L’Empereur évoque l’idée en 1806 d’une journée officielle consacrée aux mères, et plus particulièrement aux mères de familles nombreuses.
Mais c’est le 25 mai 1941 que le Maréchal Pétain inscrit la fête des Mères au calendrier, dans le cadre de la politique nataliste de la Révolution Nationale.
« La Famille est la cellule essentielle ; elle est assise même de l’édifice social ; c’est sur elle qu’il faut bâtir ; si elle fléchit, tout est perdu ; tant qu’elle tient, tout peut être sauvé. »
« Vous seules savez donner à tous ce goût du travail, ce sens de la discipline, de la modestie, du respect qui font les hommes sains et les peuples forts. Vous êtes les inspiratrices de notre civilisation chrétienne. »
Maréchal Philippe Pétain
Sache-le
Lorsque ta mère aura vieilli,
Quand tu seras moins jeune aussi,
Que, son bras devenu moins leste,
Lui coûtera le moindre geste,
Quand son œil clair et plein d’égards
Perdra l’éclat de son regard,
Son pas jadis infatigable
Lui semblera beaucoup moins stable,
Empresse-toi à son secours
Avec tendresse, avec amour.
Car le temps vient, s’approche l’heure
D’aller vers l‘ultime demeure.
Elle interroge, écoute-la.
Même propos, tu répondras.
Si sans raison elle y insiste,
En aucun cas ne lui résiste.
Si la question revient sans fin,
Réponds encore, calme et serein.
Car le temps vient, quelle infortune,
De ne plus en entendre aucune.
Adolf Hitler, 1923
Pas mal le poème pour un monstre haï et calomnié comme nul autre dans le monde!
On comprend pourquoi il était adoré par les femmes allemandes.