Yvan BENEDETTI, directeur de publication du journal Jeune Nation, habitué aux persécutions judiciaires, sera jugé ce mardi 29 mars à la 17ème chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris.
Il est poursuivi dans deux nouvelles affaires, la justice d’occupation s’acharnant littéralement et sans relâche sur les nationalistes (ennemis de leur système corrompu, entièrement soumis au judaïsme politique), quand les français préféreraient que ce soit contre les terroristes.
La première, à la requête du Procureur de leur République de PARIS, saisi par une plainte de l’association communautaire de l’anti-France LICRA en avril 2014, concerne des prétendus faits d’incitation à la haine ou à la discrimination en raison de l’appartenance raciale, religieuse, ethnique ou nationale, dans des articles et des visuels parus sur JEUNE NATION, dénonçant la politique immigrationniste du gouvernement. Les articles correspondants de la loi du 29 JUILLET 1881 sur la presse, pourraient faire condamner Yvan BENEDETTI à une peine d’un an d’emprisonnement et 45 000€ d’amende.
La seconde affaire dans laquelle est inculpé le directeur de Jeune Nation, est d’avoir dénoncé dans un article, la réaction honteuse et insultante envers les français, du procureur de la république de Narbonne, David CHARMATZ, après une énième profanation de cimetière, à SAINT-LAURENT DE LA CABRERISSE. Le procureur de l’anti-France avait nié l’évident caractère anti-chrétien de la profanation. Des actes systématiquement minimisés, voir occultés par les représentants de la république et la presse aux ordres.
Yvan BENEDETTI encoure jusqu’à 45 000€ d’amende par les juges serviles, au motif de « diffamation » à l’encontre d’un représentant de la république.
Le CLAN invite les nationalistes à venir soutenir le directeur du journal d’information sans concession lors de son procès politique, cet après-midi à 13h30, devant la 17ème Chambre correctionnelle du TGI de Paris, boulevard du Palais.
Yvan BENEDETTI a communiqué sur cette nouvelle journée de rendez-vous avec les juges aux ordres de l’anti-France.
La répression n’est rien, la lutte de délivrance nationale est tout !
Belle journée saupoudrée d’un peu de répression avec deux procès devant la « prestigieuse » 17ème chambre correctionnelle de Paris. Ces procès ne doivent pas nous détourner de l’essentiel : le combat pour les nôtres, pour la France éternelle. Nous nous battons pour rétablir nos droits souverains fondamentaux, pour plus de justice sociale que garantit un travail pour tous et surtout pour raviver la flamme de l’Espérance et donner un avenir de paix à nos enfants.
Les manoeuvres des charognards communautaristes de la Licra et du parquet d’une justice à genoux devant les marchands du temple que nous avons contre nous au Tribunal ne sont que 2 gouttes de sueur qui perlent sur notre front de paysans politiques, de nationalistes qui, imperturbables, continuent à labourer le champ national pour préparer les moissons d’avenir.
« Demain les blés seront plus beaux ! »