A l’occasion du quarantième marathon de Paris, les commentateurs de France3 ont exprimé leur mépris des athlètes blancs en direct.
Au départ de la course, c’est un coureur non professionnel blanc qui se trouvait en tête, devançant les kenyans, physiquement avantagés de par leurs caractéristiques physiologiques.
Son exploit a valu à Alexis Valtat les commentaires haineux des subhumains de la chaine de télévision publique : «C’est un farceur qui n’est pas connecté avec son corps… Il pollue… Il n’est pas à sa place, devant c’est la place des kenyans.», s’est exclamé le méprisable journaliste « pas connecté avec son cerveau » Bernard Faure; soutenant son collègue pour insulter le jeune français, Patrick Montel a surenchéri : «Il va pas tenir longtemps lui… Ce fantaisiste fait de l’ombre aux coureurs kenyans. C’est une question de respect.» Vidéo Des commentaires immondes, et une démonstration manifeste de la banalisation du racisme anti-blanc dans les médias.
Le valeureux coureur amateur français Alexis Valtat a réagit à ces attaques sur les réseaux sociaux : «Messieurs Montel et Faure, quand j’ai entendu vos commentaires, je suis tombé de haut… je tiens à vous signaler que je cours le marathon en 2h39, ce qui m’a permis d’avoir un dossard préférentiel… Je courais juste, en tête du marathon, en ayant respecté toutes les règles… Ce qui est beau dans ce sport, c’est justement que des amateurs, passionnés comme moi, puissent jouer le match… Je pensais que cette idée vous plaisait, mais force est de constater que bousculer un ordre établi vous fait peur… Vous avez condamné un acte sportif, un rêve. Chacun à sa place. Ne changeons rien, surtout. »
Ni la chaine, ni les antiracistes habituels n’ont dénoncé les agressions racistes des présentateurs envers le sportif blanc.