Un contexte défavorable aux militaires… français
Après que les gendarmes, au cours de leurs entraînements, ont, selon quelques gauchistes, trop bien imité les casseurs allogènes, ces militaires français, généralement empêchés d’arrêter la racaille, sont harcelés par la République télécratique.
Cependant, François Hollande et sa clique de ministres ont signé un accord de coopération avec le Sénégal, qui donnera des droits nouveaux aux militaires… africains.
« La Partie française s’engage à accorder une attention privilégiée aux demandes de la Partie sénégalaise de places dans ses écoles militaires et centres militaires de formation technique. » (Annexe III, art. 2)
précise le texte. La formation accordée aux Sénégalais en France sera même accompagnée d’entraînements, dont peut-être certains dédiés au maintien de l’ordre face aux émeutes urbaines du type de celles que subit la France.
« La Partie française accorde à la Partie sénégalaise des facilités d’instruction et d’entraînement dans les infrastructures d’instruction et d’entraînement situées sur le territoire français. » (Annexe III, art. 4)
Que vont bien pouvoir en dire les médiats ? Dénonceront-ils les colonialistes français prétendant être supérieurs en matière de techniques de guerre et de maintien de l’ordre ? Laisseront-ils les Sénégalais être rabaissés au rang d’élèves juste bons à apprendre des Blancs ?
Pas de doute que ces soldats étrangers seront, eux, filmés sous un angle favorable par les ethno-masochistes de la petite lucarne et qu’il ne sera pas, cette fois, question de « racisme », mais plutôt de militaires appliqués et dévoués, qui auront été courageux de faire ce long périple et mériteraient un peu plus de repos en France, même si :
« La Partie française accorde à la Partie sénégalaise les facilités nécessaires, lors des escales des bâtiments et aéronefs sénégalais sur le territoire français. » (Annexe III, art. 6).
Canal + et les autres médiats trouvent-ils « raciste » que les militaires français – incluant les forces de gendarmerie – forment des Sénégalais à leurs méthodes ? Ou bien jugent-ils que l’armée française devrait adopter les méthodes totalement inefficaces – quand toutefois elles existent – de pays qui continuent de nous demander de l’aide tandis qu’ils sont sans cesse présentés comme les victimes – pourtant très peuplées et guerre métissées- de l’homme blanc ?
Continuité républicaine
Précisons que cet accord, promulgué par François Hollande, Manuel Valls et Laurent Fabius, fait suite de celui qui avait été signé avec le Président de la République du Sénégal, Macky Sall, et décrété en 2012 par Nicolas Sárközy, François Fillon et Alain Juppé.
Le droit français remplacé par un droit républicain universaliste et « démocratique » contre l’avis… du peuple !
Rappelons enfin que les traités internationaux – dont celui-ci qui nous lie désormais au Sénégal – sont considérés, par la République à vocation mondialiste, comme supérieurs à tous les textes de droit français, hormis le bloc de constitutionnalité qui inclut, par exemple, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ainsi que le préambule de la Constitution de 1946…
De plus, l’État n’hésite pas à signer, puis à confirmer, par un vote de l’inutile Parlement, des décrets anticonstitutionnels, puis à modifier la Constitution, pourtant déjà bien laxiste, ensuite : on triche d’abord, puis on change les règles pour se pardonner sa propre tricherie.
Ainsi en est-il de plus en plus souvent à propos de la souveraineté nationale de la France, systématiquement bafouée par les traités dits « européens » comme celui de Lisbonne de 2007, rejeté à 55 % par le peuple français en 2005… mais tout de même ratifié par le Parlement d’occupation de la France, deux ans plus tard, dans une formulation à peine retouchée.
Ils revendiquent leurs manipulations républicaines
Cette fumisterie de « Traité modificatif européen » avait fait avouer dès 2007, jusque devant une commission du Parlement « européen », au pourtant très européiste Valéry Giscard d’Estaing que :
« Les gouvernements européens se sont ainsi mis d’accord sur des changements cosmétiques à la Constitution pour qu’elle soit plus facile à avaler. »
Puis, il avait confirmé son propos, quelques mois plus tard, dans la presse conformiste, en employant déjà l’image de la boîte à outils (reprise depuis lors par François Hollande pour faire oublier sa totale incompétence) :
« Les outils sont exactement les mêmes, seul l’ordre a été changé dans la boîte à outils. »
Ces propos vrais n’avaient pas empêché le Congrès (Assemblée nationale et Sénat réunis) de « réviser » (sic) la Constitution, le 4 février 2008, à une très forte majorité (où est la prétendue « opposition » ?), en vue de la ratification du… Traité de Lisbonne, qui était donc parfaitement anticonstitutionnel lors de sa signature par ce traître à la France, Nicolas Sárközy.