Chaos dans les rues de Milan au jour de l’ouverture de l’exposition universelle
À Milan, l’extrême gauche a manifesté hier contre les dépenses d’argent public pour l’organisation de l’Exposition universelle. Mais derrière le fallacieux prétexte, les racailles marxistes ont comme à leur habitude utilisé cette manifestation de rue pour répéter leurs techniques de guérillas et surtout laisser éclater leur fureur destructrice. Les quelques milliers de pseudos « étudiants » et « travailleurs » ont imité les mafias africaines de Baltimore et les jeunes qu’ils manipulent pour incendier, piller, vandaliser.
Étrangement, aucun politicien n’a pas été attaqué durant cette marche, ni aucun journaliste du système, ni aucun grand patron. Ils n’ont pas plus visé les mafias qui exploitent les « migrants », ou celles qui diffusent les produits de mort parmi la jeunesse. Ils n’ont même pas attaqué leurs adversaires politiques. Non : avec leur lâcheté habituelle, les marxistes ont préféré brûler plusieurs dizaines de voitures de particuliers italiens, certains incendies se propageant à des immeubles d’habitation, ainsi que plusieurs commerces et détruire du mobilier urbain, abribus, panneaux conteneurs à poubelles. Et le prix de la reconstruction incombera en très partie au contribuable, ce contribuable que prétendent défendre les extrémistes.
Au moins onze policiers ont été blessés et seule une dizaine de racailles ont été arrêtées, la plupart ayant fui abandonnant sur place habits et armes.
Manifestation pacifique des nationalistes interdites, pillages des marxistes autorisés : le système a choisi son camp
Ce sont les mêmes qui, il y a deux jours, ont commis trois attentats contre les nationalistes. Dans les deux cas, ils ont bénéficié de la totale impunité des autorités. La mairie, la police ou le gouvernement, après les trois attentats de mercredi, auraient dû interdire le défilé des extrémistes, mais ils n’en ont rien fait. Depuis les attaques, il n’y a eu aucune arrestation. Les autorités ont au contraire laissé venir les casseurs parfaitement identifiés et tracés, se rassembler, s’armer, préparer leurs cocktails molotov et s’organiser pour répandre le chaos dans la ville. Plus que jamais, les extrémistes de gauche, communistes, anarchistes, libertaires, sont les idiots utiles du système, si ce n’est l’inverse.
Depuis de nombreuses années, la fin du mois d’avril est l’occasion à Milan d’une manifestation toujours pacifique des nationalistes. Aucun incident n’a jamais pu être attribué aux manifestants : ni voiture brûlée, ni caillassage de policiers, ni pillage de magasin. C’est pourtant le défilé traditionnel des nationalistes pour rendre hommage à Sergio Ramelli qui a été interdit vendredi, les organisateurs devant se contenter d’un rassemblement statique cette année.
Le mouvement nationaliste Forza Nuova (FN, Force nouvelle) a annoncé que, « contre le désordre, la haine et le chaos », les chemises blanches des forzanovisti se répandraient bientôt à Milan pmais aussi dans toute le pays pur rappeler que les Italiens ne céderont pas plus devant les terroristes de gauche que le devant système qui les protège.