Propos recueillis par un journal local auprès de Karine Vallée, maire de Pont-Authou (Normandie), et de son adjointe Lucienne Sanchez.
« Ils cassaient vraiment pour le plaisir, sans parler des seaux d’excréments posés devant le bureau du camping. […] Ce groupe-là était vraiment mal intentionné. Malgré mes courriers, personne ne me répondait. Ni la préfecture, ni les gendarmes. Les gens du voyage étaient d’autant moins prêts à communiquer qu’ils n’acceptaient pas qu’une femme puisse être maire. […] Ils ont fait fuir les clients du camping. Cela nous [NDJN : au contribuable déjà pressuré par le gouvernement par ailleurs justement pour encourager ces comportements] a coûté 20 000 euros au total je pense »
La maire ne précise pas que les colons ont également tiré en direction du camping. Au bout de plusieurs semaines, des gendarmes finissent par intervenir. Les Gitans s’en vont – non parce que les gendarmes « interviennent », mais parce que l’été est fini et qu’ils ont enrichi la région de leur diversité autant qu’ils le pouvaient. Ils laissent une zone totalement dévastée.
« Pour éviter que les gens du voyage ne reviennent sur le terrain de foot, nous avons mis en place un talus tout autour, sur lequel nous avons planté 175 arbustes »
annonce-t-elle. L’opération a coûté plusieurs milliers d’euros à la commune. Une première trentaine d’arbres a été arrachée dans la nuit du 18 au 19 décembre, une septantaine d’autres dans la nuit du 8 au 9 janvier. Ces dernières déprédations ont coûté 1 000 de plus au contribuable.
« C’est décourageant. On essaie de faire des choses et certains [sic] les détruisent aussitôt. Ces incivilités [sic] nous coûtent de plus en plus cher et l’État donne de moins en moins d’argent aux communes »
poursuit la maire de la ville.
« Aujourd’hui, il faut vraiment être courageux pour être maire car c’est une fonction de plus en plus compliquée et fatigante »
achève son adjointe, sans a aucun moment remettre en cause leur République qui seule est responsable de la situation en ayant criminalisé les patriotes qui alertaient les Français sur les maux qui rongent le pays et en ayant favorisé depuis 70 ans toutes les forces de mort, de décadence et d’invasion contre les Français.
Ces faits sont loin d’être nouveaux et isolés : il y a quelques années, sous le gouvernement du « terrible » M. Sárközy, en pleine journée, des Gitans avaient organisé une razzia contre la petite commune de Saint-Aignan après la mort d’un criminel. Des arbres avaient été abattus, plusieurs voitures de Français avaient été brûlées, des abribus avaient été détruits et des commerces attaqués ; la gendarmerie avait été attaquée, les étrangers y ayant commis diverses dégradations, sans la moindre réaction des autorités.