L’un des tueurs de vendredi, Samy Amimour, a travaillé à la Régie autonome des transports parisiens (RATP) durant quinze mois jusqu’en 2012. Cet islamiste dangereux n’avait alors pas été licencié : il avait simplement choisi de démissionner. Ils seraient nombreux, comme Samy Amimour, à rêver de crimes de masse au nom d’Allah, faisant l’objet de fiches ‘S’, et travaillant pourtant à la RATP, parfois même avec une arme. C’était le cas d’un agent de la sûreté, qui a été licencié il y a peu, suite à une décision administrative lui retirant son port d’armes.
Depuis hier, quelques voix, parmi les nombreuses qui se taisent depuis des années sur l’islamisation de la RATP, sur les politiques d’embauche communautaristes mises en places par la RATP et la région Île-de-France, dirigée par le Parti socialiste (PS) et le corrompu Jean-Paul Huchon, se font entendre.
« Il y a des déviances graves. On a laissé s’installer un système où certains agents refusent de saluer une femme, arrivent en retard pour faire leur prière, ou même prient sur place »,
affirme Christophe Salmon, secrétaire général de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) pour la RATP.
« Cela a commencé il y a cinq à six ans. Quelques-uns à qui je faisais la bise ont refusé de m’embrasser, puis de me saluer. Et pourtant, je suis musulmane. D’autres refusaient de conduire un bus qui avait été précédemment conduit par une femme »,
a précisé une employée témoignant sous le sceau de l’anonymat.
« Pendant une période, la direction a eu un recrutement discutable, confie une source bien informée. Pour éviter le caillassage des bus dans certains quartiers, elle a embauché des grands frères au profil peu recommandable. Depuis, elle fait le ménage. »
Sans surprise, le phénomène est nié par les syndicats les plus immigrationnistes et extrémistes.
« Oui, il y a des problèmes, mais ça reste un épiphénomène. Il n’y a pas plus ou pas moins de radicalisation qu’ailleurs. La RATP n’est pas imperméable à ce qui se passe dans la société »,
tente de justifier un cadre de la Confédération générale du travail (CGT).
Comme à l’accoutumée, la CGT et la direction de l’entreprise agissent dans le même sens et le même aveuglement est perceptible chez les dirigeants de la RATP :
« Il faut faire très attention aux amalgames. Les recrutements à la RATP sont à l’image des quartiers qu’elle dessert. Il y a dans l’entreprise une obligation de laïcité. Un code de conduite très précis a été institué depuis 2013 à la RATP. Aucun écart n’a été signalé depuis mon arrivée. Et si c’est le cas, tout ce qui est sanctionnable doit être sanctionné »,
a prétendu la présidente de la RATP Élisabeth Borne.
Le cas de la RATP n’est pas isolé : pour ne prendre qu’un autre exemple dans les transports en commun, les sociétés aéroportuaires sont tout autant minées par l’invasion. C’est sans doute ce genre de laxisme qui a conduit à l’attentat commis il y a quelques jours contre un avion russe dans le Sinaï. Le problème n’est pas la « radicalisation », ni même l’islam : il est la présence sur le sol de France de 15 millions d’étrangers inassimilables.