Il y a quelques jours, Alexandre Gabriac a écopé de deux mois de prison ferme pour avoir incité, selon l’esprit malade de ses accusateurs, à une manifestation interdite. Le jour de cette prétendue « manifestation » interdite, il avait été très brutalement attaqué par des flics républicains aux ordres des ennemis de la France, alors qu’il dégustait une bière dans un bar avec un ami. Les juges antifrançais lui ont néanmoins infligé la très lourde sanction de deux mois de prison ferme, accompagnée d’une amende de 4 000 euros.
L’extrémiste Alain Pojolat était lui poursuivi non pas pour des manifestations n’ayant jamais existé que dans le cerveau malade d’enquêteurs, mais pour la mise en œuvre de deux rassemblements interdits les 19 et 26 juillet qui non seulement ont bien eu lieu, mais qui se sont soldés par des émeutes d’une violence rarement vue. Agressions, vols, incendies volontaires, avaient marqué ces manifestations pour la Palestine (sic), en réalité simple exutoire pour les racailles étrangères et marxistes unies pour étancher leur soif de destruction.
Contrairement à la manifestation dont était accusé Alexandre Gabriac, chacun a pu constater la réalité du maintien de ces rassemblements interdits. Chacun a pu constater la haine des manifestants contre la France, ses institutions, ses policiers.
Pourtant, le cofondateur du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) a été relaxé hier en appel comme il l’avait été en première instance, alors même que non seulement il avait déclaré en son nom ces rassemblements, mais il avait encore lui-même averti qu’il les laisserait se dérouler malgré les interdictions : « ce n’est pas à moi de me charger de faire respecter cette décision ».
Le 19 juillet, dans le quartier envahi de Barbès, 17 policiers avaient été blessés et seules 44 racailles étrangères avaient été interpellées.
Le 26 juillet, une douzaine de policiers avait été blessée ; 70 racailles avaient été arrêtées, mais aucune n’a été condamnée pour participation à une manifestation interdite.
Le jour de la manifestation interdite des nationalistes, il n’y avait eu ni blessé, ni dégât.
Une fois encore, la justice de leur République démontre qu’elle prend systématiquement le parti des criminels contre les innocents, des délinquants contre les victimes, de l’anti-France contre la France.
Je ne suis pas Charlie. Je ne suis pas un mouton.
Je suis un lion!
Je suis nationaliste.
Je suis Alexandre Gabriac.
Un jour viendra où les traîtres paieront,faïlala
Qu’ils profitent de leur situation pour le moment,toute bonne chose(de leur point de vue) a une fin.
Nous,nationalistes,ne pouvons pas laisser notre pays disparaître,nous avons une dette vis à vis de nos aÏeux et une responsabilité vis à vis des générations futures.
Nos sociétés européennes sont pour les siècles futures un exemples,jusqu’où l’homme peut descendre dans l’abjection,la vilenie et la bassesse…pour le moment.
Les peuples vont se réveiller de cette léthargie dans laquelle les à plonger nos gouvernements depuis 1945.
L’homme blanc n’est pas mort à Stalingrad comme disait Céline…nous allons infirmer sa prophétie.
Que les Dieux m’entendent et que par Wotan,Thor et Balder,nous sauvions la France.
Qui vive? FRANCE!
A cette société matérialiste opposons lui l’Esprit.
Y’a quand même trop de Palestine et israel en France, je trouve. Et pas mal de pognon du Kremlin également, sans parler des ‘States. Et ces derniers n’achètent même pas l’fromage…