ventre de leurs mères ne l’émeut pas plus que le fait que les corps d’innombrables Européens ont été utilisés et sont utilisés par les apprentis médecins à travers le monde. Mais que, possiblement, prétendument, des restes de 86 Juifs, nécessairement purs et supérieurs pour Michel Cymès, soient également utilisés, lui est intolérable.
Le très « scientifique » Michel Cymes n’a procédé à aucune analyse avant de lancer ses accusations et ne possède aucune preuve de ses allégations ; il s’appuie sur un seul et unique témoignage, celui d’un Juif, le psychiatre (!) Georges Federmann, président d’une obscure association mémorielle. Or, après le déclenchement de la polémique, ce dernier a tenté de minimiser son témoignage et accuse son coreligionnaire de « trahison » :
« Là où Cymes m’a trahi, c’est qu’il laisse entendre qu’il resterait des restes des 86 »
précise le psychiatre, selon qui il n’y aurait pas les restes de 86 étrangers, mais un creux axillaire, une main et une coupe transversale de la tête dans des bocaux.
« Depuis septembre 1945, il n’y a donc plus aucune de ces parties de corps à l’Institut d’anatomie et à l’université de Strasbourg »
a confirmé de son côté l’université de Strasbourg.
Ce n’est pas la seule erreur du livre, dont les critiques ont dénoncé l’absence de sources comme de références bibliographiques. « Il contient de nombreuses erreurs factuelles grossières » précise Wikipédia, énumérant quelques-unes des affabulations de l’étranger de France Télévisions.
Il qualifie ainsi le chercheur August Hirt de « vieux strasbourgeois » alors que le médecin national-socialiste est né à Mannheim et n’était jamais venu en Alsace avant la guerre ; le faussaire parle également de « la réputée faculté de médecine de Strasbourg est entièrement dévouée à la médecine nazie » alors que la faculté de médecine de Strasbourg avait été déplacée à Clermont-Ferrand en 1939. Notons encore des erreurs de chiffres, comme dans les dates, par exemple à propos d’un « rapport sur l’obtention de crânes de commissaires bolchéviques juifs » daté par Michel Cyms de 1941 alors qu’il date du 9 février 1942. Il écrit « Bogaert » au lieu de « Boogaerts » ou « Sirk » au lieu de « Sick », prétend que Josef Kramer était présent au procès de Nuremberg alors qu’il avait été torturé puis assassiné par les armées britanniques dès 1945.
Quel infâme article! Bravo la liberté d’expression.