Avoir choisi une prostituée étrangère pour servir de Marianne ne leur aura manifestement pas suffi. Ainsi, pour terminer l’année 2015 et commencer 2016, La Poste propose des produits particulièrement laids.
Métissage et multiculturalisme
Ils éditent désormais des timbres multicolores qui, comble du vice, mêlent un graphisme enfantin et des dessins et couleurs pas innocents du tout !
On y trouve du multiculturalisme et beaucoup de métissage.
Des mains multicolores accompagnent confettis et serpentins.
Un enfant blanc embrasse, bien de côté, un vieux barbu à la peau orange. Mais, dans un positionnement beaucoup plus de face, une jeune femme rousse est nez à nez avec un Africain et une vieille dame blanche (peut-être une représentation des ‘cougars’ sorties de leurs fantasmes et avides de jeunes gens ?) se laisse embrasser par un probable ‘migrant’ pas rasé depuis plusieurs jours. Une confirmation supplémentaire que l’encouragement au métissage se fait généralement dans ce sens-là.
Bizarreries hollywoodiennes
Le mondialisme n’y suffisant manifestement pas, La Poste donne carrément dans l’inter-galactique avec une collection ‘Star Wars’.
La parution accompagne la diffusion d’un énième opus hollywoodien dont le titre se traduirait par La guerre des étoiles, même si le singulier et le pluriel sont inversés.
On y trouve des bêtes improbables et des déguisements étranges imprimés sur des timbres, des emballages pré-affranchis et même un ‘livret connecté’ dont l’utilité matérielle nous échappe.
Au-delà de la propagande, quelle clientèle est visée ?
Partant du fait que les envois postaux sont surtout une habitude des anciennes générations pas spécialement avides de métissage ni de séries américaines d’anticipation, alors que les plus jeunes utilisent surtout la voie électronique pour communiquer, de la part de La Poste, cela ressemble à un sabordage.
À moins que les grands-parents délaissent leurs goûts civilisés pour contribuer à déboussoler leurs petits-enfants au lieu de les éduquer… ou que, faute d’autres produits proposés dans certains bureaux, on ne soit contraint d’utiliser les plus hideux.