« Aujourd’hui, je suis serein, car je le sais : La vérité triomphera. Les gardiens de la Mémoire pourront sans doute remporter quelques victoires judiciaires. Bénéficiant de nombreux moyens, ils développeront encore et encore leur propagande mémorielle. Mais intellectuellement, ils ont déjà perdu ». C’est ainsi que l’historien Vincent Reynouard conclut son dernier ouvrage montrant que le drame qui s’est déroulé dans ce village du Limousin le 10 juin 1944, et dans lequel quelque 643 habitants (hommes, femmes et enfants) perdirent la vie, ne s’est pas déroulé conformément au narratif officiel.
Dans celui-ci, ces malheureuses victimes ont été tuées à dessein par l’occupant allemand. Certes, même dans cette version, cela reste moins grave que les bombardements au phosphore des villes de Dresde ou Hambourg en Allemagne par l’aviation britannique (plusieurs dizaines de milliers de morts civils) ou des bombes atomiques délibérément lancées sur les villes de Nagasaki et Hiroshima sur le Japon par l’US Air Force. Ou bien encore des dizaines de milliers de civils palestiniens que Tsahal tue en 2024 dans la bande de Gaza. Il n’en reste pas moins que ce serait un crime de guerre.
Or, nous dit Vincent Reynouard, le drame d’Oradour n’est pas le fruit d’une volonté de tuer des civils mais plutôt un concours de circonstance après le kidnapping d’un militaire allemand par la résistance. La descente dans le village des soldats allemands aurait visé à retrouver ce soldat et, en cas d’échec, à prendre des otages pour pouvoir ensuite s’en servir de monnaie d’échange. Oradour n’a pas été choisi par hasard, d’une part car c’était un haut lieu de la résistance et d’autre part car c’est bien à proximité de ce village que le soldat avait disparu !
Dans son ouvrage, Vincent Reynouard nous présente sa version, puissamment argumentée aussi bien grâce à des preuves techniques que par la logique dans l’enchaînement des événements. Les témoignages sont étudiés et leurs contradictions (voire les changements de version des témoins) sont également mis en exergue !
A partir de ce socle, Vincent Reynouard décrit l’enchaînement de circonstances : L’explosion qui eut lieu dans l’église et qui tua les femmes et les enfants était due au fait que la résistance se servait du clocher pour y entreposer ses armes (Vincent Reynouard montre entre autres que les Allemands ne sont pas venus avec des explosifs lourds, mais seulement des armes légères). Ces explosions (que les Allemands, surpris, n’attendaient pas) créèrent une panique totale, les Allemands pensant à une contre attaque de la résistance pendant leur opération et se mirent à mitrailler les hommes dans les différents endroits où ils étaient retenus.
Gaston
Oradour, le cri des victimes, Vincent Reynouard, Editions Sans Concession, 55 € disponible sur Arts Enracinés
Nagasaki et Hiroshima étaient deux villes japonaises dotées d’une église catholique dans un pays où la vraie Religion était combattue et très discrète. Et seules celles-ci restèrent debout au milieu des ruines après la déflagration américaine ; et leurs occupants saints et saufs.
Il y a 5 siècle que le Japon a commencé à être évangélisé par Saint François-Xavier. Sur ordre d’un Shogun, et avec la collaboration de Protestants Hollandais, l’Eglise du Japon sera martyrisée, des Catholiques seront crucifiés et la vraie Religion interdite. Elle persistera dans le secret jusqu’à ce que des missionnaires français lui viennent en aide.
C’est avec ce genre de commentaires sur la « vraie religion » que des inbéciles de missionnaires sont allés évangéliser les populations africaines et on connait le résultat des décennies plus tard.
Laissez aux japonnais leur vraie religion : le shintoÏsme.
J’aime bien Vincent Reynouard et il a raison dans son enquête sur Oradour, c’est certain. Mais pourquoi un livre à 55€ ? Qu’a t il de particulier, à part qu’on ne le trouvera jamais dans les bibliothèques municipales ripoublicaines, c’est sûr. Qui se livre va t il toucher par les temps qui courent?
Si c’est une façon de lui faire un don, pas de pb en ce qui me concerne pour l’aider, vu l’acharnement judiciaire dont il est victime.
En quoi une forêt de 205 chênes va t elle entretenir la mémoire?
C’est associer la noblesse de cet arbre au mensonge irréductible et le seul avantage que j’y vois est écologique.
Les gardiens de la Mémoire reprochent aux fascismes de conditionner la jeunesse mais que font-ils à leur tour ? Ils reproduisent la même chose… Ah! Mais j’oubliais! C’est pour la bonne cause donc ils ont tous les droits, entre autre, celui de maquiller les faits comme à Oradour! De plus! Coup double! En plantant ces arbres sur les rives de la Glane, nos écoliers accomplissent un geste écologique (son seul intérêt comme l’indique « Blackreptilebl »!). Même l’O.N.F participe à cette campagne!