Nul n’a pu passer à côté de ce « record » claironné par le Crif et les médiats à sa suite la semaine dernière, selon lequel « les actes antisémites ont bondi en 2023 en France ». « Jamais un tel niveau n’avait été atteint », a déclaré Yonathan Arfi, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France commentant le rapport de son lobby qui compile des chiffres « recensés par le ministère de l’Intérieur et le Service de Protection de la communauté Juive (SPCJ) »… Nous avons déjà analysé précédemment cette Épidémie statistique « d’antisémitisme », nous n’y reviendrons pas. C’est quatre autres – tristes – records que nous tenons à signaler en matière d’homicides, de naissances, d’avortements et d’immigration.
Homicides
Le premier, qui n’a pas fait les Unes des médiats : l’inquiétante hausse des homicides et tentatives d’homicide en France.
Concernant les tentatives (homicides ayant échoué), c’est la tendance lourde qui se dessine dans la dernière étude du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSSI). Pour les années 2016 à 2022, les statisticiens de Beauvau nous apprennent que la hausse moyenne pour ces faits dépasse les 8% par an. Pour la seule année 2022, les tentatives de meurtre ont fait 3584 victimes, alors qu’elles étaient 2259 en 2016. Une augmentation de 59% en 7 ans. La courbe n’a pas arrêté de grimper année après année.
Concernant les homicides même évolution inquiétante, puisque depuis 2020, ils augmentent parallèlement. Les faits recensés sont passés de 816, cette année-là, à 881 en 2021, puis 959 en 2022. En tout, depuis 2016, ils sont en hausse de 17%. Le SSMSI révélait dans une autre publication, il y a quelques jours, que les homicides pour 2023 dépassaient le seuil des mille crimes enregistrés.
Une tendance de fond nette qui témoigne de l’augmentation des violences les plus graves.
Les départements ultramarins, hormis La Réunion, se retrouvent en tête des territoires les plus criminogènes. Et particulièrement en Guyane, en Guadeloupe et en Martinique, où les taux d’homicides et de tentatives d’homicide sont vertigineux.
Rien qui nous étonne, les médiats ne pouvant plus cacher aujourd’hui qu’un crime chasse l’autre, que les coups de couteau succèdent aux égorgements et que les cibles sont bien souvent des Français livrés à la vindicte et à la rage de populations immigrés, plus ou moins fraichement débarquées sur notre sol.
Natalité
Le deuxième, l’effondrement de la natalité en France, atteignant des « records »
La chute des naissances se poursuit en France, comme le confirme le dernier bilan démographique de l’Insee. En 2023, 678 000 bébés sont nés dans le pays, soit une baisse d’environ 7 % par rapport à l’année 2022. Soit 20 % de moins, par rapport à 2010 et au début des années 2000, où l’on enregistrait, bon an mal an, plus de 800 000 naissances.
Le solde naturel en France, c’est-à-dire la différence entre les naissances et les décès, n’a jamais été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En 2023, il ne s’élevait plus qu’à +47 000, alors qu’il était supérieur à +200 000 avant 2016.
Depuis 2010, l’indice de fécondité a ainsi régulièrement baissé : 2,03 enfants par femme en 2010, 1,96 en 2015, 1,86 en 2019. Un plateau avait été constaté pendant le Covid-19. On était encore à 1,79 en 2022. Depuis, l’indice de fécondité est tombé à 1,68 en 2023.
Le recul des naissances s’observe dans toutes les régions, sauf à Mayotte et en Corse, et dans toutes les classes d’âge, à l’exception des quadragénaires. Le nombre de naissances issues de mères de 40 ans et plus augmente ainsi de 3,3% entre 2021 et 2022. Mais les naissances ont reculé de 2,7% chez les femmes de 25 à 29 ans, et de 3,6% chez les 30-34 ans. Un accroissement de l’âge moyen à la maternité, qui atteint 31,2 ans, contre 26 ans dans la seconde moitié des années 1970.
Sans compter que dans ces chiffres sont inclus la part des naissances non autochtones, de parents immigrés récemment ou pas, dont on sait que la fécondité est traditionnellement plus élevée…
Avortements
Le troisième c’est le « record » des avortements en France en 2023.
Il y a eu plus de 234 000 recours à l’avortement en 2022, un nombre record après deux années de baisse provoquée par la pandémie de Covid-19, rapporte la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) dans une étude publiée en septembre 2023. Le taux de recours à l’IVG a ainsi dépassé le niveau de 2019 – qui était à l’époque le plus élevé depuis 1990 – avec 16,2 IVG pour 1000 femmes âgées de 15 à 49 ans en 2021 contre 15,7 pour 1000 en 2019.
Et cette hausse concernait particulièrement les jeunes femmes âgées de 20 à 29 ans. Le taux de recours s’élevait en effet à 26,9‰ chez les 20-24 ans (+ 2,6 points par rapport à 2021) et atteignait 28,6‰ chez les 25-29 ans (+2,2 points), rapporte encore la Drees.
Macron, maniant toujours sont hypocrite et mortifère « en même temps », parle de relancer la natalité tout en sacralisant et magnifiant le meurtre des enfants à naître dans la Constitution…
Augmentation des homicides et tentatives, recul de l’âge de la maternité, chute des naissances et record d’avortements, la France se dépeuple de ses Français. Mais la machine étatique à importer et implanter des « remplaçants » en masse a elle aussi battu des records.
Immigration
Le quatrième record de 2023 c’est donc celui de l’immigration-invasion de la France.
Premiers titres de séjour. La France a délivré un nombre records de premiers titres de séjour l’an dernier à un niveau de 323 260 (+ 1,4 % par rapport à 2022). Les titres accordés aux étudiants se sont élevés à 103 500 (+ 1 %), ce qui en fait toujours le premier motif de délivrance et sachant que beaucoup ne regagnent pas leur pays après leurs « études ». Viennent derrière les « étudiants », et ceux pour motif familial qui auraient baissé de 5 % (à 91 000), et « l’immigration économique » (avec 54 630 premiers titres de séjour accordés). Tour de passe passe statistique puisque ce sont les « titres salariés » qui sont en hausse de 5 %, et qui ont porté la hausse des titres de séjour en 2023.
Les extra-européens du Maroc, de l’Algérie et de Tunisie sont toujours ceux qui bénéficient du plus grand nombre de titres de séjour.
Régularisations de clandestins. La machine administrative à transformer des clandestins déjà présents sur notre sol en violation de nos lois en immigrés autorisés à rester en France a « bien » fonctionné aussi : les régularisations ont augmenté de + 0,3 % à 34 400, dont l’essentiel 22 989 sans emploi contre 11 411 ayant une « activité ».
Asile. En 2023, le nombre de demandes d’asile à atteint un autre record à plus de 140 000 sur l’année. Dont la plupart ne sont pas expulsés non plus même si leur demande est rejetée.
Par l’action conjuguée d’un encouragement à l’avortement et à l’immigration, et du découragement à faire des enfants dans une société de plus en plus violente, on est bien là dans ce que certains nomment, avec un euphémisme terrifiant, une volonté de « grand remplacement » mais qui est en réalité une tentative de génocide ethnique des Français.
« Le grand remplacement est un terme littéraire pour expliquer ce qui est en train de se passer, à savoir un véritable génocide ethnique des Français historiques et des Européens » (J’ai juré de dire la vérité, Yvan Benedetti)
Avec la lutte pour l’accueil de la vie en recréant les conditions morales et l’environnement économique nécessaires pour élever des petits français, la remigration s’impose.
Elle n’est pas un concept politique abstrait mais une exigence et un impératif à l’heure où notre pays et l’Europe sont victimes de ce génocide ethnique. Un génocide qui n’est rendu possible que par la paralysie des défenses immunitaires intellectuelles et morales de notre peuple que provoquent l’antiracisme et le cosmopolitisme insufflés par les tenants de l’idéologie du judaïsme politique, leurs complices et leurs vassaux des mondes financiers, politiques et médiatiques.
Grosse baisse de la natalité malgré une invasion migratoire ?? C’est peut-être pour promouvoir encore plus l’invasion…Après, les homicides et l’insécurité ça va avec !!