Dans la perspective d’une énième « nouvelle » loi sur l’immigration (ce sera la 28e depuis 1981), Emmanuel Macron a émis le souhait de sortir les immigrés déjà présents dans les quartiers dits défavorisés (dans lesquels, pourtant, les millions coulent à flot depuis plus de 30 ans) et d’accueillir les nouveaux arrivants dans les zones dites « favorisées » et les campagnes françaises.
Le président de la République poursuit ainsi un programme de colonisation à rebours du territoire français (projet « Horizon ») et met en œuvre le programme des « indigénistes », dont fait partie son actuel ministre de l’éducation, que l’on continue étonnement de qualifier de « nationale ». Ce courant, mû par un racisme antifrançais et antiblanc, a été combattu par Chrétienté Solidarité et l’AGRIF, alors qu’il n’en était qu’à ses prémisses, incarné que par la très haineuse Houria Boutelja.
A la différence des colons venant de la France métropolitaine pour s’installer en Algérie au XIXe et au XXe siècles, les néo-colons de Macron ne construisent pas de routes, n’édifient pas d’hôpitaux ou d’écoles. Ils se contentent de bénéficier des nombreuses aides sociales et privilèges qu’un Etat, pourtant au bord de la faillite, leur distribue généreusement avec l’argent que l’on ponctionne auprès des « souchiens », ainsi que sont nommés les Français de souche par les indigénistes.
Nous assistons à une véritable substitution de population par l’effet conjugué d’une entrée toujours plus massive d’immigrés et d’une baisse continue de la natalité française. Nous sommes, désormais, dans une phase avancée du génocide français que dénonçaient, dès 1981, Bernard Antony et Chrétienté Solidarité.
Face à cette nouvelle tentative dissolution de la nation française, un seul mot d’ordre : résistance !
L’heure n’est plus aux palabres politiciens mais à un sursaut d’unité nationale et de salut public pour sauver notre peuple et notre civilisation.
Yann Baly
Source : AGRIF
Hier, je me suis promené dans la campagne proche.
Mais quand je vois la foule et les gens, je me demande pourquoi le soleil se donne encore la peine de se lever si c’est pour éclairer ça.
Entre Gif et Châteaufort, j’avais trouvé un sentier très sauvage le long de la Mérantaise: c’est fini, il y a un immense chantier de réaménagement des berges, une pure catastrophe, sous prétexte de gestion écologiste d’une zone humide pour la biodiversité, bla bla bla, c’est encore une zone qui va ressembler à un parc de Ville Nouvelle, une sorte de zoo végétal avec sentier en gravier blanc japonais comme c’est à la mode et écriteaux avec QR code pour tout expliquer aux promeneurs équipés en Decathlon pour faire 500 m.
Pauvre, pauvre France