Depuis de longs mois, des étrangers doublement délinquants occupent illégalement un immeuble à Nantes, dans le quartier Chantenay. Selon des extrémistes négriers qui facilitent le séjour irrégulier de ces clandestins, le bâtiment aurait été touché par un ou deux jets de cocktail molotov dans la nuit de samedi à dimanche sans faire de dégât, ni de blessés.
Les délinquants n’ont pas hésité à témoigner dans la presse, rivalisant de propos larmoyants et victimaires.
« Celui qui a fait ça, il a voulu nous tuer »,
a ainsi prétendu l’un d’eux. Or, tous ces individus sont des clandestins. Si leur vie était menacée, nul doute qu’ils auraient immédiatement demandé asile à un pays « sûr », voire même qu’ils seraient rentrés chez eux. C’est ainsi qu’à Chypre, plusieurs prétendus réfugiés ont annoncé leur volonté de rentrer au Liban plutôt que de supporter l’accueil dans un camp britannique. À Nantes, il n’en a rien été, forts du soutien du grand patronat, du gouvernement et des extrémistes, unis comme jamais.
La justice du gouvernement d’occupation, qui laisse le pays être envahi, se développer les squats et camps illégaux tout autant que les trafics en tout genre – drogue, prostitution, etc. – liés à l’invasion, a immédiatement ouvert une enquête.
Dénonciation calomnieuse, accident, règlement de comptes entre gangs criminels, ou acte de résistants, aucune piste ne semble privilégiée.
Cela n’a pas empêché plusieurs dizaines d’extrémistes négriers – 300 selon la police –, anarchistes, marxistes, ou gauchistes, de manifester leur soutien aux délinquants mardi soir.