Dédicace des Basiliques St Pierre et St Paul
Sommaire :
France
- L’ambassade des États-Unis promeut les « jeunes » de la diversité contre les Français de souche
- Encore des vols par des mineurs étrangers dans les rues de Montpellier
- 14 Rroms voleurs de portefeuilles à Versailles au tribunal
- Attentat déjoué à Villejuif : 4 complices de Sid Ahmed Ghlam arrêtés
- Un envahisseur clandestin et 2 individus en procès pour home-jacking et violences
- Deux passeurs Kurdes interpellés lors d’une vaste opération de police
- Emeute entre deux familles de squatteurs originaire du Nigéria
- Maravi Yong aux assises pour vol et tentative de viol sur un handicapé
- Un Albanais et une Roumaine auteur de violences sur des prostituées
- Riad écope de 3 ans de prison pour un trafic de 108 kg de cannabis
- La juifstice au secours de la Le Pen contre son père
Etranger
Europe
- Belgique : la police gaze les militaires qui manifestent
- Hongrie : poursuite contre une députée socialiste qui a nié les crimes du communisme
- Roumanie : des espions privés israéliens condamnés pour tentative de corruption
- Grèce : émeutes et pillages par des envahisseurs sur l’île de Chios
Monde
- L’armée de l’entité sioniste effectue un premier exercice dans le ciel français
- États-Unis : Twitter lance une vague de censure contre la droite alternative
- Yemen : rejet de la trêve et reprise des combats
Ephéméride nationaliste
- 18 novembre 1936 : naissance de Marc Fredriksen
Agenda
- Madrid : Commémorations du 20 novembre – du 18 novembre au 21 novembre 2016
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France
L’ambassade des États-Unis promeut les « jeunes » de la diversité contre les Français de souche
Mettre le pied à l’étrier à 500 jeunes diplômés français issus de la diversité. Tel est l’objectif inédit de l’ambassade des États-Unis à Paris, qui a décidé, dans le cadre du programme « #JobsForAll – Révélons Tous Nos Talents », de donner un coup de pouce aux étudiants issus de quartiers défavorisés à pousser les portes de grands groupes. L’ambassade s’engage à les aider à décrocher des stages ou des contrats en alternance dans des entreprises américaines – GE, Google, J.P.Morgan, Facebook, Disney, Coca, Nike par exemple – ou françaises – LVMH, L’Oréal, EDF, Iliad, entre autres.
« En construisant ces ponts entre nos partenaires du secteur privé et cette jeunesse prometteuse, nous semons les germes des opportunités futures qui profiteront à nos deux pays », souligne Jane D. Hartley, ambassadrice des États-Unis. Concrètement, les offres de poste des entreprises seront transmises au cabinet spécialisé dans le recrutement de diplômés de la diversité, Mozaïk RH, partenaire avec J.P.Morgan de l’opération.
D’ici à décembre, ce cabinet présélectionnera les candidats qui seront présentés aux entreprises lors de trois sessions (décembre, février et mai). L’ambassade, qui accueille ces sessions, financera d’ailleurs le processus de préqualification et d’accompagnement des postulants. Elle guidera les premières foulées avant, peut-être, un grand saut vers l’Amérique…
On attend les cris d’indignation de Gilles Clavreul et autres officines de l’antiracisme délirant contre cette discrimination dite « positive » qui n’est qu’un racisme à rebours !
Encore des vols par des mineurs étrangers dans les rues de Montpellier
Dimanche vers 6h45, le client qui sortait d’une boîte de nuit du boulevard de l’Observatoire, dans le quartier de la Babotte à Montpellier s’est précipité vers des policiers en civil de la brigade anticriminalité (BAC) en patrouille pour leur signaler qu’il venait de se faire détrousser par un groupe de jeunes. Justement, les policiers venaient de repérer le manège suspect de ce groupe qui semblait être à l’affût des clients quittant les discothèques au petit matin, la plupart en état d’ivresse et donc des proies faciles.
Autour d’un adulte de 20 ans, un « Montpelliérain » déjà connu de la justice, des mineurs isolés étrangers approchaient les piétons, puis les encerclaient et en les bousculant leur dérobaient téléphones portables ou cartes bancaires en leur faisant les poches.
La victime venue se plaindre aux policiers de la BAC s’était faite dérober son téléphone mobile. Les policiers de la Sécurité publique ont réussi à interpeller le majeur de 20 ans et un complice de 16 ans, un des mineurs isolés qui avaient volé le iPhone. Lorsqu’ils ont compris qu’ils avaient identifiés comme étant en leur possession, ils s’en sont débarrassés. La victime a donc pu récupérer son iPhone. Les deux voleurs présumés ont été conduits au commissariat central.
14 Rroms voleurs de portefeuilles à Versailles au tribunal
Dix hommes et quatre femmes. En tout, ils sont quatorze à comparaître mardi dernier après-midi devant la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour vols en réunion sur des touristes au château de Versailles (Yvelines) et à la tour Eiffel. Tous proviennent de la même ville de Roumanie, Baia Mare, et vivaient dans les deux mêmes hôtels en banlieue parisienne, d’où ils partaient ensemble pour rejoindre les lieux touristiques.
Si deux interprètes ont été sollicités pour suivre les débats et permettre aux prévenus de se faire comprendre, le malentendu a subsisté entre eux et le tribunal. Tous reconnaissent des vols, mais pas forcément la manière. Les quatorze prévenus sont suspectés d’avoir monté une organisation de vols de portefeuilles au mode opératoire très précis.
Leur cible ? Les touristes, asiatiques de préférence, même si là encore, les avis divergent selon les personnes interrogées : « C’est quoi ces histoires de touristes asiatiques ? Moi je ne demande pas si les gens sont espagnols ou asiatiques » s’insurge l’un des prévenus. Proies parfaites, les touristes chinois transportent souvent de grosses sommes d’argent, « et restent parfois deux heures au château de Versailles avant de reprendre le car qui doit les emmener ailleurs, donc ils ne portent pas plainte », rappelle le président.
Lorsque celui-ci énonce les faits qui leur sont reprochés, et rappelle certains témoignages d’agents de sécurité du château de Versailles, la colère gronde dans l’un des deux box de la 14e chambre. « Je n’ai jamais menacé d’agent de sécurité », lance un des mis en cause, « ce n’est pas parce qu’on était en même temps au château de Versailles qu’on volait ensemble » tempête un autre.
Malgré des images de vidéosurveillance du site de la tour Eiffel qui montreraient plusieurs détenus infiltrer de façon très structurée une file d’attente pour dérober des portefeuilles et s’emparer des cartes bancaires, tous nient un système « de gang ».
Autre point commun : les sommes qui auraient été dérobées n’ont rien à voir avec celles avancées par les enquêteurs. Quand les policiers parlent de butins pouvant s’élever à 4.000 euros par jour par personne, les mis en cause de leur côté reconnaissent des entrées d’argent de l’ordre « de 30 à 100 euros maximum », ou bien « peut-être 300 à 400 euros » pour un autre.
Le président et ses deux assesseurs, qui ont tenté de savoir si l’un des prévenus, considéré comme le « chef » du groupe, avait spécifiquement fait venir des amis en France pour commettre des vols, n’ont pas eu la chance d’obtenir beaucoup de réponses.
Le procès doit s’achever en fin de semaine.
Attentat déjoué à Villejuif : 4 complices de Sid Ahmed Ghlam arrêtés
Attentat déjoué à Villejuif: Quatre complices présumés de Sid Ahmed Ghlam arrêtés
Du nouveau dans l’enquête sur l’attentat avorté de Villejuif. Quatre complices présumés de Sid Ahmed Ghlam ont été arrêtés ce mardi en région parisienne, selon des sources proches de l’enquête,. L’islamiste âgée de 25 ans est soupçonné d’avoir préparé l’an dernier un attentat contre une église à Villejuif dans le Val-de-Marne et d’avoir assassiné une mère de famille.
Ces quatre hommes arrêtés par la DGSI à Eragny et Osny (Val-d’Oise), Les Mureaux et Sartrouville (Yvelines) sont « soupçonnés d’avoir apporté à des degrés divers un soutien logistique » à Sid Ahmed Ghlam arrêté le 19 avril 2015, selon ces sources.
Un envahisseur clandestin et 2 individus en procès pour home-jacking et violences
Trois hommes soupçonnés d’avoir attaqué et séquestré une famille à Roques-sur-Garonne, fin septembre, ont été interpellés par les gendarmes de la section de recherches et écroués. L’un de ces suspects avait déjà été condamné pour les mêmes faits en 2011.Un mois après une violente séquestration commise chez deux jeunes filles de 25 et 26 ans et leur grand-mère de 71 ans, à Roques-sur-Garonne, près de Toulouse, l’enquête a rapidement avancé.
Deux passeurs Kurdes interpellés lors d’une vaste opération de police
Depuis le début de semaine, une opération de la police aux frontières est en cours sur le littoral. Elle vise à démanteler un réseau de passeurs kurdes, notamment implanté à Grande-Synthe
Mardi 15 novembre, une importante opération de police a été menée sur le camp de la Linière à Grande-Synthe. Ce sont des fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) de Coquelles qui sont intervenus, dans le cadre d’une enquête préliminaire, dirigée conjointement par le parquet de Dunkerque et de Boulogne-sur-Mer. Depuis plusieurs mois, les policiers enquêtaient sur un réseau de passeurs kurdes.
À l’origine de cette interpellation, l’arrestation d’un véhicule à l’entrée du port de Calais, dans la soirée de lundi. Les investigations ont mené les enquêteurs au camp de la Linière, où au moins deux passeurs présumés ont été interpellés.
Les deux individus pourraient être, à l’issue de leur garde à vue, présentés à la justice dans le cadre d’une comparution immédiate, d’ici la fin de semaine.
Émeute entre deux familles de squatteurs originaire du Nigéria
Deux familles originaires du Nigeria squattent une maison d’habitation à l’abandon, rue de Bayeux, au nord de Caen.
Une association caennaise pense bien faire en mettant une maison abandonnée, au nord de Caen (Calvados), à la disposition de deux familles nigériennes. Loin de s’entendre, elles sont en perpétuels litiges.
Dans la matinée du lundi 12 septembre 2016, la police municipale est appelée par deux fois car deux couples se battent dans la rue. La première intervention semble calmer le jeu. Mais vers 10h, une deuxième intervention est nécessaire car la rixe a repris, s’envenimant plus encore.
Hurlant dans un dialecte incompréhensible, deux femmes se portent des coups, tout en tenant chacune un jeune enfant contre leurs corps. Un homme d’une quarantaine d’années, quant à lui armé d’une barre de fer, se bat avec un autre. Tentant de séparer tout le monde, un agent laisse tomber son bâton de défense. L’individu s’en empare alors et le frappe sur le crâne. Finalement, un taser sera nécessaire pour venir à bout du groupe.
Le policier s’en sort très choqué avec trois jours d’incapacité de travail. Jeffery Omorodion, âgé de 37 ans, ne s’est pas présenté à l’audience du mercredi 16 novembre 2016 du tribunal de grande instance de Caen où il était jugé pour port d’arme et violence avec arme envers une personne dépositaire de l’autorité publique. Lors de l’enquête le prévenu reconnaît avoir eu en sa possession une barre de fer et un couteau (dont il ne se sépare jamais) mais il nie avoir frappé l’agent.
C’est une voisine magistrate qui a prévenu la police ce jour-là, car de très jeunes enfants présents dans la bagarre étaient en danger. Suite à cet événement, l’association a réagi et évacué les deux familles qui se sont retrouvées le soir même à la rue.
La procureure insiste sur la gravité de la scène, impressionnante de violence. Le prévenu continuait à se battre férocement même en présence de la police et se disant tout de même victime. Deux mois de prison ferme sont requis.
Au final, Jeffery Omorodion écope d’un mois de prison ferme, de 1 000 euros de dommages et intérêts et de 500 euros de frais de justice.
Maravi Yong aux assises pour vol et tentative de viol sur un handicapé
Trahi par son ADN, Maravi Yong a suivi sans mot dire les premières heures de son procès centré sur le traumatisme d’une victime âgée et handicapée.
Un jury composé de six femmes s’intéresse, depuis lundi à l’affaire Maravi Yong, du nom de ce « jeune » accusé de vol avec arme, tentative de viol sur une personne vulnérable et violences aggravées.
Les faits remontent à la nuit du 18 au 19 décembre 2014, dans un pavillon à Saint-Julien-les-Villas. Antoine y vit seul. Âgé de 68 ans, handicapé, il se déplace à petits pas et à l’aide d’une canne depuis plusieurs années. Un homme, « indiscutablement fragile », témoigne le docteur Aubrun.
Ce soir-là, le vieil homme oublie de fermer sa porte d’entrée…
Un Albanais et une Roumaine auteur de violences sur des prostituées
Pendant l’été, plusieurs prostituées vendant leurs charmes dans le centre-ville de Nîmes se sont retrouvées aux urgences du CHU. Des victimes qui avaient été très violemment frappées et blessées.
Après plusieurs mois d’enquête, un couple d’une vingtaine d’années a été interpellé. Le mari est albanais et la jeune épouse roumaine. Ils sont soupçonnés d’une série de violences sur les prostituées nîmoises. Lui, a été mis en examen et écroué pour « proxénétisme aggravé » et « violences volontaires avec plusieurs circonstances aggravantes« . Seules les violences sont retenues contre son épouse qui a également été mise en examen et incarcérée à la maison d’arrêt de Nîmes.
Dans ce dossier qui est loin d’être terminé, la police poursuit de nombreuses investigations sous l’autorité d’une juge d’instruction du tribunal de Nîmes. Les agressions des prostituées se sont déroulées autour des jardins de la Fontaine, du Boulevard Gambetta et de la Maison Carrée.
Riad écope de 3 ans de prison pour un trafic de 108 kg de cannabis
La valeur des stupéfiants dissimulés dans le camping-car a été estimée à plus d’un million d’euros.
C’est une prise importante que les douaniers ont réalisée le 13 octobre dernier : 108 kg de cannabis. Le transport avait tous les aspects pour passer inaperçu : un camping-car qui revenait d’Espagne, de Port-Bou. Les douaniers interceptent le véhicule sur l’A9 à 23 h 30 et le passent au scanner. Ils y découvrent une masse suspecte à l’arrière dans une soute. Des poches thermosoudées vont y être découvertes.
La valeur des stupéfiants à la revente est estimée entre 1 million et 1,5 million d’euros, ce qui a fait dire au Procureur qu’il s’agissait d’une des saisies les plus importantes en matière de stupéfiants. La personnalité du conducteur, mis en cause, a intrigué les enquêteurs tout au long de la procédure. Riad est né en Syrie en 1979 et réside actuellement à Bonn en Allemagne. Ce dernier, au cours de sa garde à vue, ne s’est pas montré coopératif comme l’a rappelé le tribunal : « Vous avez refusé de parler, vous avez déchiré votre déclaration de droit et dit que vous étiez traité comme un Nazi ». Il avait, en outre, refusé de se soumettre au prélèvement biologique pour son identification génétique.
A l’audience de comparution immédiate, Riad s’est un peu radouci, mais il a déclaré, comme la loi le lui permet, qu’il ne répondrait qu’aux questions de son choix. Ainsi, le tribunal n’en saura pas plus sur l’identité du propriétaire du camping-car. Les douanes vont fournir un contrat de location d’une semaine à 880 euros avec une caution de 1 000 euros. Malgré ce, le véhicule faisait l’objet d’une surveillance par les autorités allemandes pour un trafic présumé de stupéfiants. Les séjours répétés en Espagne notamment à Malaga, en mars, en avril, en mai et en juin derniers, n’auront fait qu’accroître les soupçons.
Le prévenu avait demandé le 17 octobre dernier un délai pour préparer sa défense. Au final, il n’aura dit que peu de choses au tribunal.
Quant à la procédure, l’avocat conteste les 108 kg pour lesquels son client risquait d’être condamné : « Il a été ouvert un sac, un seul test et c’est tout. Un seul sac a été testé ». La défense a demandé la relaxe. Ce que le parquet avait anticipé. Le magistrat a expliqué qu’il n’était pas étonné du comportement du prévenu à l’audience. Il a requis une peine de 7 ans de prison, maintien en détention et l’interdiction de séjour sur le territoire pendant 10 ans.
Le tribunal a finalement décidé de le condamner à 3 ans de détention pour le volet des stupéfiants. Il a également écopé d’une peine de 6 mois ferme pour le refus de se soumettre au prélèvement biologique. Le tribunal a de plus reçu l’amende douanière de 299 000 euros.
La juifstice au secours de la Le Pen contre son père
La justice valide l’exclusion de Jean-Marie Le Pen, qui reste président d’honneur
Après plus d’une année de bisbilles assassines, Jean-Marie Le Pen conserve le statut de Président d’Honneur du parti qu’il a cofondé en 1972. Il n’en est en revanche plus légalement membre, a tranché la justice jeudi 17 novembre.
Au mois d’août, le bureau exécutif du Front national avait voté l’exclusion de Jean-Marie Le Pen et jugé « incompatible avec la ligne du parti ». Cette décision, contestée par l’intéressé, vient d’être validée par le tribunal de grande instance de Nanterre.
Dans leur décision, les juges expliquent que Le Pen demeure « investi » de sa qualité de Président d’Honneur et, « en conséquence », « devra être convoqué en qualité de membre de droit de toutes les instances » dirigeantes du parti dirigé par sa fille Marine Le Pen. Il pourra aussi y « participer », mais « sous astreinte de 2.000 euros par infraction constatée », précisent-ils.
Le Front national est en outre condamné à verser 15 000 euros de dommages et intérêts à Jean-Marie Le Pen, pour lui avoir interdit depuis plus d’un an d’exercer ses fonctions de Président d’Honneur et pour avoir publié l’an dernier les résultats d’une consultation des adhérents portant sur la suppression de la présidence d’honneur, malgré la suspension de cette consultation par la justice.
L’exclusion de Jean-Marie Le Pen en tant que membre « n’a pas d’importance et tout ce qui compte c’est la qualité de président d’honneur », « nous considérons ça comme une victoire pour M. Le Pen », a commenté son avocat Frédéric Joachim.
Etranger
Europe
Belgique : la police gaze les militaires qui manifestent
Mardi 15 novembre, la police bruxelloise a utilisé des canons à eau et du gaz lacrymogène contre une manifestation de militaires qui tentaient de percer le cordon et de s’approcher de l’immeuble du gouvernement abritant le bureau du ministre belge de la Défense.
Selon des syndicats, près de 10 000 militaires ont pris part à la manifestation. La police a pour sa part enregistré plus de 8 000 manifestants. Aucune victime n’est à signaler suite aux affrontements entre les manifestants et les policiers.
Les militaires ont protesté contre la décision des autorités belges d’augmenter progressivement l’âge de leur retraite de 56 ans actuellement à 63 ans d’ici 2030. En Belgique, il est rare de voir les militaires manifester. La dernière manifestation remonte à 2002 et réclamait une reconsidération du statut des militaires. Selon les lois belges, les militaires n’ont pas le droit de mener des grèves, cependant, ils peuvent organiser des manifestations pendant les fêtes, et le 15 novembre, la Belgique célèbre la fête du roi. Depuis avril dernier, l’effectif de militaires qui assurent la sécurité sur le territoire du royaume, où Bruxelles a introduit un troisième niveau de menace terroriste, a atteint 1 828 personnes. Les lieux fréquentés de la capitale, y compris les gares et le métropolitain, sont patrouillés par des groupes conjoints de militaires et de policiers.
Au milieu du cordon de tête, signalons la présence de l’ancien militaire, notre ami chef du mouvement Nation : Hervé Van Laethem.
Hongrie : poursuite contre une députée socialiste qui a nié les crimes du communisme
Des plaintes ont été déposées à l’encontre de Szófia Havas, cadre du Parti socialiste hongrois. Elle est suspectée d’avoir nié les crimes perpétrés sous le communisme.
Le Jobbik et l’association des Jeunes démocrates chrétiens ont déposé plainte auprès des autorités pour appuyer l’accusation. A l’occasion de 60e anniversaire de la Révolution de 1956, Mme Havas a déclaré à un média russe que cette révolution a été une « provocation » de la part des fidèles de Miklós Horthy, régent de Hongrie de 1920 à 1940, qui auraient fait « du porte a porte à la recherche de Juifs et de communistes ». Le parti Socialiste a lancé une procédure disciplinaire contre Szófia Havas. Si les autorités la déclarent coupable elle risquerait jusqu’à 3 ans de prison.
A quand en France une loi punissant la négation des crimes du communisme ? On n’entend pas beaucoup Gilles Clavreul et ses sbires antiracistes sur ce terrain-là ?
Roumanie : des espions privés israéliens condamnés pour tentative de corruption
Jeune Nation avait signalé au mois d’avril dernier une enquête ouverte contre 4 citoyens juifs en Roumanie pour avoir tenté de déstabiliser et intimider Laura Codruta Kovesi, procureur général en charge du parquet national anti-corruption. Mercredi 16 novembre, le verdict a été rendu contre l’un des accusé, le juif David Geclowicz, qui s’est vu infliger une peine d’emprisonnement avec sursis de deux ans et huit mois accompagné de 80 jours de service d’intérêts généraux pour avoir espionner et tenter de compromettre des personnes proches de Laura Kovesi.
Geclowicz est un agent d’une entreprise israélienne d’espionnage privé, Black Cube, qui de définit elle-même comme un « groupe restreint d’anciens combattants des unités de renseignement d’élite israéliennes » et qui met en avant l’ancien directeur du Mossad, Meir Dagan, décédé un peu plus tôt cette année, comme son président d’honneur.
Ron Weiner, un autre juif employé de Black Cube, est actuellement en attente de détermination de sa peine dans la même affaire alors qu’un mandat d’arrêt a été délivré contre un troisième employé.
Geclowicz et Weiner ont été placé en résidence surveillée depuis leur arrestation en avril dernier. Ils ont plaidé coupable devant la justice roumaine pour avoir créé un groupe criminel organisé, avoir accéder frauduleusement à des systèmes informatiques et pour avoir violé l’intégrité des données personnelles des personnes ciblées.
Laura Kovesi, nommé plus tôt cette année pour un second mandat en tant que procureur en chef du service judiciaire roumain anti-corruption de Roumanie, est connu pour son caractère accrocheur et impitoyable. Son service a poursuivi quelques 1 250 cas seulement en 2015, y compris contre des personnalités de premier plan comme un ancien premier ministre et cinq ex-ministres.
Grèce : émeutes et pillages par des envahisseurs sur l’île de Chios
Des envahisseurs logés dans le camp d’accueil de Souda ont tenté de quitter le camp pour s’affronter avec des militants d’Aube Dorée et des autochtones qui manifestaient contre l’invasion de leur île et de leur pays.
Ils se sont rassemblés et provoquent des incidents depuis mercredi 16 novembre au soir sur l’île de Chios. En plus d’avoir détruit une grande partie du camp en y mettant le feu, les envahisseurs ont pillé un magasin de feux d’artifice et ont commencé à viser les commerces et les maisons des autochtones avec des fusées. Ils ont également caillassé des véhicules et pillé de nombreux commerces.
La police anti-émeute a été obligée d’intervenir et d’investir le camp. 4 personnes ont été hospitalisées et la police a procédé à une cinquantaine d’arrestations dont des membres du personnel « humanitaire », en réalité des traîtres favorisant l’invasion.
Vidéo :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=TKOnVCgrsrU[/youtube]
Monde
L’armée de l’entité sioniste effectue un premier exercice dans le ciel français
La coopération aérienne entre les deux pays s’effectue par le biais d’escadrons navals
L’armée d’occupation sinoste a organisé un exercice aérien conjoint avec la France sur l’île de Corse ces deux dernières semaines, a rapporté mercredi le quotidien Haaretz.
C’est la première fois que des pilotes israéliens rejoignent leurs homologues français dans l’espace aérien français.
L’exercice a porté sur les batailles aériennes, impliquant les avions israéliens F-15 et des rafales français.
Un certain nombre de spectateurs ont pris des photos des avions israéliens F-15 « Baz » ainsi que du Boeing 707 surnommé « Ram ».
États-Unis : Twitter lance une vague de censure contre la droite alternative
Après les nombreuses manifestations de l’extrême-gauche aux États-Unis financées par George Soros suite à la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles, le système a lancé une offensive sur les réseaux sociaux afin de neutraliser les activistes jugés responsables de sa victoire. Ce dernier avait même lancé dans sa première interview accordée après son élection, que les réseaux sociaux avaient « autant de pouvoir » que les médias du système et qu’ils l’avaient fait gagner.
Ainsi, au moins une dizaine de comptes influents de la droite alternative – « alt-right » -, ont été suspendus cette semaine sur Twitter. Par exemple, parmi eux, celui de Richard Spencer, cette figure tutélaire du mouvement, ainsi que les comptes qui lui sont indirectement affiliés, comme son cercle de réflexion NPI (« The National Policy Institute »), et son journal en ligne « Radix ». Dans une vidéo en ligne, Richard Spencer a dénoncé une action de « stalinisme d’entreprise, au sens où il s’agit d’une purge, et qu’elle vise les gens en fonction de leurs opinions ». Les comptes semblent avoir été ciblés sur la base des fiches politiques établies par le SPLC, une structure d’extrême-gauche associée au Parti démocrate américain.
D’autres sympathisants de la droite alternative avaient déjà fait l’objet de suspension définitive de compte, comme le polémiste Milo Yiannopoulos, journaliste conservateur pro-Trump du site Breitbart.
Twitter a refusé comme à son habitude de commenter la suspension de ces comptes, se contentant, dans un communiqué, de rappeler que « les règles de Twitter interdisent les insultes et le harcèlement » et que l’entreprise « suspend les comptes qui les violent »… tant qu’ils ne se font pas les promoteurs du projet du judaïsme politique. Combien de comptes racistes anti-blancs du mouvement « Black Lives Matter » ont-ils été suspendus ?
Yemen : rejet de la trêve et reprise des combats
Le Yémen s’enfonce dans la guerre malgré les tentatives de cessez-le-feu. Au moins 51 combattants ont été tués en 24 heures dans de violents affrontements entre rebelles et forces loyalistes dans l’ouest du pays. Les combats ont opposé les forces loyalistes aux rebelles chiites houthistes autour de Midi, une ville portuaire du nord-ouest du pays, proche de la frontière saoudienne.
Les forces loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi ont lancé une offensive sur trois axes pour reprendre aux rebelles Midi et Haradh, une localité voisine, dans laquelle elles ont perdu au moins 15 de leurs hommes. Elles ont dénombré 23 morts dans les rangs des rebelles. « Nos opérations militaires se poursuivront pour [les] chasser », a déclaré le colonel Abdel Ghani Al-Chubaili, un officier des forces pro-Hadi qui bénéficient également des frappes aériennes de la coalition arabe sous commandement saoudien.
Dans le Sud-Ouest, 9 rebelles et 4 soldats ont également été tués mercredi dans les combats qui font rage autour de Taëz, la troisième grande ville du Yémen. Dans cette ville aux mains des rebelles, les forces pro-Hadi ont réussi à se rapprocher du palais présidentiel et du quartier général de la police, situés dans l’est. Mardi, les combats à Taëz et dans ses alentours avaient déjà fait 39 morts, dont 5 civils, 20 soldats et 14 rebelles, selon des sources militaires.
Jusqu’à présent, toutes les tentatives de trêve ont échoué. La dernière, négociée par les Nations unies, était entrée en vigueur le jeudi 20 octobre. Trois jours plus tard, les deux parties avaient repris les combats. John Kerry, a proposé mardi une nouvelle initiative de paix prévoyant une trêve à partir de jeudi et un gouvernement d’union nationale. Mais cette offre a été aussitôt rejetée par le gouvernement de M. Hadi.
Le conflit au Yémen a fait plus de 7 000 morts et près de 37 000 blessés, selon l’ONU.
Ephéméride nationaliste
18 novembre 1936 : naissance de Marc Fredriksen
Agenda
Madrid : Commémorations du 20 novembre – du 18 novembre au 21 novembre 2016
Délégation de Jeune Nation et du Parti Nationaliste Français.
Inscription et renseignements : 07.62.84.04.35.
© Jeune nation – 2016
Charles Ier, son épouse et deux enfants, 1633, Antoine van Dyck
(Royal Collection – Windsor)