Israël détruit, les goys payent et les entreprises israéliennes encaissent… Pour la troisième fois en moins de 10 ans, la « communauté internationale » s’est réunie après que l’entité sioniste a commis en Palestine des crimes ayant fait de nombreux morts – plus de 2 000 – et d’importants dégâts. Concernant ces derniers, une cinquantaine de pays se sont réunis dimanche au Caire pour déterminer leur participation à la reconstruction de Gaza.
Le gouvernement français a annoncé que les Français – auxquels le gouvernement dit par ailleurs qu’il n’a plus d’argent et que les chômeurs, les familles, les petits patrons doivent payer plus d’impôts pour toujours moins de services publics – seraient rackettés à hauteur de 40 millions d’euros pour réparer ce qui a été détruit par Israël. Cela ne comprend pas les premières aides d’urgence, ni ce qui sera donné au nom de l’Union “européenne”, de l’ONU, etc. aux budgets desquels la France participe.
L’ensemble des pays a promis 4,3 milliards d’euros quand Gaza en demandait 3,2. Le Qatar s’est engagé à donner 800 millions d’euros, les États-Unis 168 millions d’euros, les Émirats arabes unis 160 millions, comme le Koweït. Les Allemands donneront 50 millions, les Britanniques 25 millions, etc.
En 2009, à la fin d’une précédente agression israélienne, le gouvernement français avait donné immédiatement 25 millions d’euros, participant également à l’aide de l’Union “européenne” de 440 millions d’euros, ce qui ne comprend pas les aides habituelles et annuelles.
Une partie de ces milliards sera réinjectée dans l’économie israélienne, qui bénéficiera de ce système pour la troisième fois en huit : des entreprises israéliennes seront sollicitées pour reconstruire ce que leur gouvernement à détruit. L’argent des Européens constitue une large partie des fonds disponibles en Israël, qu’il s’agisse du résultat du racket holocaustique depuis 1945, de l’argent volé directement aux contribuables pour des « aides », directes ou indirectes, ou par l’argent de la mafia juive recyclé dans ce pays.
Le provocateur extrémiste Avigdor Lieberman, ministre des Affaires étrangères d’Israël, ne s’est ainsi pas caché :
« Gaza ne peut [sic] pas être reconstruite sans la coopération et la participation d’Israël »
a-t-il déclaré. Le gouvernement terroriste juif impose depuis 2006 un embargo total sur la bande de Gaza et c’est lui seul qui autorise qui et quoi, comme il le fera pour les matériaux, les entreprises et les employés choisis, peut rentrer dans le pays.