Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Discours de Pierre Sidos, en hommage à la sainte secondaire de la patrie, Jeanne d’Arc
- Concert d’Epona lors de l’hommage à Sainte-Jeanne d’Arc
Actualité nationaliste Europe
- Succès du congrès de l’APF sur la Syrie
France
- Originaire du Surinam, il viole une étudiante à Périgueux
- Un envahisseur Irakien poignarde un ado Syrien à Calais
- Souleymane Karamoko tue et brule le corps d’un élu vendéen
- Apologie du terrorisme et une balle contenant versets du Coran
- Réclusion à perpétuité pour Z.Menaouer, le meurtrier de Lille
- Nouvelle mosquée à Brignais… « le bien vivre ensemble passe à la vitesse supérieure » !
- La SNCF teste un logiciel de détection des agressions
- Le gouvernement d’occupation déshonore la bataille de Verdun avec un rappeur de l’anti-France
- Fondation pour la mémoire de l’esclavage, François Hollande veut promouvoir à plus grande échelle l’ethnomasochisme
Etranger
Europe
- La police slovaque ouvre le feu sur une voiture d’envahisseurs
- Un Ecossais arrêté pour avoir appris le salut nazi à un chien
- Une attaque au couteau à Munich avec un mobile islamiste
- Allemagne : le ministre de la justice interrompu et conspué jusqu’à sa voiture
- Italie : 29 millions d’euros pour le Musée national du judaïsme
Monde
- Philippines : un nouveau président qui détonne
- Brésil : le pays s’enfonce dans une crise constitutionnelle
- Afghanistan : la « pacification » du pays au point mort
Vidéo
- Intermittent, précaire à temps plein ?
Ephéméride nationaliste
- 11 mai 1894 : naissance de Anton Mussert
Agenda
- 21 mai 2016, Rouen : Assises régionales normandes du PNF
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Actualité nationaliste France
Discours de Pierre Sidos, en hommage à la sainte secondaire de la patrie, Jeanne d’Arc
Concert d’Epona lors de l’hommage à Sainte-Jeanne d’Arc
Actualité nationaliste Europe
Succès du congrès de l’APF sur la Syrie
Le 4 mai dernier le député européen du NPD allemand Udo Voigt, organisait pour l’APF, « Aliance of Peace and Freedom », un congrès au Parlement européen sur le thème « Syrie : tolérance ou terrorisme ». Une délégation de l’APF venait justement de rentrer de Syrie où ses membres avaient rencontré de nombreux dirigeants politiques et religieux, visité de nombreux lieux tels que hôpitaux et organisations caritatives ou humanitaires.
Parmi les intervenants du congrès on notera la présence de monsieur Ayman Rad, l’ambassadeur de Syrie à Bruxelles, Roberto Fiore, président de l’APF et bien sûr le député Udo Voigt. L’ambassadeur de Syrie à fait un état des lieux de la situation en Syrie. Il a encouragé les participants à continuer à faire la lumière sur la situation dans son pays natal et sur ce que les forces extérieures qui ont créé le conflit continuent à lui faire subir. Il a également dit sa gratitude et ses remerciements aux patriotes européens qui donne leur appui au gouvernement syrien et qui comprennent la situation de la Syrie. Le compte-rendu des propos des autres intervenants est disponible sur le site de l’APF : « Syrie : tolérance ou terrorisme ».
À l’heure actuelle l’APF est le seul mouvement représenté au Parlement européen qui a des contacts étroits avec le gouvernement et la société syrienne afin de rechercher des solutions au conflit.
France
Originaire du Surinam, il viole une étudiante à Périgueux
Marlon Griffith, un « Périgourdin » de papier de 32 ans, est accusé du viol d’une étudiante, interne au lycée Bertran-de-Born à Périgueux.
Le signalement des faits intervient le 16 janvier 2012, alors que la jeune femme vient d’être admise au centre hospitalier de Périgueux après s’être confiée à l’infirmière scolaire de son établissement. Selon ses déclarations, les faits remontent à la nuit du 14 au 15 janvier.
Ce soir-là, l’étudiante qui a passé le week-end chez une amie, se rend dans un bar avec un jeune homme. Sur place, elle fait la connaissance de deux garçons parmi lesquels figure Marlon Griffith, originaire du Surinam. Elle danse et consomme de l’alcool, puis finit par se rendre au Scoop, une boîte de nuit avec ceux qu’elle vient de rencontrer.
Vers 3 h 30, Marlon Griffith lui propose de la ramener. Sur la route, il se serait arrêté dans un chemin pour uriner et c’est à ce moment qu’il l’aurait violée.
Père d’un enfant, il a d’abord été placé sous le statut de témoin assisté, avant d’être mis en examen par la cour d’appel de Bordeaux. Son casier porte deux mentions. En 2012, il a été condamné pour exhibition sexuelle par le tribunal de Périgueux. En 2014, la cour d’assises des mineurs de la Guyane l’a aussi condamné à six ans d’emprisonnement pour des faits de viol en réunion.
Un envahisseur Irakien poignarde un ado Syrien à Calais
- Entre 01h00 et 05h00 lundi, des envahisseurs ont à nouveau tenté de bloquer la circulation sur la rocade portuaire en plaçant des « morceaux de bois« , « des branchages » et même des « caddies de supermarché » sur la chaussée. Quelques poids lourds les ont percutés, sans faire de blessés.
- Dans la même nuit, les secours sont également intervenus sur une route menant au bidonville pour une agression d’un envahisseur mineur syrien blessé par couteau. « Un individu de nationalité irakienne a été immédiatement interpellé par les CRS et placé en garde à vue« , a affirmé la préfecture. La victime a été transportée au centre hospitalier de Calais et son pronostic vital n’est pas engagé.
- Un envahisseurs pakistanais de 24 ans est mort dans la nuit après avoir été percuté par une voiture sur la rocade portuaire.
Souleymane Karamoko tue et brule le corps d’un élu vendéen
lundi 9 mai a débuté à Nantes le procès en assises de Souleymane Karamoko. Il y a 2 ans, ce jeune ivoirien a tué et tenté de faire disparaître le corps de Roland Touzeau, un élu vendéen, en le brûlant dans le coffre de sa voiture.
L’enquête mène les policiers sur une piste inattendue. Ils arrêtent Souleymane Karamoko. Ce jeune ivoirien de 20 ans avoue le meurtre. Il a connu la victime sur un site de rencontres et leur liaison dure depuis deux mois, ils se sont vus plusieurs fois à son domicile nantais.
En manque d’argent, Souleymane Karamoko fait des achats sur internet avec la carte bleue de Roland Touzeau puis il publie une annonce pour vendre l’Audi. Mais comprenant que Roland Touzeau refuserait de vendre sa berline, il prend la décision de le tuer.
Accusé d’assassinat et d’escroquerie, Souleymane Karamoko encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Apologie du terrorisme et une balle contenant versets du Coran
Une femme, âgée de 35 ans, a été arrêtée mercredi dernier à Montpellier, après plusieurs semaines d’investigation policière. Le 18 mars dernier, à la Poste de Port-Marianne, cette dernière aurait insulté une guichetière, qui refusait de lui délivrer un mandat cash, car elle n’avait pas de pièce d’identité à présenter.
La cliente est allée plus loin, en faisant l’apologie des récents attentats terroristes, rapporte le quotidien régional, et en menaçant de « faire pareil ici ». Elle aurait exhibé une munition d’arme de guerre, en s’exclamant qu’elle en possédait d’autres à son domicile, avant de quitter l’établissement.
C’est en reliant cette affaire à celle d’une non-présentation de mineur délinquant à une audition du tribunal que la police a mis la main sur cette femme. La perquisition à son domicile n’a permis de découvrir aucune arme ni munition.
Quant à la balle exhibée au guichet de la Poste, elle a expliqué qu’elle était factice, qu’elle contenait des versets du Coran, lui servait de grigri, et qu’elle s’en était débarrassée.
Réclusion à perpétuité pour Z.Menaouer, le meurtrier de Lille
Jeudi dernier, la cour criminelle d’Oran a condamné Z. Menaouer à la prison à perpétuité pour le meurtre de R. Taychi, patron d’une station de lavage auto située à Lomme, commune lilloise du nord de la France. Bien qu’il ait nié tous les faits qui lui étaient reprochés, le tribunal a jugé que les éléments de preuve contenus dans le dossier d’accusation prouvaient la culpabilité du prévenu dans l’homicide volontaire mais aussi dans l’usage de faux et l’usurpation d’identité qui lui ont permis de fuir en Algérie.
L’affaire remonte au début d’après-midi du mardi 3 septembre 2013, lorsque deux hommes cagoulés entrent dans la station de lavage de Lomme, abattent le patron, un ressortissant marocain de 42 ans, et quittent rapidement les lieux. La police judiciaire de Lille qui est chargée de l’enquête privilégie très vite la thèse d’un règlement de comptes : R. Taychi était connu pour ses accointances avec le milieu du trafic de drogue et il avait déjà purgé une peine de prison à la fin des années 2000. Explications de l’avocat de la famille, tel que rapportée par les médias français : des trafiquants se seraient fait voler de la drogue chez une “nourrice”. Quelqu’un aurait accusé et violemment agressé le jeune frère de la victime. Taychi aurait appelé les trafiquants pour les menacer. Deux jours plus tard, ils débarquent dans son entreprise et le tuent… Quelques heures après le drame, deux hommes, des frères, sont arrêtés, mis en examen et écroués par le tribunal de Lille : ils sont suspectés d’avoir trempé dans le crime. Mais le tireur présumé, lui, désormais identifié comme étant Z. Menaouer, ressortissant algérien, est introuvable. Un mandat d’arrêt international est lancé et le 16 septembre, bien qu’il se fût dissimulé derrière l’identité de son jeune frère, il est arrêté au port d’Oran, à sa descente du bateau. Jeudi 5 mai 2016, Menaouer nie tous les faits qui lui sont reprochés : il ne connaît pas Taychi et n’a pas pris part au meurtre dont il est accusé.
Les faits, pourtant, sont têtus et les preuves accablantes. Notamment une cagoule que la présidente exhibe : elle a été retrouvée dans la voiture qui a quitté la station de lavage au moment de l’homicide et elle porte des traces de salive appartenant à l’accusé. L’analyse ADN ne ment pas et les chargés du dossier français ont fait parvenir à la justice algérienne les éléments à charge. Outre l’analyse scientifique que Menaouer tentera de mettre en doute, et les dépositions de témoins le situant sur les lieux du crime, l’épouse de la victime viendra témoigner des liens qui existaient entre Taychi et l’accusé : oui, ils se connaissaient, elle avait déjà eu l’occasion de voir Menaouer devant la maison de ses beaux-parents.
Dans l’attente du procès de ses deux présumés complices qui, eux, seront jugés en France, Z. Menaouer a été reconnu coupable et condamné à la réclusion à perpétuité.
Nouvelle mosquée à Brignais… « le bien vivre ensemble passe à la vitesse supérieure » !
Une «Charte d’accompagnement de la rénovation des institutions représentatives du culte musulman dans le Rhône» a été adoptée dans son principe le 15 décembre 2015 dans les salons de la Préfecture. Elaborée en collaboration avec les mosquées de la région, elle a pour but d’instaurer davantage de « rigueur et transparence » pour lutter contre « les obscurantismes salafistes » selon le Préfet du Rhône-Préfet de la Région Auvergne Rhône-Alpes.
Le 27 avril dernier, Brignais a ainsi été la première commune à signer localement cette charte entre les quatre instances : l’Etat, la mairie, le CRCM et l’association qui gère le lieu de culte. La première proposition concrète qui en découle, et à la charge de la mairie, est le soutien de la municipalité pour la création d’une nouvelle mosquée. Quant aux engagements pris en retour par les imams et les recteurs de mosquées … ils sont inexistants !
La SNCF teste un logiciel de détection des agressions
La SNCF expérimente sur son réseau francilien un système de vidéo surveillance intelligente, capable de détecter des mouvements de foules anormaux.
Le procédé est installé sur deux gares RER, Saint-Denis et Bibliothèque François- Mitterrand, et sera testé jusqu’en septembre. Smart Me Up, spécialisée dans la technologie de reconnaissance faciale et d’analyse d’individus en temps réel, a développé un algorithme d’intelligence artificielle adaptable à l’ensemble des 40 000caméras de la SNCF. En cas d’augmentation subite du nombre de personnes sur un quai, le système peut déclencher l’envoi de personnel pour aider à la circulation ou transformer un train direct en omnibus afin de désengorger la gare. Le système permet aussi d’alerter en cas d’intrusion d’une personne dans une zone interdite, ou en cas de chute sur la voie. Le logiciel de Smart Me Up va plus loin: il permet aussi de détecter des faits de violence.
Le gouvernement d’occupation déshonore la bataille de Verdun avec un rappeur de l’anti-France
À l’occasion du centenaire de la bataille de Verdun où sont tombés 163 000 soldats français, le gouvernement de l’anti-France a décidé non pas de commémorer nos morts, mais de fêter en organisant un concert « gratuit et populaire », comprendre pour la diversité, d’un raciste anti-blancs le 29 mai.
La tête noire d’affiche est le rappeur Black Mesrine, (du criminel d’extrême-gauche éponyme), qui s’excusait dans ce que les contemporains appellent une chanson : « Je me sens coupable quand je vois tout ce que vous a fait ce pays de kouffars » (non croyants/ mécréants en arabe).
Cette anti-commémoration sera le rendez-vous entre un anti-français qui divertira tous les envahisseurs et les racailles gauchistes pour souiller la terre où sont tombés les nôtres.
Ce gouvernement d’occupants devra répondre à l’heure venue de toutes les attaques et trahisons contre la France et ses héros. Un jour viendra où les traitres payeront
Retrouvez ici la campagne de Jeune Nation pour rendre justice au héros de Verdun, défenseur de la France, le maréchal Philippe Pétain, insulté et trahi par les destructeurs de la nation.
Fondation pour la mémoire de l’esclavage, François Hollande veut promouvoir à plus grande échelle l’ethnomasochisme
Quinze ans après le vote de la loi de l’ancienne ministre et raciste anti-blancs Taubira qui rendait la France responsable de l’esclavage et imposait à tous les français de reconnaitre qu’ils sont responsables d’un crime contre l’humanité presque aussi grave que le mythe de la Shoah, François Hollande a exprimé sa volonté de re repentir cette expérience indescriptible, mille fois décrite, suivie de la souffrance irréparable à réparation constante qu’a été l’esclavage.
En effet, à l’occasion de la journée commémorative de l’abolition de l’esclavage, François Hollande a annoncé la création, « avant la fin de l’année » d’une « fondation pour la mémoire de l’esclavage ». « Je souhaite donner à la France une institution qui lui manque encore, une fondation pour la mémoire de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions », a-t-il expliqué lors des cérémonies de commémoration au palais du Luxembourg. Cette fondation « sera une source de promotion des valeurs de liberté, d’égalité, de tolérance » et « diffusera la connaissance de l’esclavage, de la traite, mais aussi tout le combat des abolitionnistes », a-t-il ajouté en précisant qu’elle devait rassembler « toutes les mémoires et tous les Français » (sic). Associant « tous les acteurs publics, privés, associations, entreprises » (toutes les officines de l’antiFrance), elle « réfléchira avec la mairie de Paris à l’édification d’un mémorial aux esclaves et d’un lieu muséographique ».
Cette annonce survient le lendemain d’un entretien de François Hollande avec SOS Racisme, le CRAN, la LICRA et le CRIF, qui l’ont exhorté à créer un « musée de l’esclavage ». Aussitôt dit aussitôt fait. Preuve qu’Hollande n’est qu’un pantin et que les organisations de l’anti-France qui constituent le judaïsme politique sont les marionnettistes de leur république. Le CRAN s’est d’ailleurs aussitôt félicité de cette « victoire qui constitue objectivement une avancée importante en matière de réparation. »
À un an de la mascarade démocratique, on peut assurément y voir une pure manœuvre dans le but de s’assurer le vote des africains à papiers français, convaincus qu’ils ont tous un ancêtre esclave et qui justifie leur haine des français, sous prétexte de vengeance de l’esclave contre le maitre Blanc. C’est ce que leur enseigne l’éducation antinationale, dont la mission première est d’apprendre aux élèves à haïr l’Histoire de la France.
Nul besoin de fondation pour rappeler que tous les peuples du monde ont pratiqué l’esclavage mais que les premiers à l’avoir abolis, voir même qui ont fait la guerre pour l’empêcher (y compris contre leurs semblables, cf : la guerre de sécession) sont les Européens. Et évidemment, la traite arabo-musulmane, aussi bien négrière que barbaresque en Méditerranée, ne sera nullement abordée, tout comme le rôle des juifs dans la traite et le commerce d’esclaves.
L’éternelle repentance, c’est le seul « combat » d’Hollande, à défaut de résorber le chômage et l’invasion.
Etranger
Europe
La police slovaque ouvre le feu sur une voiture d’envahisseurs
Lundi, la police slovaque a procédé à l’arrestation d’envahisseurs qui occupaient 5 voitures près de la ville de Veľký Meder dans la région de Dunajská Streda. La police des frontières a d’abord tiré des coups de semonce, puis, lorsqu’une des voitures ne s’est pas arrêtée à la suite de ceux-ci, elle a visé les pneus.
« La voiture a été arrêtée au bout de 400 mètres par une patrouille de police. Une des passagères a été blessée », a déclaré la porte-parole de la division des Finances, Patricia Macíková.
La femme a subi une blessure à un rein et a été emmenée à l’hôpital, a révélé l’agence de presse SITA. Les autres réfugiés ont été pris en charge par les membres de l’unité gouvernementale de lutte contre l’immigration clandestine.
La télévision publique a révélé que six passeurs avaient aussi été arrêtés. Les envahisseurs ont fini au camp de détention de Medvedov. Ils seront extradés le plus tôt possible vers la Hongrie.
En effet, les voitures de migrants sont arrivées en Slovaquie par la Hongrie, depuis laquelle de plus en plus d’envahisseurs tentent de se rendre en Allemagne. L’Autriche a effectivement renouvelé depuis le 25 avril des contrôles à la frontière avec la Hongrie. A la fin du mois d’avril, 10 migrants avaient été interceptés sur l’autoroute alors qu’ils se dirigeaient vers Bratislava.
Un Ecossais arrêté pour avoir appris le salut nazi à un chien
Markus Meechan, 28 ans, a été détenu pour suspicion de crime de haine et a passé une nuit en prison, a annoncé lundi le Daily Mail. L’arrestation a eu lieu après qu’il a posté une vidéo intitulée « M8 Yur Dugs A Nazi » (Mec, ton chien est nazi).
Meechan a ensuite été libéré et un rapport a été envoyé un procureur public d’Ecosse pour une violation présumée de la loi sur les communications électroniques de 2003, a annoncé le Mail. La police a déclaré que l’arrestation était un avertissement, qu’il n’y aurait pas de tolérance pour des vidéos offensantes.
« La vidéo est profondément offensante et aucune personne raisonnable ne peut trouver ce contenu acceptable dans la société d’aujourd’hui. »
« Il n’y a pas de place pour le crime de haine en Ecosse et la police prend au sérieux toutes les déclarations d’incidents. »
Dans la vidéo, qui a été vue plus de 940 000 fois, Meechan a déclaré qu’il avait décidé d’entraîner le chien de sa petite amie, Buddha, à être un nazi pour faire un blague.
« Ma petite amie se vante toujours de combien son chien est mignon et adorable, et j’ai donc pensé le transformer en la chose la moins mignonne à laquelle je puisse penser, c’est-à-dire en nazi », a-t-il dit aux spectateurs.
Il a ensuite filmé de nombreuses occasions dans lesquelles le chien se redresse au son de la phrase « gaze les juifs », ainsi que simplement au mot « juif ». Dans la deuxième moitié de la vidéo, on voit le chien regardant un discours de Hitler et levant sa patte droite en réponse à la phrase « Sieg heil ».
Les associations juives ont été scandalisées par la vidéo, le conseil des députés juifs de Grande-Bretagne l’ayant considérée comme « écœurante » et encourageant la police à enquêter sur Meechan.
Le conseil écossais des communautés juives a déclaré que l’antisémitisme ne devrait pas être vu « comme une blague », son directeur Ephraim Borowski déclarant au Mirror que « voir le meurtre méticuleusement planifié et industrialisé de six millions de personnes uniquement sur la base de leur ethnicité comme une blague est scandaleux. »
Meechan s’est ensuite excusé, déclarant qu’il n’avait jamais eu l’intention d’offenser quiconque avec la vidéo et qu’il voulait simplement « ennuyer ma petite amie ». Il a déclaré qu’il n’aurait jamais imaginé que la vidéo devienne virale et pensait qu’elle ne serait vue que par ses amis proches « qui me connaissant et connaissent mon sens de l’humour et mon comique, qui est plutôt noir. »
Il a souligné qu’il haïssait le « racisme sous quelque forme que ce soit… Je n’ai aucune mauvaise volonté envers la communauté juive ou quelque chose comme ça du tout. »
Une attaque au couteau à Munich avec un mobile islamiste
Un homme armé d’un couteau a attaqué quatre hommes, tuant l’un d’eux et en blessant trois autres, dont un grièvement, mardi 10 mai, vers 5 heures, à la gare de Grafing, à une trentaine de kilomètres à l’est de Munich. Selon les témoins, il a crié « Allahou akbar » (Allah est grand) à plusieurs reprises, a indiqué le porte-parole du procureur, qui parle de « motivation politique ».
Allemagne : le ministre de la justice interrompu et conspué jusqu’à sa voiture
Heiko Maas, le ministre fédéral allemand de la Justice, a été incapable de terminer son discours de célébration de la journée du travail le 1er mai dernier à Zwickau en saxe dans l’est de l’Allemagne. Il a été bruyamment interrompu, hué et chassé hors de la scène par le peuple allemand en colère qui lui reproche ses positions pro-immigrationnistes forcenées. La foule le traitait de « traître ! », de « rat gauchiste ! », scandant encore « nous sommes le peuple » et « Maas doit dégager ! », « dehors ! ». Le ministre a été ainsi contraint d’annuler son discours et de fuir vers son véhicule blindé escorté par son armée gardes du corps le protégeant du peuple allemand.
Maas est considéré comme l’un des plus grands partisans de l’extension des lois de restriction de la liberté d’expression. Il s’est déclaré favorable aux persécutions, aux amendes et à la prison pour tout propos prétendument « haineux » sur les médias sociaux.
Il a également déclaré ne pas reconnaître l’existence du peuple allemand, affirmant avec le soutien de son parti le SPD que l’Europe a toujours été composée d’immigrants et que la seule chance de rédemption de l’Allemagne pour sa culpabilité éternelle dans les événements de la seconde guerre mondiale est de faire venir le plus grand nombre d’immigrés musulmans possible…
Ce n’est pas la première fois que les institutions sont contestées dans cette partie orientale de l’Allemagne à cause de la politique migratoire. Un épisode semblable s’est produit à Heidenau en Saxe, quand la chancelière Merkel s’y était rendue pour condamner les actes de violence ciblant les centres d’accueil…
Vidéo de l’événement :
https://www.youtube.com/watch?v=J9rvjdB-VRc
Italie : 29 millions d’euros pour le Musée national du judaïsme
Le Musée national du judaïsme italien et de la Shoah, ou MEIS, en développement intermittent depuis plus d’une décennie dans la ville de Ferrara, au nord-est italien, a reçu une subvention gouvernementale de 29 millions de dollars afin de permettre son achèvement. Le ministre de la Culture et du Tourisme italien, Dario Franceschini a annoncé l’octroi, lundi, dans le cadre d’un ensemble de subventions de l’État, de 1,15 milliard pour 33 sites et projets du patrimoine culturel à travers le pays. Le MEIS a été établi par les lois fédérales de 2003 et 2006 et a été développé lentement dans le bâtiment d’une ancienne prison de Ferrare. Il devrait ouvrir pour sa première grande exposition dans une partie restaurée du bâtiment l’année prochaine. Le MEIS ne sera pas seulement un musée de l’Holocauste, explique Franceschini au site d¹informations juif italien « Moked » : « Ce sera en fait avant tout un lieu où raconter le judaïsme italien dans toute sa richesse et ses nombreuses facettes, son histoire, ses traditions, sa présence multi-millénaire dans ce pays », dit-il. « La culture comme un pont, la culture pour balayer tout préjudice. Reconnaître les liens entre le judaïsme et l’histoire des villes italiennes est en fait la meilleure façon de vaincre les antisémites et les prédicateurs de haine ». (Source : Bocage)
Monde
Philippines : un nouveau président qui détonne
Les élections présidentielles philippines qui se sont tenues lundi 9 mai ont vu la victoire du candidat Rodrigo Duerte, même si la proclamation officielle ne doit intervenir que d’ici une semaine et l’investiture le mois prochain. L’individu âgé de 71 ans, ancien procureur, ancien avocat, a été maire ou vice-maire de Davao, troisième ville des Philippines avec deux millions d’habitants, depuis 1988 sans discontinuer.
Il est connu pour avoir fait passer la réputation de cette ville de « capitale du crime » à « ville où l’on est le plus en sécurité de toute l’Asie du sud-est ». Néanmoins ses méthodes ont été contestées : il a été accusé par des défenseurs des droits de l’homme d’avoir organisé des escadrons de la mort ayant assassiné plus de 1 400 personnes. Accusations qui ne l’ont pas démonté puisqu’il n’a jamais vraiment démenti avoir constitué des escadrons composés de policiers, d’anciens rebelles communistes et autres voyous pour assainir la ville. Ce qui lui a valu le surnom de « Dirty harry » ou « The punisher »
Il a d’ailleurs joué sur cette ambigüité pendant sa campagne électorale alors qu’il a promis de nettoyer le pays de la même manière qu’à Davao, prévenant que les forces de sécurité seraient mandatées pour « tuer des dizaines de milliers de criminels », lançant : « Oubliez les lois sur les droits de l’Homme ! ». Ou encore : « Si je suis élu président, je ferai exactement ce que j’ai fait comme maire. Vous, les dealers, les braqueurs et les vauriens, vous feriez mieux de partir. Parce que je vais vous tuer ». « Si vous êtes un policier et que vous voulez continuer votre racket, il faudra choisir : soit vous me tuez, soit je vous tue ». « Je ne veux pas commettre de crime, mais si par chance, Dieu me met à la présidence, faites attention. Le millier de personnes présumées tuées deviendront 100 000. Les poissons de la baie de Manille vont engraisser. C’est là que je mettrai les corps ».
Et le franc-parler de Rodrigo Duerte accompagnant ses promesses de lutter contre la criminalité et la pauvreté semblent bien avoir rencontré les aspirations d’une majorité du peuple philippin qui n’en peut plus de la corruption endémique et des caciques politiques traditionnels qui n’ont rien réglé.
Brésil : le pays s’enfonce dans une crise constitutionnelle
Le président intérimaire de la chambre basse du parlement a annoncé lundi, à la surprise générale, l’annulation du vote qui devait intervenir cette semaine pour confirmer la procédure de destitution en cours de la présidente brésilienne Dilma Roussef… avant de changer d’avis. En effet, à la surprise générale, le nouveau président par intérim du Congrès des députés a annoncé lundi qu’il faisait annuler, pour irrégularités, le vote du 17 avril dernier qui avait ouvert la procédure. Ce jour-là, 367 députés avaient approuvé à une écrasante majorité la procédure de destitution de la présidente pour maquillage des comptes publics. Mais hier soir 10 mai, Waldir Maranhao, a finalement expliqué dans un communiqué « revenir sur sa décision » d’annuler le vote des députés sans donner la moindre explication.
La veille, le président du Sénat, Renan Calheiros, avait de toute façon ordonné la poursuite du processus de destitution, disant ignorer la décision « intempestive » de Maranhao. Les sénateurs doivent en effet s’exprimer sur cette procédure ce mercredi. S’ils votent contre, la procédure sera enterrée. Mais le résultat du vote fait peu de doute, car il suffit d’une majorité simple pour acter l’ouverture d’un procès, et une cinquantaine de sénateurs sur 81 ont déjà annoncé leur intention de voter dans ce sens. Si c’est le cas, Dilma Rousseff sera écartée du pouvoir pendant un délai maximum de six mois, en attendant un jugement final.
Pour leur part les avocats qui représentent juridiquement la présidente de gauche et son gouvernement, ont annoncé par communiqué qu’ils allaient demander « l’annulation du processus d’impeachment ».
Afghanistan : la « pacification » du pays au point mort
10 personnes ont été tuées et 23 blessées mardi dans un attentat-suicide commis par un kamikaze dans la province de Nangarhar dans l’est de l’Afghanistan, selon la police et les autorités locales. L’auteur de l’attaque a fait exploser son véhicule devant le domicile d’un commandant combattant les talibans. L’attaque n’avait pas encore été revendiquée mardi soir. Mais les talibans sont actifs dans la province de Nangarhar, qui fait aussi face à des incursions de combattants jihadistes du groupe État Islamique basé en Syrie…
Après l’attentat du 19 avril dernier qui avait fait 64 morts et 347 blessés à Kaboul le nouveau président afghan avait proclamé la reprise des exécutions de condamnés à mort dans un discours au Parlement le 25 avril. « Le temps de l’amnistie est passé », a-t-il dit après l’attentat alors que les talibans ont lancé à la mi-avril leur « offensive de printemps ». Et dimanche 8 mai 6 talibans ont bien été pendus dans la prison de Pul-e-Charkhi de Kaboul. La majorité d’entre eux avaient été condamnés pour des attaques à travers le pays et l’un pour avoir facilité l’assassinat en 2011 de l’ancien président afghan Burhanuddin Rabbani.
Les insurgés refusent de renouer les timides pourparlers de paix entamés l’été dernier au Pakistan voisin, sous l’égide des États-Unis et de la Chine. Ils posent le départ des troupes étrangères comme pré-condition à toute reprise du dialogue.
On voit mal comment des négociations de paix sous l’égide des États-Unis pourraient aboutir alors que ce pays est à l’origine du chaos que vivent les Afghans depuis 2002.
Vidéo
Intermittent, précaire à temps plein ?
Ephéméride nationaliste
11 mai 1894 : naissance de Anton Mussert (biographie)
Agenda
21 mai, Rouen : Assises régionales normandes du PNF
© Jeune nation – 2016
Louis XV, 1748, Maurice Quentin de La Tour (Musée du Louvre – Paris)
Le Directeur Général de la Mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale, Monsieur Joseph Zimet, est non seulement l’époux de la « Beyoncé de la politique », mais également le fils du « Chantre du Yiddisch ».
http://madame.lefigaro.fr/societe/rama-yade-la-beyonce-de-la-politique-va-t-elle-se-reconcilier-av-220416-113977
http://www.lesdechargeurs.fr/spectacle/ben-zimet