Selon Martin Luther King, « ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait ». Ses disciples doivent éplucher l’histoire qu’ils s’obstinent à défendre. Par exemple, Jane Elliott est considérée comme la mère de l’enseignement antiraciste. Institutrice propulsée conférencière, célèbre, riche, elle demeure une éminente influence des planificateurs sociaux, tendance sadisme éducatif. Elle est cotée par la très sérieuse agence de notation McGraw-Hill avec Confucius, Platon, Aristote, Horace pour le secteur enseignement. En France sa méthode et ses dérivés sont propagés par l’université et les autorités publiques, au titre de la cohésion sociale, comme en témoignent les Actes de la Rencontres entre élus et professionnels « Jeunes de Rennes Métropole ».
Son principal crime pédagogique contre l’humanité est l’expérience « La classe divisée ». De nature maoïste, elle consista à harceler psychologiquement des enfants 100 % blancs d’une classe de primaire le lendemain de l’assassinat de Martin Luther King le 5 avril 1968. Elle sépara en demi-groupes d’un côté les enfants aux yeux bleus et de l’autre aux yeux marrons : brimades pour les uns, injustes privilèges pour d’autres et une caméra pour diffuser les morceaux choisis. Ni innocence, ni naïveté, ne furent épargnées pour inoculer une culpabilité toute neuve issue des luttes raciales.
Quelques citations de Jane Elliott détailleront davantage la virulence de l’engeance :
« Les Blancs vivent dans un monde imaginaire. Ils ne vivent pas les réalités du monde des gens de couleur » déclare-t-elle, citant l’exemple de Riceville dans l’Iowa, sa ville natale, où « le racisme n’existe pas, parce qu’il n’y a pas de population noire » (en 1968).
« Le racisme c’est le racisme où qu’il soit. L’ignorance des Blancs est LE problème, et nous, Peuple Blanc nous nous sommes débrouillés pour exporter ce problème partout dans le monde ».
« J’ai tiré cet enseignement des travaux de Josef Mengele, car les scientifiques nazis expérimentaient le changement de couleur des yeux en bleu afin que l’élite juive puisse être exploitée par Hitler ».
Aux États Unis pour annihiler toute résistance à cette aliénation, un juge de la Cour suprême statua en 1986 que toute entreprise peut être tenue responsable d’une ambiance hostile à la diversité. Cette menace financière efficace fit ainsi la fortune de plaignants, d’avocats et d’une horde d’opportunistes. En 1994 plus de 5 000 formations de « vivre ensemble » sévissaient en Amérique. Une conférence de Jane Elliott se négociait 7 000 $, une vidéo 300 $.
Voilà les origines emblématiques de l’enseignement anti-raciste. Et pour compléter le regard sur sa destination et son actualité, voici un extrait il a quelques jours d’un entretien d’Oprah Winfrey qui appelle au meurtre des racistes : « ces gens doivent mourir », en écho aux propos de Leonara Miano il y a quelques jours, en appelant à la disparition des Blancs.
(Source)
« La classe divisée » : j’aimerais bien savoir quelle a été la vie ultérieure de ces pauvres gosses torturés psychologiquement par cette dingo à la dégaine de gouine.
Puisque en Amérique on fait un procès pour tout et n’importe quoi – y compris des viols à l’âge de 4 ans qu’un charlatant exhume de votre subconscient qui trouvent des oreilles de juges complaisantes pour les accréditer –, là, les plaignants ont des preuves vidéo !
Ces » pauvres gosses torturés » comme tu dis se souviendront toute leur vie de cette expérience et sont sans doute aujourd’hui les moins racistes de leur génération… De plus la » dingo » à été une des plus grande actrice de la lutte contre le racisme à son époque et son expérience a permis de mieux comprendre le phénomène…
Et puis surtout, l’expérience n a duré que quelques jours.