Le gouvernement d’occupation, qui a validé l’arrivée en France en 70 ans d’environ 15 millions d’étrangers non-Européens, y compris d’innombrables terroristes, tueurs et violeurs, vient officiellement de rejeter une demande d’asile, celle de Julian Assange.
Ce dernier est le fondateur de Wikileaks, association et sites internet qui ont diffusé auprès du public des documents sensibles, parfois en collaboration avec d’importants médiats internationaux, comme Le Monde et 20 Minutes en France.
Actuellement réfugié dans l’ambassade équatorienne à Londres, il est recherché par la Suède et visé par un mandat d’arrêt international pour des agressions sexuelles contre deux femmes. Il est également recherché par plusieurs pays pour avoir diffusé des documents considérés comme secrets et certains voient dans les accusations d’agressions sexuelles une manipulation pour permettre des procès pour l’existence même de Wikileaks.
« Compte tenu des éléments juridiques et de la situation matérielle de M. Assange, la France ne peut pas donner suite à sa demande. La situation de M. Assange ne présente pas de danger immédiat »,
a affirmé l’Élysée, qui ne voit pourtant aucun problème à accorder « l’asile » à des millions de colons dont certains déboursent des fortunes – et ont donc clairement une « situation matérielle » satisfaisante – pour quitter leur pays et traverser la moitié du monde avant de violer nos frontières.