Environ 400 personnes ont manifesté samedi à Newcastle à l’appel de la branche britannique des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes). Le rassemblement a été pacifique et s’est déroulé sans incident.
Plusieurs orateurs ont dénoncé l’islamisation de l’Europe. Il est à noter que, comme lors des manifestations de la Ligue de défense anglaise (EDL, English Defence League), au moins un drapeau de l’État criminel d’Israël a été brandi durant la manifestation ainsi qu’un autre symbole des revendications ignobles des déviants sexuels. Malgré un libéralisme prononcé, aucune provocation de ce type n’avait été constatée lors des manifestations en Allemagne. Hormis ces drapeaux anti-européens, seuls des drapeaux anglais et britanniques ont été déployés.
La faible mobilisation est un relatif échec pour les organisateurs, d’autant qu’ils avaient choisi un jour de match de football (Newcastle-Aston Villa) en espérant rallier des supporteurs.
Islamistes, colons divers et gauchistes avaient organisé une contre-manifestation le même jour et ont réuni un nombre plus important d’individus. Néanmoins, en supprimant tous les étrangers, il y avait moins de Blancs parmi les contre-manifestants que dans les rangs de PEGIDA.
Quelques incidents se sont produits auxquels la police a rapidement fin. Cinq personnes ont été interpellées.
PEGIDA ne décollera pas si c’est la révolte des forts contre les faibles, d’Israël contre la Palestine, des Blancs.
Preuve que la culture dissidente n’est pas aussi forte qu’en France, PEGIDA se voit en défenseur des « racines judéo-chrétiennes », qui seront pourtant toujours stériles (la première empêchant la seconde d’atteindre son sel).
Enfin, Il y a chez les peuples chrétiens un engouement pour la découverte et l’aventure, fut-ce le multiculturalisme à laquelle la France a sincèrement cru par endroits par le passé. Là encore, PEGIDA ne propose pas vraiment d’aventure intellectuelle sérieuse ; ce n’est que du ressentiment, et c’est en ce sens un mouvement profondément judaïsé.
Ce ne sont pas les peuples chrétiens qui sont avides d’aventures et de découvertes mais les peuples blancs, comme l’histoire le démontre.
Les peuples chrétiens sont en effet aussi bien blancs qu’arabes, noirs et latinos, puisque le christianisme les a tous soumis avec violence, et on ne peut pas dire que les non-blancs ont démontré une telle avidité depuis leur christianisation forcée.
Ce sont par contre bien les peuples chrétiens qui sont avides de multiculturalisme parce que la Bible le leur enseigne: « Il n’y a plus ni Juif, ni Grec, nous sommes un en Jésus-Christ ».