Environ 20 000 Allemands ont manifesté hier soir à Dresde (Saxe, est) à l’appel des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes) pour dénoncer la politique criminelle pro-invasion du gouvernement d’Angela Merkel. Ce nouveau lundi de protestation coïncidait avec l’anniversaire de PEGIDA, créé un an plus tôt.
« Traîtres, dehors »
« Merkel doit partir »
« Nous sommes le peuple ! »
« Résistance ! »
ont notamment scandé les manifestants.
La crise de l’invasion et les centaines de milliers d’attaques contre l’Allemagne ont offert un second souffle au mouvement aux intentions louables, mais fortement influencé par des groupuscules israéliens anti-européens.
Le rassemblement s’est tenu dans une ambiance tendue, sous forte surveillance policière. Plusieurs milliers d’extrémistes ont tenté d’empêcher les patriotes allemands de se rassembler et ont provoqué divers incidents. Les antifascistes, agissant désormais non seulement pour satisfaire le patronat et le gouvernement ultralibéral, mais encore pour protéger les groupes islamistes, ont notamment agressé un patriote qui a été grièvement blessé.
Selon les premières informations, la victime a été lynchée dans la rue par un groupe de criminels extrémistes, dont aucun n’a été arrêté. Une seule racaille a été interpellée pour avoir attaqué l’un des mille policiers mobilisés. La police a utilisé ses canons à eau pour séparer les groupes. Plusieurs personnes ont été blessées lors des incidents à la fin du rassemblement.
Le gouvernement d’occupation avait profité de cet anniversaire de PEGIDA pour annoncer que le mouvement était sous la surveillance « étroite » de la police – la même police qui, à l’inverse, laisse le pays être envahi…
« Les services de renseignement intérieurs, tant au niveau fédéral que des Länder, surveillent très étroitement ce phénomène »,
a précisé Thomas De Maizière.