Partout en France, les agriculteurs se mobilisent pour défendre leur travail, leur dignité et leur avenir face à une mondialisation destructrice. Leur combat est celui de tous les Français, car il touche à notre souveraineté, nos terroirs et la survie de nos campagnes.
Les accords tels que le Mercosur sont une véritable déclaration de guerre économique contre nos agriculteurs. Ces traités favorisent des importations à bas coût, issues de pratiques contraires à nos normes sociales et environnementales, tout en enrichissant les multinationales. L’agriculture française, déjà fragilisée, ne survivra pas à cette concurrence déloyale, et l’Union Européenne ne montre aucune volonté de protéger les agriculteurs.
Nos campagnes, déjà affaiblies par la désertification et un modèle économique mondialiste, subissent un assaut final. Pourtant, les agriculteurs résistent pour préserver une agriculture familiale, locale et respectueuse des écosystèmes. Leur combat pour des prix justes, contre les importations déloyales et pour le maintien des filières locales est un combat pour une France souveraine.
Mais leur lutte est entravée par des syndicats comme la FNSEA, qui trahissent les petits et moyens agriculteurs pour protéger les grands groupes agro-industriels et leurs propres intérêts. La pseudo-opposition de ces syndicats au Mercosur n’est qu’un théâtre, destiné à sauver les apparences à l’approche des élections professionnelles. Agriculteurs, ne soyez pas les dindons de cette farce. Reprenez le contrôle de votre destin.
Nous appelons les agriculteurs à s’organiser de manière autonome : créez des collectifs locaux indépendants, développez des circuits courts et établissez des relations directes avec les consommateurs. Refusez les manipulations des syndicats corrompus et des institutions complices. L’avenir de l’agriculture repose sur l’autonomie, la solidarité et un modèle enraciné dans nos territoires.
Nous appelons également les agriculteurs à élargir leur combat en combattant toutes les manifestations du mondialisme : le libre-échangisme forcené mais aussi la circulation incontrôlée des personnes, qui aboutit à tant de crimes, et la destruction de la famille et de notre peuple par la promotion des déviances et de l’avortement. Les opposants au Système ne doivent pas demeurer isolés dans des revendications catégorielles.
Soutenir nos paysans, c’est défendre la France. La souveraineté alimentaire et la préservation de nos campagnes sont des enjeux essentiels pour notre nation. Chaque ferme qui disparaît emporte un pan de notre économie, de nos traditions et de notre identité. Il n’y a pas de pays sans paysans.
Aux consommateurs, nous lançons cet appel : soutenez vos producteurs locaux en privilégiant les produits français, garants de qualité et de respect des traditions. C’est un devoir citoyen de se mobiliser aux côtés des agriculteurs pour défendre notre patrimoine commun. Les Nationalistes seront en première ligne dans ce combat pour la survie de notre agriculture et de ceux qui la font vivre.
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🇫🇷 Partout les agriculteurs se mobilisent pour défendre leur travail, leur dignité et leur avenir. Leur combat est celui de tous les Français, car il touche à notre souveraineté, nos terroirs et la survie de nos campagnes.
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Adolescente, le titre d’un livre avait attiré mon attention : « La terre qui meurt » de René Bazin. Après lecture, le sentiment, l’intérêt que j’ai éprouvés pour la paysannerie, ne m’ont jamais quittée.
Récemment, en randonnée, j’ai été témoin d’un drame qui m’a émue aux larmes. Un paysan au regard désespéré, assistait au départ de ses vaches dans un grand camion métallisé.
La gorge serrée, je me suis approchée de sa clôture afin d’en savoir davantage et il m’avoua qu’il avait pu en garder quatre… Puis d’un geste de la main, il m’indiqua la propriété adjacente à la sienne et me dit : « Hier, nous avons échangé quelques mots, ce matin, j’ai appris qu’il s’était suicidé »…
Sauf, qu’à ma connaissance, il n’y a plus de « petits paysans » depuis les années 60/70.
Ceux que vous appelez les oetits paysans, sont déjà des industriels de l’agriculture, même s’il peut y en avoir de plus gros. Ce qui leur arrive, ne sont que les conséquences de leur gestion capitaliste effrénée. Pesticides, engrais à tout va, remembrement qui ont détruit l’écosystème, l’achat ( à crédit) de machines toujours plus performantes rt destructrices de l’environnement. Les derniers vrais paysans, ont disparu dans les années 1960. Je me souviens encore d’eux.