Environ 14 000 bâtiments palestiniens en Cisjordanie, territoire que l’État criminel d’Israël occupe depuis plusieurs dizaines d’années, sont menacés de destruction. La “justice” juive a rendu d’innombrables ordres de démolition au cours des années pour atteindre aujourd’hui un niveau record. Ces destructions programmées s’ajoutent aux innombrables autres bâtiments déjà détruits par les agents d’Israël.
Ces pratiques ont conduit au déplacement de très nombreux Palestiniens de toutes les communautés depuis des années, s’ajoutant aux millions de réfugiés déjà produits par l’invasion du pays au XXe siècle et sa livraison par les vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale aux groupes terroristes sionistes. Ces destructions aux conséquences souvent dramatiques ont créé de nombreuses tensions, sans jamais provoquer l’émotion de la « communauté internationale ».
Il s’agit sans contestation de faits relevant de l’épuration ethnique, visant à éliminer les Palestiniens de leur terre pour y implanter des colonies juives. Il s’agit des mêmes juifs qui, en Europe, considèrent le fait de résister à l’invasion de peuples étrangers comme des comportements immoraux et scandaleux… Elle s’ajoute à de nombreuses autres politiques avec le même objectif. En asphyxiant les écoles chrétiennes, en laissant en liberté les criminels juifs qui attaquent les Palestiniens pendant qu’elle exerce une féroce répression contre les Palestiniens, en laissant faire les profanations, ou encore en construisant un mur au milieu des terres palestiniennes et parfois en séparant des exploitations agricoles, des couvents, etc., l’entité sioniste vise à rendre les Palestiniens étrangers sur leur propre terre et à les faire fuir.
Ici encore, la même ignominie est à l’œuvre en Europe. Les discriminations et vexations sont permanentes dans tous les domaines. Ainsi, concernant les logements, l’État criminel rejette ou invalide systématiquement les permis de construire des non-Juifs. Il peut ainsi à bon compte dénoncer ensuite des constructions prétendument “illégales”.
Grâce à ce procédé, plus de 14 000 ordres de démolition ont été délivrés par la “justice” entre 1988 et 2014 ; il s’agit pouvant être immédiatement mis en application pour 11 000 d’entre eux, menaçant des dizaines de milliers de personnes.
Dans la « zone C » de Palestine, déjà au moins 356 bâtiments et installations, dont 81 avaient été financés par la communauté internationale – et notamment avec l’argent des Français – ont été ainsi mis à bas.
Tristes nouvelles! Merci pour le partage d’information…