L’opportuniste Manuel Valls a déjà retourné sa veste de la Palestine libre vers son occupant sioniste (y étant, par sa nouvelle femme, « éternellement lié »… ou alors simplement soucieux de pouvoir devenir ministre, les deux lui plaisant bien).
Concernant la GPA (gestation pour autrui), il joue sur les mots, prêt à donner l’impression qu’il retournerait son pantalon, en prenant des airs martiaux pour affirmer qu’il serait opposé à la GPA.
Cependant, ce premier ministre a laissé passer le délai de trois mois pour faire appel d’une décision de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à ce sujet. Les juges de Strasbourg ont condamné la France pour avoir résisté à la filiation artificielle des enfants produits ailleurs pour être ensuite importés ici, moyennant finances, par des paires d’homosexuels. Il n’y est donc pas si opposé qu’il le dit…
D’ailleurs, cet autoproclamé « libéral, républicain et laïque » (sic) n’est pas à une idée alambiquée, voire à une contradiction, près. En effet, selon lui, « le marxisme et une certaine conception étatiste et jacobine très française ont sans doute mis à mal » les idées autour de l’individualisme, se montrant ici à la fois mondialiste et libertaire. La réalisation du vieux rêve des nomades sans frontières errant au gré de leurs pulsions dans une république universelle…
Autre « idée »… ou contradiction chez ce phraseur – ennemi acharné des nationalistes – il se vante de distinguer les concepts anglo-saxons d’avec les idées françaises – donc républicaines. C’est ainsi qu’il a cherché à se démarquer de l’ancien premier ministre britannique Tony Blair, tout en s’extasiant devant le « philosophe » Anthony Giddens – tout aussi « anglo-saxon » – pour son « idée de partir de l’individu », précisant au journal homosexualiste Tétu, admiratif et péremptoire : « il ne faut jamais oublier que Jaurès disait ‘le socialisme, c’est l’individu jusqu’au bout’ »
Serions-nous d’encore plus « vilains » nationalistes pour lui rappeler que la liberté individuelle totale ne profite qu’au fort (celui qui souhaite se payer un enfant) et nuit au plus exposé (l’enfant né d’une mère qui le vend à une paire d’individus qui vont l’emporter définitivement au loin, ou bien refuser « le produit » car il ne serait pas exactement conforme à l’idée qu’ils s’en faisaient quand ils ont passé commande) qu’il ne nous entendrait pas !
Suivant son mentor d’alors – Dominique Stauss-Kahn, qui a souvent montré son respect « de l’individu » – Manuel Valls avait été informé de la marchandisation du corps des femmes qui pointait, mais avait répondu que, « au-delà de ces précautions, c’est une évolution [la GPA] qui est incontournable »… rien que ça ! Il se déclarait même, contre l’avis officiel d’alors au PS, favorable à une loi en faveur de cette GPA… individualiste jusqu’au bout !
Les loges préfèrent y aller par petites touches, pour que leur projet mortifère soit imposé à doses homéopathiques à la société : craignant aujourd’hui que l’été indien ne soit animé par d’énormes manifestations contre les monstruosités que nous imposent les gouvernants, Manuel Valls feint de reculer. Il s’agite et cause, mais sa ligne de conduite maçonnique ne changera pas, car il continuera d’appliquer les instructions qu’il reçoit, lui qui n’a d’ailleurs aucune opinion puisqu’il peut tout autant en changer que de manier le verbiage pour se montrer totalement favorable à une nouveauté… mais pas trop quand même, n’ayant que pour seule et unique idée de nous diriger vers le fond de l’abîme le plus longtemps possible.