L’ancien premier ministre Raymond Barre avait expliqué combien
« le lobby juif est capable de monter des opérations indignes ».
L’ex-président du Conseil constitutionnel complice de la République des comptes irréguliers de campagne présidentielle, Roland Dumas, a lui dénoncé leur Premier ministre étranger « sous influence juive » :
-Manuel Valls est-il sous influence juive ?
-« Probablement, je peux le penser ».
-Sous l’influence de sa femme, la violoniste Anne Gravoin ?
-« Pourquoi pas ! Pourquoi ne pas le dire ! ».
Le Système cherche désormais, tous azimuts, des boucs émissaires qui inspireraient ces propos, pour continuer de dissimuler que le problème est consubstantiel audit Système.
La preuve par Valls, quand même !
Mais ils n’ont pas eu l’honnêteté de reprendre les propos décousus, prétentieux et nombrilistes tenus par Manuel Valls au micro de la radio Judaïca, à Strasbourg en 2011 :
« Là moi, ce que je peux vous dire, je ne parle que pour moi, euh, euh, la lutte contre l’antisémitisme, je vous dis ça pour des raisons politiques, historiques, ma famille est profondément liée à Vladimir Jankélévitch qui a écrit le plus beau livre qu’on puisse écrire (sic) sur l’imprescriptible et sur la Shoah.
Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël, quand même !
Donc je ne viens pas ici pour recevoir des leçons de brevet de lutte contre l’antisémitisme. Qu’il y ait des ambiguïtés dans la société française. C’est pas ce que je voulais vous dire, mais comme j’ai la parole, je la garde et je manifeste un peu d’habileté (sic). Mais, en tout cas, qu’il y ait plus que de l’ambiguïté dans la société française, dans de nombreux cercles, à gauche comme à droite, évidemment ! C’est pour ça qu’il faut être impitoyable, clair sur ces questions, bien évidemment. »
Dumas le « récidiviste »
Cette intervention ne contredit pas les affirmations d’un Roland Dumas en récidive de dissidence, après avoir clairement exprimé que la guerre menée contre la Syrie a été organisée par l’entité sioniste en Palestine, depuis l’Angleterre.
Mais ce dernier aurait pu, cette fois-ci, aller jusqu’au bout de l’opération vérité en dévoilant la nature intrinsèque de leur République, au lieu de n’incriminer que la simple influence communautariste de la seconde épouse de leur Premier ministre.
Diversion
Comme toute la vérité n’a pas été dite, la diversion s’est mise en place, consistant à inventer d’autres raisons pour faire accroire que les propos de l’ancien ministre des Affaires étrangères ne seraient pas du tout fondés, accusant du barbarisme « complotistes » – c’est-à-dire de paranoïdes obsessionnels qui verraient des complots partout, et surtout là où il n’y en aurait pas – ceux qui auraient prétendument inventé l’idée, par lui énoncée et confirmée, par exemple, en fêtant le Nouvel An juif avec sa femme chez Marek Halter, que Manuel Valls serait mû par une alliance israélite.
Bien entendu, aucun des caciques de leur sphère politico-médiatique n’ira jusqu’au bout du raisonnement pour déclarer que, femme juive ou pas, Manuel Valls n’avait guère le choix s’il voulait bénéficier de la complaisance médiatique.
« Précédents »
Rappelons-nous qu’antérieurement, face à Lionel Jospin – lui aussi marié à une israélite, pour la seconde fois après avoir eu trois enfants d’une première – mais à peu près sûr de perdre lamentablement en tant que Premier ministre sortant d’une « cohabitation », le corrompu Jacques Chirac avait choisi de trahir les Français, alors qu’il n’en avait même pas besoin pour être élu, pour être le candidat favorisé par leurs médias et ne même plus avoir à faire campagne dans l’entre-deux tour face à Jean-Marie Le Pen.
M. Chirac s’était ainsi engagé à accuser vicieusement la France d’une histoire vue sous un angle très flou, absolument manichéen et sciemment manipulateur, lui, l’ancien vendeur de L’Humanité (sic) qui a voté contre la peine de mort « au nom du droit à la vie »… des criminels, mais pas de leurs victimes innocentes !
Même l’opportuniste à tendance mégalomaniaque François Mitterrand – qui, pour l’avoir vécue, connaissait l’histoire de France autrement que par leurs manuels scolaires ou leur bureaucratique École nationale d’administration (ÉNA) – s’était refusé à cette infamie, ce malgré une lucidité largement entamée par les souffrances de l’âge et du traitement d’une longue maladie bientôt fatale, et même face à l’impudique insistance de leur journaliste Jean-Pierre Elkabbach.
le lamentable Chirac est une des hontes de ce pays, que n aurait il pas fait pour sa « carriere » ?