Sommaire
- En bref
- Hollande fait appel à l’UE
- Censure²
- Dictature européiste (aussi) sur les armes
- Tragédie
- 6e Colonne armée de colons républicains
- 168 perquisitions nocturnes, 23 interpellations, 31 armes saisies : les inutiles mesurettes se multiplient
- Un hôtel utilisé par les passeurs à Calais perquisitionné
- Art de la rue
- Samy Amimour, chauffeur RATP, tueur en Syrie, laissé libre de tuer en France
- L’organisateur des attentats serait un colon à papiers belges du nom d’Abdelhamid Abaaoud
FRANCE
Un collégien de 12 ans abattu en Alsace
Un enfant scolarisé en classe de 5e a été tué par balle lundi à l’extérieur du collège de Hégenheim (Alsace) au moment où des élèves pénétraient dans un bus. Un autre élève, âgé de 13 ans, a été arrêté ; il se trouvait en possession d’une arme à feu. La justice n’a pas confirmé qu’il s’agissait d’un différend entre élèves.
À lire
-« Des experts de l’ONU alertent sur de possibles exécutions sommaires commises par les forces israéliennes ». (LOLJ)
-« Toute l’histoire sur la photo raciste sur fond du drapeau français ».
-« Putin: ISIS financed from 40 countries, including G20 members » [« L’ÉI est financé depuis 40 pays, y compris des membres du G20 » (Poutine)]. (RT)
-« Italie : une maire refuse de serrer la main à une étudiante noire ». (MetroNews)
SPÉCIAL ATTENTAT
En bref
* Planque découverte à Bobigny
Brahim Abdeslam a loué un appartement à Bobigny, où les policiers ont découvert des téléphones portables et des puces. Il a été localisé grâce à l’exploitation du GPS de la Seat Leon.
* Traque de Salah Abdeslam
Des rumeurs ont fait état de la présence de Salah Abdeslam en Lorraine hier, puis en Alsace cette nuit. Une opération était en cours dans le quartier envahi du Neudorf à Strasbourg au moment de la diffusion de ce journal [03:52].
* Deux policiers ont abattu un terroriste au Bataclan
Deux policiers, un commissaire de la brigade anti-criminalité (BAC) de Paris et son chauffeur, sont intervenus peu avant l’intervention de la BRI et du RAID au Bataclan, abattant l’un des terroristes.
* Censure républicaine
Bernard Cazeneuve s’est vanté d’avoir fait censurer en un an 87 sites qualifiés de « terroristes » (sic) islamistes. Ces mesures sont prises hors de tout cadre légal et menacent à tout moment les sites nationalistes comme Jeune Nation, déjà visé par des plaintes et des mesures de rétorsion de son hébergeur.
* Sept attentats évités en Grande-Bretagne
Le premier ministre britannique a affirmé que sept attentats (« de moindre envergure » que ceux de Paris) avaient été évités les six derniers mois. Il a annoncé un renforcement des services de renseignements par l’embauche de 1 900 personnes.
* Représailles
Un Français aurait ouvert le feu sur un Turc à Cambrai dans la nuit de samedi à dimanche depuis une voiture dans laquelle se trouvaient deux autres personnes. Un drapeau bleu blanc rouge était déployé. La justice d’occupation prétend que l’individu a été choisi à cause « de sa couleur de peau ». Le tireur présumé s’est suicidé peu après.
* Boucherie
Un lieu de culte islamiste d’Oloron et une boucherie communautariste ont été redécorés dans la nuit de vendredi et samedi, repeints notamment avec des svastikas et un message « France réveille toi ! », accompagnés d’une référence à un héroïque groupement ayant combattu entre 1941 et 1945 notamment sur le Front de l’Est.
* Réaction
Un braquage s’est produit dans un bar-tabac de Manosque (Provence) lundi durant la « minute de silence » observée après les attentats de Paris. Le criminel armé d’une arme automatique s’est fait remettre la caisse avant de s’enfuir sans être arrêté.
* #Pasdamalgame
« Les gens qui fuient la Syrie sont ceux qui souffrent le plus du terrorisme, ce sont les plus vulnérables. Il est très important que nous ne fermions pas nos coeurs aux victimes d’une telle violence […] ça commence par ne pas faire de lien entre la question des réfugiés et celle du terrorisme ».
Barack Obama.
* Avertissement
« Nous savons que l’ÉI [est connu] pour laisser de telles fausses pistes pour politiser et radicaliser la question des réfugiés en Europe. […] Il n’y a aucun lien prouvé [sic] entre le terrorisme et les réfugiés sinon peut-être un seul : les réfugiés fuient en Syrie les mêmes personnes que celles qui sont responsables des attentats à Paris »,
a déclaré le ministre de la Justice allemand Heiko Maas lundi. Au même moment, le procureur de Paris confirmait que l’un des tueurs de Paris était bien un Syrien enregistré lors de l’invasion de l’Europe en Grèce.
* Deux détenus en Belgique
Les autorités belges ont annoncé le placement en détention de deux des islamistes arrêtés samedi à Molenbeek-Saint-Jean et leur inculpation pour participation à un attentat terroriste et participation aux activités d’un groupe terroriste. Cinq autres individus, dont le frère de deux des tueurs de Paris, ont été relâchés.
Hollande fait appel à l’UE
Les autorités devraient négocier avec l’Union européenne (UE) une large suspension des mesures de libre circulation dans l’espace Schengen par la fermeture de la plupart des frontières internes de l’UE. Jusqu’ici, des mesures similaires n’avaient été prises que de manière restreinte, circonscrites à de petites régions à l’occasion d’événements programmés comme les sommets mondialistes du G20 ou des rencontres de football.
Le gouvernement demandera ce mardi l’activation des clauses de l’article 42.7 du traité européiste. Le texte affirme qu’en cas d’attaque d’un État membre, s’il en fait la demande, les autres pays lui « doivent » aide et assistance « par tous les moyens en leur pouvoir, conformément à l’article 51 de la charte des Nations unies ». L’aggravation de la situation le conduirait à en appeler à l’article 222 qui implique qu’un État membre « estime après avoir exploité les possibilités offertes par les moyens et les instruments existants, tant au niveau national qu’à celui de l’Union, que la situation manifestement dépasse les capacités de réaction dont il dispose », conduisant à la mobilisation de tous les moyens nécessaires, y compris militaires.
Rien n’a été indiqué concernant les articles 4 et 5 du traité de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) relativement similaires.
Censure²
Nicolas Sárközy veut aller lui bien plus loin, en condamnant les personnes qui ne feraient que lire les sites islamistes.
« Sur Internet, toute personne convaincue de consulter les sites djihadistes doit être considérée comme djihadiste, ce doit être reconnu comme un délit »,
a affirmé l’israélite.
Entre autres, n’importe quel journaliste qui chercherait à obtenir des informations sur ou diffusées par des groupes terroristes pourrait être visé. Une mesure doublement absurde : en l’absence de véritable décision politique – comme l’expulsion de tous les étrangers –, elle ne peut avoir aucun impact réel sur la situation sécuritaire en France ; de plus elle ces mesures peuvent être contournées avec une extrême facilité, comme par l’emploi d’un logiciel ou d’un navigateur comme Tor.
Il s’agit, comme la totalité des propos proférés par les politiciens depuis vendredi, de vaines promesses : Nicolas Sárközy, alors président de leur république avait annoncé la mise en vigueur de cette mesure. C’était en mars 2012.
« Toute personne qui consultera de manière habituelle des sites internet qui font l’apologie du terrorisme, ou véhiculant des appels à la haine ou à la violence, sera puni pénalement »,
lançait-il alors. Comme dans bien d’autres domaines, il n’avait rien fait.
Dictature européiste (aussi) sur les armes
Il aurait suffi d’une vingtaine de citoyens armés pour éliminer rapidement les tueurs du Bataclan, moins encore pour mettre fin au périple des tueurs en Seat Leon. Malgré cela, l’Union européenne (UE) a annoncé sa volonté de s’attaquer non aux islamistes, non à l’invasion, mais aux armes à feu, comme si les armes étaient responsables de la situation, et non l’immigration et leur République.
Comme dans d’autres domaines, les différents gouvernements veulent imposer à tous les pays des règles uniques liberticides. Les politiciens, incapables de mettre fin aux trafics d’armes qui pullulent dans les cités occupées, veulent empêcher les citoyens de s’armer. Des lois conduisant à la complexification des règles permettant l’acquisition et l’enregistrement d’armes sont étudiées.
Un autre volet concerne la démilitarisation des fusils d’assaut notamment : plusieurs armes utilisées lors des attentats de janvier avaient été remilitarisées.
Normalité
Le troisième des frères Abdeslam, Mohamed, a été relâché. Cet employé municipal habitait avec les deux terroristes, mais affirme avoir tout ignoré de leur activité, des préparatifs, n’ayant pas de rapports avec ceux dont il partageait le toit. « Nous ne savons pas où il se trouve actuellement. Nous ne savons pas, avec les tensions qu’il y a actuellement, s’il ose [sic] se rendre à la justice », a-t-il déclaré.
« C’est un garçon tout à fait normal. Nous sommes une famille ouverte. Nous n’avons jamais eu de problème avec la justice. Vous devez comprendre aussi que, malgré la tragédie, mes parents sont sous le choc »,
a-t-il ajouté. Son frère Salah, en fuite, est accusé d’avoir loué les voitures du commando, fabriqué les gilets explosifs, participé au mitraillage des bars et restaurants et laissé leur autre frère, Brahim, devant un bar dans lequel il s’est fait exploser.
6e Colonne armée de colons républicains
« Il faut sécuriser le territoire dans sa composante humaine et pas seulement matérielle. […] Au sein des musulmans, il faut construire une colonne républicaine pour les affronter [les islamistes]. […] Si dans notre pays nous passons notre temps à nous demander c’est la faute à qui, on n’avancera pas […] Je pense qu’il n’est pas impossible de contre-attaquer. Des jeunes issus de ces quartiers n’en peuvent plus, ils ont envie d’être engagés, qu’on leur donne une chance de combattre ces gens-là. Nous avons une armée républicaine potentielle sur le territoire »,
Malek Boutih.
« Je ne crois pas la théorie qui consiste à expliquer que c’est l’oppression de la société française qui aurait radicalisé ces jeunes. Je ne crois pas au déterminisme social et biologique. […] Il est clair que l’islam est une religion qui s’est constituée autour de la notion de territoire, donc elle doit apprendre à vivre hors de ce territoire. On ne peut pas considérer que le port du voile est normal. […] J’en ai marre du procès d’intention qui dit que la France est toujours raciste et les autres toujours victimes »,
a-t-il ajouté.
168 perquisitions nocturnes, 23 interpellations, 31 armes saisies : les inutiles mesurettes se multiplient
Les premières mesures liées à l’état d’urgence ont été mises en pratique dimanche et dans la nuit de dimanche à lundi à travers la France : 168 perquisitions administratives ont été réalisées à travers 19 départements, essentiellement dans des quartiers envahis. Par ailleurs, 104 assignations à résidence ont été décidées.
Les perquisitions, réalisées sans mandat et hors de tout contrôle judiciaire, ont mené à 23 interpellations ; 31 armes, dont quatre armes de guerre, notamment un lance-roquette à Lyon, ont été trouvées, ainsi, toujours à Lyon, que des gilets pare-balles, des insignes de police, plusieurs pistolets et un fusil d’assaut. Les forces de l’ordre ont saisi différents objets, dont des ordinateurs, des téléphones et aussi de la drogue et de l’argent.
Les villes concernées sont Paris et Île-de-France occupée comme Bobigny, Marseille, à Lyon et dans le secteur, à Villefranche-sur-Saône, Grenoble, au Mirail à Toulouse, Montpellier, la cité islamisée de Lunel, des villages en Aveyron, Avignon. Dans cette dernière ville, un individu arrêté était porteur d’un téléphone activé en Syrie et en Belgique il y a peu.
Dans la région grenobloise, les enquêteurs ont arrêté six islamistes de 22 à 55 ans, saisi des armes, dont un fusil d’assaut et trois pistolets automatiques, ainsi que 35 grammes de cocaïne, 100 grammes de résine de cannabis et 28 000 euros en petites coupures.
Un hôtel utilisé par les passeurs à Calais perquisitionné
Une importante opération de police s’est produite à l’hôtel Le Bel Azur, à Calais. Elle a mobilisé de très importantes forces de police, huit véhicules et vingt-cinq hommes. Cet hôtel est utilisé de manière habituelle par des réseaux criminels, ceux notamment spécialisés dans les trafics d’êtres humains. Ces activités se sont développées ces derniers mois sans réaction, et avec la complicité, des autorités.
La perquisition administrative a été opérée dans le cadre de l’état d’urgence, après les attentats qui ont impliqué plusieurs « réfugiés ».
Art de la rue
Le tueur Omar Ismaïl Mostefaï a participé à des tournages de clips de rap dans les cités occupées qu’il fréquentait, comme dans la vidéo ci-dessous, datant de 2009.
Samy Amimour, chauffeur RATP, tueur en Syrie, laissé libre de tuer en France
Un autre terroriste du Bataclan a été identifié. Il s’agit de Samy Amimour. Maghrébin à papiers français né à Paris le 15 octobre 1987 et longtemps occupant de Drancy, l’individu était âgé de 28 ans. Il s’agit d’un étranger « bien intégré », chauffeur de bus à la RATP. Malgré cela, cet islamiste avait rejoint la Syrie en 2013 après avoir échoué à rallier le Yémen l’année précédente. Il était pourtant lors de son départ mis en examen et objet d’un contrôle (sic) judiciaire dans le cadre d’une enquête pour terrorisme. En Syrie, il avait adopté le nom d’Abu Hajia.
Non seulement leur République l’a laissé partir pour la Syrie, mais elle a encore laissé revenir en France un islamiste transformé en criminel entraîné et prêt à tout. Il a pu vivre en France depuis son retour en Syrie alors qu’il était visé par un mandat d’arrêt international.
L’organisateur des attentats serait un colon à papiers belges du nom d’Abdelhamid Abaaoud
Abdelhamid Abaaoud est un islamiste impliqué dans de multiples affaires criminelles et terroristes en Belgique. Le criminel, connu comme Abou Omar el-Baljiki, avait, après un premier séjour en Syrie en 2013, envahi à nouveau la Belgique à la fin de cette année-là. Il était retourné quelques mois plus tard en Syrie, avec son frère de 13 ans, considéré comme enlevé – affaire dans laquelle leur père a porté plainte. Il est apparu dans plusieurs vidéos de l’État islamique (ÉI, ed-dawla el-Islāmiyya), où il se vante de ses crimes et s’exhibe aux côtés de cadavres.
Il a vécu avant ces événements à Molenbeek, où il a côtoyé les frères Abdeslam. Il a affirmé être retourné encore en Belgique depuis.
Il est activement recherché depuis janvier dernier et le démantèlement d’une cellule terroriste en Belgique. Cette dernière aurait été empêchée de passer à l’action quelques jours après les attentats commis à Paris à cette époque. Il est depuis également recherché après avoir été condamné à vingt ans de prison. Il a depuis affirmé être retourné en Syrie.
Les policiers français ont déterminé qu’il était en contact avec Mehdi Nemmouche ; ils le soupçonnent d’être impliqué dans l’organisation de l’attentat de Villejuif, qui avait échoué après que Sid Ahmed Ghlam a assassiné Aurélie Châtelain, ainsi qu’un autre projet d’attentat contre une salle de concert début août et contre le Thalys ce même mois. Il serait l’une des cibles des frappes françaises en Syrie.
CRISE DE L’INVASION
Contre le terrorisme islamiste, la mosquée el-Azhar veut former des imams en France
Le lien entre immigration et terrorisme n’a jamais été aussi clair aux yeux de tous. Le caractère mortifère des sociétés multiculturelles est devenu une évidence. Mais si l’un des plus importants centres islamistes mondiaux, la mosquée el-Azhar, s’est invitée dans le débat, ce n’est pas pour rappeler ces évidences.
« En premier lieu, le remède doit être intellectuel, pas seulement sécuritaire. […] Le problème provient de ceux qui contrôlent le discours religieux, nous devrions nous assurer qu’ils n’aident pas à propager le terrorisme. […] Vous devez ouvrir la voie à des imams modérés, et Al-Azhar y est prête. […] Et si nous ne pouvons pas guider les terroristes vers une meilleure voie, nous devons au moins protéger les autres musulmans »,
a déclaré le vice-grand imam d’el-Azhar, Abbas Shoman, proposant que le principal centre sunnite mondial « forme des imams, ou aille les former en France ». À cause de leur République, les Français n’auraient le choix qu’entre l’islamisation forcée et violente et l’islamisation forcée et (pour l’instant) non-violente…
Les Canadiens refusent l’arrivée de ‘réfugiés’
Les autorités canadiennes ont laissé grandes ouvertes les portes à l’immigration de masse ces dernières années. L’élection du libéraliste Justin Trudeau ne semblait pas devoir arranger la situation : une partie de son programme portait sur la venue de 25 000 ‘réfugiés’ syriens. Les attentats du 13 novembre ont ravivé de violents souvenirs chez les Canadiens, victimes ces derniers mois de plusieurs attaques terroristes.
Outre les réactions de la population – une pétition sur les réseaux sociaux a réuni des dizaines de milliers de signatures –, des dirigeants politiques sont intervenus auprès du gouvernement pour annuler le projet.
« Je comprends que l’immense majorité des réfugiés fuient la violence et les massacres et ne menacent en rien personne. Cependant, si jamais un petit nombre d’individus voulant faire du tort à notre pays était en mesure d’entrer au Canada en raison d’un processus précipité d’accueil des réfugiés, les conséquences pourraient être dévastatrices »,
a rappelé le premier ministre de la province de Saskatchewan (ouest).
La moitié des États des États-Unis refusent l’arrivée des ‘réfugiés’
Un, deux, sept et désormais 21 États américains ont annoncé leur refus d’accueillir des ‘réfugiés’ syriens. Dimanche, après les attentats de Paris, auxquels ont participé plusieurs terroristes étant entrés en Europe dans le flot d’envahisseurs, l’Alabama et le Michigan ont été les deux premiers États à renoncer à accueillir des ‘migrants’.
Dans la journée de lundi, le Texas et la Louisiane se sont ralliés à cette position de bon sens. Trois autres les ont rejoints ensuite : l’Arkansas, l’Indiana et le Mississippi se sont ralliés à eux puis encore une quinzaine.
« Le Texas ne peut pas participer à un programme qui aboutirait à la relocalisation au Texas de réfugiés syriens dont n’importe lequel d’entre eux pourrait être lié au terrorisme. Ni vous [Barack Obama] ni aucun autre responsable fédéral ne pouvez garantir que des réfugiés syriens ne se livreront pas à une activité terroriste »,
a écrit le gouverneur républicain du Texas Greg Abbott au président américain.
Ce dernier avait fixé comme objectif l’accueil de 15 000 personnes venues de Syrie jusqu’en 2017.
© Jeune nation – 2015