DILCRA : l’antiracisme pénétré par le lobby LGBT
Jeune Nation a rendu compte le 10 décembre dernier de la forte baisse des actes racistes et antisémites constatée en 2016 dans les chiffres du gouvernement révélé par la DILCRA (Délégation interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme) à la tête de la quelle Manuel Valls a placé le censeur en chef, Gilles Clavreul. Et cette forte baisse n’arrange évidemment pas les affaires de ce dernier qui doit continuer à justifier de l’utilité des millions d’argent public investit dans cette « délégation interministérielle » taillée à sa mesure…
Ainsi Gilles Clavreul vient tout juste d’obtenir l’extension du domaine d’intervention de la « Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme » à la lutte contre la haine et les discriminations anti-LGBT ! Et oui vous ne rêvez pas : le kgb antiraciste s’est fait pénétré par le lobby LGBT.
Fini la DILCRA, voilà la DILCRAH pour « Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT »… Le décret portant cette extension a été adopté en Conseil des ministres le 21 décembre et il s’accompagne d’un « plan de mobilisation contre la haine et les discriminations envers les personnes LGBT » afin de « rappeler qu’en République, chaque citoyen doit être respecté quelle que soit son orientation sexuelle ou son identité de genre, parce que les droits humains ne se divisent pas, qu’ils ne se hiérarchisent pas et doivent tous être effectivement appliqués ».
C’est beau comme l’antique ! Et puis nous voilà rassurés sur le sort de Gilles Clavreul ! Point de chômage mais une nouvelle mission, combattre « l’homophobie décomplexée qui demeure, et qui peut se traduire par des insultes, brimades, discriminations, voire du harcèlement ou des agressions physiques, sur la seule base d’une orientation sexuelle ou d’une identité de genre, réelle ou supposée ».
Et bien sûr tout ça n’est pas gratuit, il faut bien financer les petits voyages du sieur Clavreul d’un bout à l’autre du continent pour mettre en œuvre le plan du judaïsme politique en vue de faire taire tous ceux qui se lèvent contre la destruction des nations et des identités des peuples d’Europe. Ainsi le plan du gouvernement « contre la haine et les discriminations anti-LGBT » a été conçu pour se dérouler sur une durée de trois ans et il sera doté d’un budget de 1,5 millions d’euros par an… pris dans la poche du contribuable, évidemment.