Le 17 mai était la journée internationale « contre l’homophobie et la transphobie ». Si la propagande autour des actes contre-nature et des « dysphories de genre » (c’est le nouveau vocabulaire à prétention scientifique pour qualifier ces troubles) pouvaient se limiter à cette unique journée dans l’année, on en serait déjà un peu soulagé. Mais ce n’est pas le cas. Les promoteurs de la chose sont omniprésents dans la société et les médiats. Et Pap Ndiaye veut maintenant l’approfondir jusqu’au sein des écoles, déjà largement pénétrées d’ailleurs.
Le ministre a donc lancé ce 17 mai une campagne dite de « sensibilisation dans les collèges et lycées » (donc à destination des 11-17 ans) à cette occasion. Pap Ndiaye s’y était engagé en janvier. Il impulse ainsi partout en France une campagne pour « sensibiliser les collégiens et lycéens à l’accueil des personnes dites LGBT » avec le slogan « Ici on peut être soi ». Dans le viseur : élèves mais aussi professeurs. Ainsi, des affiches sont proposées dans les établissements et du matériel « pédagogique » est mis à disposition des enseignants et du personnel.
En déplacement au collège Joliot-Curie à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), Pap Ndiaye a avoué que cela faisait une décennie que le ministère de l’Education planchait sur les questions liées à « l’homosexualité » et « la transsexualité ».
Selon le communiqué officiel, l’objectif est de permettre à chacun de « vivre pleinement son identité », le ministère jugeant la situation « alarmante avec des cas d’insultes, de harcèlement, de mise à l’écart, d’échec scolaire, de repli sur soi et même de comportement suicidaire ».
Encore une fois dans ces affaires, on utilise le prétexte de maux qui ne touchent pas seulement et exclusivement les « LGBT » pour prendre des mesures de rééducation mentale, plus ou moins subliminales, de toute la population et plus particulièrement les plus jeunes, au profit de ces groupes particuliers.
Harcèlement, mise à l’écart, échec scolaire, suicide, sont loin de ne frapper que les LGBT. Depuis que le monde est monde, les cours de récré sont des lieux peu tendres pour les « petits », les « grands », les « gros », les « maigres », les « roux », les « malhabiles », ceux portant un nom difficile « à porter »… et toute singularité peut y être prétexte à quolibets ou pire. Mais ceux-là ne semblent pas avoir la faveur d’avoir touché l’intérêt du ministre. Nous n’entrerons pas plus loin dans le sujet.
Une tactique qui n’est pas sans rappeler, par exemple, celle déjà utilisées depuis des décennies par les pouvoirs publics sur le sujet des « violences faîtes aux femmes ». Avec le peu de résultats que l’on peut constater dans ce domaine pourtant.
Loin de nous l’idée d’approuver, cautionner, encourager quelques de ces actes odieux. Mais force est de constater que la société est globalement de plus en plus violente, que personne ne peut s’en croire épargner : + 8 % d’homicides en 2022 par rapport à 2021, + 15 % de coups et blessures volontaires, + 2 % de vols avec armes… Et cette violence atteint tous nos compatriotes, et les autres, DONT LES FEMMES bien évidemment, mais PAS EXCLUSIVEMENT ! Les « violences faîtes aux femmes » ne constituent qu’une fraction – on ne se lancera pas dans une tentative de les quantifier – des violences en général. Et il faudrait également se pencher sur les causes des ces violences et les origines de ces auteurs…
Pourtant ce sont ces violences-là que les pouvoirs publics choisissent comme thème de prédilection de leur action, conformément à leur idéologie victimaire partiale consistant à trier, injustement, entre les victimes, selon qu’elles appartiennent aux catégories leur permettant de décliner la propagande conforme aux mantras mondialistes pour subjuguer la population et qui méritent alors toute attention et protection (les femmes, les LGBT, les étrangers, certaines communautés…). Pour les autres, c’est le silence assourdissant et l’inaction frappante.
Le marxisme culturel, recyclage de la « lutte des classes » en « lutte des genres » et autres déviances, imprègne toute la classe dirigeante qui se succèdent à la tête des pouvoirs politiques, médiatiques, culturels…
Rappelons que dans une société ordonnée, conformément aux principes de la communauté (Maréchal Pétain) ou à la politique naturelle (Charles Maurras) l’État assure l’ordre public pour tous et ne distingue qu’entre ses nationaux et les autres pour le surplus de ses bienfaits.
Savez-vous que le CRAN, l’association qui donne des migraines a saisi Ndiaye pour une histoire de musique. En effet, outré par le fait que le solfège des blancos serait raciste, une blanche vaut deux noires! s’attaquant même aux gros lards, une ronde vaut deux blanches, donc quatre noires, trop c’est trop, la Cinquième de Beethoven au musée, on comprend mieux, pourquoi notre Macron (Que le monde entier nous envie) se dandinait avec mémère, le jour de la fête de la musique instituée par le dévergondé Jack Lang (Pour ne pas en dire plus, écoutez les propos de Roger Holeindre) qui trouvait que les graffitis étaient de l’art (pour les cochons), sur le perron de l’Élysée Chipounet sniffait du Black, pas du yellow, il serait temps de rappeler que seul le blanc est un homme de couleur: ému, il est pink, transi de froid, il devient blue, atteint d’ictère il est yellow, en rage (comme Greta Thunberg) il est green écolo, bronzé il est brown et ainsi de suite, et le black Ndaye alors, comme disait Jhonny, black is black et il faut qu’il reste d’équerre avec ou sans compas.
Pour feu Philippe Muray (Les exorcismes spirituels), le 21 juin qui est la fête de la Saint Jean est devenue « La nuit du porc vivant », car le « bon » Jack lui substitua la « Fête de la musique » où plutôt de la cacophonie, avec elle une race de bobos verra le jour: le festivus/festivus.
Les pouvoirs publics et les médias mélangent à desseins un peu tout au sujet de l’homophobie et de la transphobie, c’est comme pour l’antisémitisme, est qualifié d’antisémite celui critique Israël, la politique d’Israël, l’idéologie sioniste et les actions ou propos de ses tenants, ou même la religion juive Je ne vois pas là où serait la haine à l’égard des juifs, la haine serait plutôt de généraliser une appartenance idéologique à leur égard et d’aller insulter ou agresser des gens pour le seul fait qu’ils seraient juifs. Concernant les homosexuels, c’est un peu la même chose, les gens, dans leur ensemble, font bien la distinction entre le fait d’être homosexuel et le militantisme homosexuel et l’exhibitionnisme homosexuel. Nous sommes tous des êtres humains avec des droits humains en tant que tels, mais je ne pense pas qu’une appartenance raciale, le fait d’être un homme ou une femme, qu’une orientation sexuelle, doivent donner lieu à des droits spécifiques ( privilèges) C’est une question d’égalité humaine. Par ailleurs, en toute logique, une pratique sexuelle entre adultes consentants, relève de l’intimité, n’a pas pour vocation d’en sortir. On n’a même pas à savoir qui est homosexuel et qui ne l’est pas. De toute façon l’homosexualité n’a pas à faire l’objet de propagande. Et concernant la loi dite du mariage pour tous, qui ne concerne en fait surtout le mariage homosexuel, que le président Hollande s’est empressé de faire passer comme marqueur de son élection, je pense qu’il y avait bien d’autres priorités, surtout après avoir déclaré dans un très beau discours d’ailleurs, que son ennemi était la finance. Et pour en revenir à ce « mariage pour tous », il n’est toujours pas pour tous, car il est toujours de plus en plus difficile pour un homme d’épouser une femme « étrangère » et pour une femme d’épouser un » étranger ». J’en parle en connaissance de cause…
Nous sommes égaux devant Dieu en tant qu’homme mais inégaux en tant qu’individu.