L’État criminel d’Israël ne protège pas seulement les innombrables escrocs qui ont pillé – et continuent à le faire – l’Europe par « les arnaques au président », les escroqueries de type taxe carbone, celles massives liées à la “Shoah”, etc. Il protège aussi ceux qui assassinent, mutilent, torturent. L’entité sioniste, née dans le sang des soldats européens et des diplomates massacrés au siècle dernier comme plusieurs centaines de milliers de Palestiniens, par le terrorisme aveugle et les meurtres de masse, n’a toujours pas procédé à la moindre inculpation, plus d’un mois après les faits.
Le 31 juillet, des terroristes avaient incendié une maison pour y faire brûler vive une famille. Les tueurs avaient lancé plusieurs cocktails molotov, en pleine nuit, à travers les fenêtres d’une maison. Un bébé de 18 mois avait succombé dans de terribles souffrances. Son père était mort après huit jours d’agonie. Hier, c’est la mère de l’enfant, une institutrice de 26 ans, qui est décédée après quarante jours d’hospitalisation. Le second fils de la famille, âgé de quatre ans, est toujours actuellement hospitalisé, grièvement blessé.
Les faits s’étaient déroulés en Palestine occupée, en Cisjordanie, dans des zones que colonise actuellement le gouvernement israélien présenté comme un modèle par les mêmes qui insultent et souillent à longueur d’année les Européens, notre histoire, notre culture, sur les ondes occupées.
Le crime a été revendiqué par un groupe terroriste qui a multiplié les attaques ces dernières années et dont tout porte à croire que ses membres sont connus des autorités. Pourtant, plus de cinq semaines après les faits, après des arrestations très médiatisées, aucun terroriste n’a été arrêté. Tous les individus interpellés et placés en « détention administrative » ont été libérés. Les crimes contre les Palestiniens, notamment contre les chrétiens, se poursuivent, dans l’indifférence générale. La mort des enfants n’intéresse les médiats que si cela leur permet de diffuser leur propagande mensongère et haineuse.
Mais si Bernard-Henri Lévy, Haïm Korsia et tout ce que l’Europe compte d’occupants et d’ennemis culpabilisent les Français pour la mort d’un enfant syrien instrumentalisé ad nauseam, comme si les Européens seuls devaient supporter les conséquences d’une situation en Syrie dont ils ne sont en rien responsables, comme si eux seuls devaient payer et pleurer, la mort d’Ali Dawabcheh n’intéresse pas la pouillerie de la rue de la Victoire, car elle ne leur permet pas de l’utiliser pour continuer à mener la guerre déclenchée contre les Blancs depuis 1933 au moins.