FRANCE
Otages : plus de 20 millions d’euros de rançon et l’impunité pour les rebelles
Selon une source nigérienne proche des négociateurs, c’est en contre-partie du paiement de 20 à 25 millions d’euros que les quatre otages d’Areva ont été libérés. Cette somme comprend la rançon exigée par les ravisseurs, mais également le salaire exigé par les « intermédiaires ». Selon Le Monde, cet argent a été versé directement par la France via les fonds secrets alloués aux services de renseignement, avec l’accord direct de François Hollande.
N’étant plus à un mensonge près, le gouvernement a une nouvelle fois démenti le versement de toute rançon, sans donner une raison rationnelle qui expliquerait sinon la délivrance des prisonniers.
Selon une source touarègue, qui a confirmé le versement d’une rançon d’environ 20 millions d’euros, c’est l’impunité accordée à Iyad Ag Ghaly, chef d’un ancien groupe de rebelles touaregs reconverti dans la lutte djihadiste, les Défenseurs de l’Islam, ainsi qu’à ses proches, qui a été déterminante dans les négociations.
Alors que la prise d’otages avait été effectuée en 2010, ce n’est qu’hier que le parquet de Paris a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire pour enlèvement et séquestration en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste et mise en danger de la vie d’autrui. Une source judiciaire citée par la presse a précisé que « l’ouverture de cette enquête n’était pas liée à la libération des otages ».
Prime à la violence patronale : Marylise Lebranchu évoque des écotaxes différentes selon les régions
« Le premier ministre veut qu’on mette tout sur la table, qu’on sorte par le haut, qu’on voit effectivement, peut-être, diminuer fortement ou exclure un certain nombre de transports de cette taxe poids lourds. En Bretagne d’abord, dans d’autres endroits peut-être »
a déclaré hier Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l’État, visiblement peu attaché à l’égalité des citoyens devant l’impôt. L’égalité fiscale est pourtant un principe constitutionnel découlant de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, fondement de leur république.
Jean-Marc Ayrault ne semble pas exclure cette proposition puisqu’il a déclaré « vouloir se donner le temps nécessaire d’un dialogue au niveau national et régional », laissant entendre que les départements ou les régions qui ne se mobiliseraient pas violemment contre l’écotaxe pourraient être plus ponctionnés que les autres.
Salauds mais pas que
Quelques jours après l’annonce du démantèlement d’un nouveau réseau de prostitution, pour lequel il avait été révélé que des jeunes filles d’Europe de l’Est étaient enlevées, violées, battues, droguées et menacées, Causeur, le site internet d’Elisabeth Lévy, lance une pétition rattachée à un « Manifeste des 343 salauds » qui exige la fin de la répression de la prostitution. Adeptes du libéralisme mercantile amoral imposé par nos ennemis après 1945, ils s’inscrivent dans la lignée du combat féministe, dont les pires représentantes avaient signé le « Manifeste des 343 salopes » réclamant le droit à l’avortement, qui a abouti officiellement à la mort de 4 761 568 enfants à naître entre 1975 et 2011.
Parmi les premiers signataires de cette pétition, sous la houlette d’Élisabeth Lévy, on note la présence parmi les 19 premiers signataires d’au moins cinq de ses coreligionnaires : Richard Malka, Marc Cohen (par ailleurs rédacteur en chef et membre du comité éditorial de Causeur), Eric Zemmour, Luc Rosenzweig et Gil Mihaely (par ailleurs directeur de la publication de Causeur).
[…] Homos ou hétéros, libertins ou monogames, fidèles ou volages, nous sommes des hommes. […] Mais nous considérons que chacun a le droit de vendre librement ses charmes – et même d’aimer ça. Et nous refusons que des députés édictent des normes sur nos désirs et nos plaisirs.
[…] Aujourd’hui la prostitution, demain la pornographie : qu’interdira-t-on après-demain ?
Nous ne céderons pas aux ligues de vertu qui en veulent aux dames (et aux hommes) de petite vertu. Contre le sexuellement correct, nous entendons vivre en adultes.
Tous ensemble, nous proclamons :
Touche pas à ma pute !
peut-on lire dans le manifeste.
Un festival maçonnique financé par le contribuable toulousain
C’est avec le soutien de la mairie (PS) de Toulouse, du conseil général (PS) de Haute-Garonne et du conseil régional (PS) de Midi-Pyrénées qu’est organisé à Toulouse le 3e Salon du livre et de la culture maçonniques de Toulouse, sous la direction de « l’Institut toulousain d’études maçoniques [sic] (ITEM) et [des] obédiences représentées tant sur la région Midi-Pyrénées qu’au plan national » lit-on sur un site de la secte. Comme au temps de la IIIe République agonisante, la maçonnerie, mafia de la bourgeoisie dégénérée, est devenue le compagnon de route du parti qui incarne, avec elle, le Système, sa corruption, sa vacuité, son impossibilité à se réformer.
L’ITEM a obtenu une subvention exceptionnelle supplémentaire de 1 400 € de la part de la mairie de Toulouse – dirigée par M. Cohen – en juin 2013 pour ce salon (subvention accordée au titre de la « politique festivalière et de rayonnement » dans la partie « pluridisciplinaire » où nous retrouvons le Bazar au Bazacle et l’association Hebraïca, pour l’organisation de la « Journée de la culture juive 2013 » (10 000 €) et Kirikou événements qui avait obtenu 5 000 € pour le festival de suppuration ethnique Festi’couleurs). Les montants des subventions attribuées par les autres organismes socialistes n’ont pas été rendus publics.
Antidote
« Ce qui ressort de ces portraits, c’est avant tout l’absence cruelle de considération pour ces petits Blancs. Damnés de l’époque, leur malédiction est bien d’être blanc, et donc de faire partie d’une majorité dans laquelle ils perdent “tout trait identifiable”.
La situation du petit Blanc s’impose alors comme l’exact inverse du Juif tel que le définissait Jean-Paul Sartre :
“Le Juif de Sartre reste juif, en dépit de ses inlassables efforts pour se fondre dans la masse” écrit l’auteur, le Blanc d’aujourd’hui reste anonyme, en dépit d’une expérience qui lui rappelle, chaque jour, à quel point il est particulier ».
Un article de l’Huffington Post à propos de Aymeric Patricot, Les Petits Blancs, éditions Plein jour.
Occupation
-Pour les milliers de vols et agressions commis chaque jour dans les transports en commun de la région parisienne, seules un peu moins de 60 personnes sont interpellées par la police. Il s’agit dans la plupart des cas de voleurs à la tire pour lesquels l’arrestation n’aura aucune conséquence.
-Parmi les nombreuses agressions violentes signalées par la presse, signalons l’attaque d’un couple gérant un bar-tabac à Asnières-sur-Seine. Les trois cambrioleurs, après avoir volé 40 000 euros et ligoté les deux victimes à leur domicile, ont mis feu à leur commerce, situé sous leur appartement. L’établissement a été totalement détruit, mais les propriétaires ont pu être sauvés par les pompiers.
-À La Courneuve mardi, des hommes armés ont attaqué un dépôt et volé pour 70 000 euros de téléphones portables.
-L’homme suspecté d’avoir porté les coups mortels, lors de l’affrontement entre deux bandes à la sortie d’une boîte de nuit de Grenoble qui avait fait un mort samedi dernier, a été arrêté. Un appel à témoin avait été diffusé montrant un non-Européen de grande taille porteur de cheveux peignés en « dreadlocks ».
EUROPE
David Cameron veut faire de Londres la grande place de la finance islamique
Le premier ministre de Grande-Bretagne veut faire de la Grande-Bretagne le premier pays de l’aire européenne à émettre des emprunts souverains hallal, dit sukuk. Il s’agit, dans la tradition hypocrite islamique, d’emprunts qui obéiraient aux préceptes émis par Mahomet, permettant en réalité de contourner les interdits pesant sur la spéculation et sur le prêt à intérêt. Dès 2013, 200 millions de livres sterling d’emprunts seront proposés et devraient « constituer un apport précieux pour les six établissements financiers islamiques de Grande-Bretagne » (Reuters).
Pour la première fois de l’histoire, le Forum économique du monde islamique s’est déroulé en terre européenne, à Londres, à l’invitation du juif David Cameron.
NSA : le Vatican, Google et Yahoo étaient (aussi) espionnés
Jours après jour, la presse distille, lentement, les informations sur l’espionnage par les États-Unis de leurs alliés européens, les viols des traités internationaux comme bilatéraux par l’administration de Barack Obama, etc. Dans son édition du 31 octobre, le journal italien Panorama révéle que le Vatican figurerait parmi les cibles des services américains. Parmi les 46 millions d’appels téléphoniques écoutés par la NSA se trouvaient ceux émis depuis et vers le Vatican, notamment au moment de la succession de Benoît XVI. « Le soupçon existe que même les conversations du futur souverain pontife puissent avoir été contrôlées. Bergoglio était déjà depuis 2005 l’objet de l’attention des services secrets américains » précise le journal citant Wikileaks. Les services secrets italiens, qui, ont collaboré – ou collaborent – aux actions de la NSA, ont démenti.
Par ailleurs l’hebdomadaire allemand Stern indique aujourd’hui qu’une trentaine d’entreprises américaines font de d’espionnage en Allemagne, et collaborent à la NSA en apportant leur aide pour l’analyse des écoutes, en coordonnant les missions des agents secrets, mais aussi en entraînant les soldats américains aux techniques d’espionnages. Ces entreprises sont également liées aux missions des drones de combat envoyés vers l’Afrique, via la ville de Stuttgart qui abrite le siège du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM). Une soixantaine d’autres entreprises sont concernées à un degré moindre.
Aux États-Unis, le Washington Post a révélé l’existence du programme MUSCULAR, mis au point par la NSA et son homologue britannique, et grâce auquel les services secrets avaient intercepté les données de centaines de millions d’utilisateurs de Google et Yahoo à travers le monde, en piratant les fibres optiques utilisées par ces sociétés. La NSA aurait agi pour cela hors du territoire américain pour échapper aux contraintes administratives et judiciaires américaines.
In memoriam : Charlene Downes, violée et assassinée par des immigrés toujours en liberté
Il y a 10 ans, le 1er novembre 2002, Charlene Downes disparaissait à Blackpool (Grande-Bretagne) dans un quartier où la police a reconnu plus tard qu’une soixantaine de jeunes filles blanches (dont la plus jeune identifiée avait onze ans) avait été l’objet de détournements de mineurs par des immigrés.
Le Jordanien Iyad Albattikhi et l’Iranien Mohammed Reveshi avaient été libérés après un procès marqué par des agressions et des menaces contre plusieurs jurés. Un témoin déclara à l’audience :
« Ces personnes parlaient de relations sexuelles avec des jeunes filles blanches, et ils firent mention d’actes sexuels avec Charlene. Albattikhi rigola en disant qu’elle était perverse et très petite. […] Lui et les autres personnes présentes plaisantèrent en disant que Charlene avait fini en kebabs. »
Le corps de la jeune fille de 14 ans n’a jamais été retrouvé, pas plus que celui de Paige Chivers, disparue le 23 août 2007 dans le même quartier.
Le mouvement nationaliste anglais BNP participera à partir 1er novembre à des manifestations pour exiger la tenue d’un nouveau procès.
ÉTRANGER
Tension autour du voyage de François Hollande en Palestine occupée
Yuli-Yoel Edelstein, le président d’extrême droite du parlement juif de l’entité sioniste, la Knesset, a appelé au boycott de François Hollande lors de sa prochaine venue en Israël à la mi-novembre. Alors même que le programme de François Hollande n’est pas encore déterminé, Yuli-Yoel Edelstein lui reproche de ne pas vouloir prendre la parole devant les députés et a annoncé son intention de ne pas le recevoir. L’agressivité du politicien juif n’a provoqué aucune réaction de la part des autorités françaises.
Yuli-Yoel Edelstein est un Ashkénaze arrivé de Russie en 1987. En 1979, il avait menti aux autorités pour obtenir un visa pour Israël et avait été expulsé de l’université. En 1984, il avait écopé d’une peine de trois ans et demi de prison pour trafic de drogue.
Palestine occupée : nouvelles provocations juives
L’État criminel d’Israël a annoncé la construction de 1 500 logements dans la colonie illégale de Ramat Shlomo à Jérusalem-Est.
L’annonce n’a été marquée par aucune réaction de la « communauté internationale ».
Diffusion du meurtre d’un élève dans la cour d’un établissement d’Afrique du Sud
Une vidéo a été postée sur Youtube et diffusée pendant plusieurs heures avant d’y être censurée, non sans avoir été reprise entre-temps par de nombreux autres sites. La vidéo a été réalisée dans la cour de récréation du lycée Isizimele, dans la province du Kwazulu-Natal d’Afrique du Sud : elle montre un groupe d’adolescents noirs attaquer un de leurs congénères, le frapper puis le poignarder à mort avant de s’enfuir, devant des dizaines d’autres étudiants. La victime, âgée de 18 ans, est décédée peu après à l’hôpital ; deux autres élèves ont été blessés.
Quelques jours plus tôt, un lycéen de 16 ans a été battu à mort au lycée Kgothalang de Bekkersdal dans la province du Gauteng.
Depuis la fin de l’apartheid, l’Afrique du Sud livrée aux dirigeants communistes noirs de l’ANC et leurs successeurs, s’est enfoncée dans un chaos chaque jour plus terrifiant. Dans un contexte général de racisme anti-blanc qui s’apparente à un génocide, il faut préciser que les faits évoqués ici concernent des Africains.
Le monde en guerre
-La Tunisie a été le théâtre de deux attentats hier. L’attaque d’un hôtel de Sousse a échoué, conduisant à la seule mort du terroriste qui s’est fait exploser. Une attaque a également été déjouée contre le mausolée de l’ancien président tunisien Habib Bourguiba.
AGENDA
3 mars 2013, Metz (Lorraine) : accueil de Manuel Valls