Le problème avec l’arme bactériologique, ce n’est pas de contaminer, mais de ne pas se contaminer soi-même. Faurisson disait : « le problème avec l’arme chimique, ce n’est pas de gazer, mais de ne pas se gazer soi-même ».
Pour s’en convaincre, voici la représentation graphique des variations du taux de contamination à Liverpool, en rouge, la période du deuxième confinement.
L’effet du confinement apparaît absolument nul, le pic était déjà passé depuis un mois, le confinement n’a même pas accéléré la baisse du taux de contamination.
Mais il y a encore plus fort, voici le même graphique pour le sud-est de l’Angleterre, dans le Kent, là où est apparu le « variant anglais »
Il montre que le confinement n’a même pas été capable d’empêcher les courbes d’infection de grimper.
Quand on voit ces graphiques, on se dit que le virus, ou même les grappes de virus, puisque le virus vit et se déplace en grappe, n’aurait eu aucun mal à s’échapper de l’enceinte de – disons – une salle de douches.
Or, Vincent Reynouard pourrait sans doute nous le confirmer, la taille d’une molécule de gaz est bien plus petite que celle d’un virus, a fortiori de celle d’une grappe de virus.
Francis Goumain
Source des graphiques : Daily Mail