En ce « 20N », une délégation française était à Madrid, au côté de nos camarades espagnols de La Falange, pour le défilé et la Marche à la Couronne en défense de José Antonio et pour empêcher que soit troublé son repos éternel à la Valle de los Caidos !
À cette occasion a été lu le message personnel d’Yvan Benedetti, chef des Nationalistes et directeur de Jeune Nation aux Espagnols rassemblés pour l’hommage :
Bonjour à tous,
Je vous envoie quelques mots de France puisque malheureusement je ne peux être des vôtres.
Je tiens tout d’abord à vous assurer, une fois encore, de notre amitié ; Amitié nationaliste animée par un idéal commun et forgée au cours des années par tous ces actes militants que nous avons partagés. Chaque 20-Novembre nous sommes à vos côtés pour honorer José Antonio Primo de Rivera. Cette année plus encore, alors que sa mémoire est attaquée et que la Valle de Los Caidos est menacée par cette scandaleuse « loi de mémoire historique », il est vital d’être ici dans la rue et de défendre son souvenir par tous les moyens.
Si une raison familiale impérative ne m’avait pas accaparé aujourd’hui, ce ne sont pas les lois de confinement de nos ennemis qui m’auraient interdit d’être présent en personne.
Malgré tout, les nationalistes français sont avec vous ce soir, et notre drapeau sera aux côtés des vôtres, tout au long de la nuit, pour cette marche à la couronne.
Aujourd’hui, plus que jamais, l’unité des nationalistes en Europe est nécessaire, car le combat est continental, peut-être même mondial…
Ce soir, pendant que nous, nationalistes espagnols et français, honorons la mémoire de José Antonio, ce grand chef fasciste qui a préféré vivre 33 ans comme un homme plutôt que 1000 ans comme un âne, les Allemands célèbrent en grande pompe le 75e anniversaire de leur castration.
En pleine pandémie, alors que l’économie du vieux continent agonise sous le poids des chaînes du confinement, les autorités de la République fédérale tiennent à commémorer les trois quarts de siècle de l’ouverture du procès de Nuremberg, cette mascarade qui a inoculé aux Européens le plus terrible des virus : celui de la repentance.
La parodie de justice de la pseudo-cour de Nüremberg dans laquelle siégeaient conjointement les deux faces opposées de ce matérialisme que les fascismes avaient ébranlé en commençant la révolution des âmes, cette parodie de justice est l’acte fondateur de cette Europe d’aujourd’hui, cette Europe nourrie à la sous-culture américaine et à la haine de soi qui conduit nos sociétés au suicide. Suicide par immigration, suicide par homosexualité, suicide par avortement… Rien ne peut mieux servir les intérêts des mondialistes.
Ces mondialistes qui, avec leurs relais, nos gouvernements corrompus, utilisent la pandémie du coronavirus pour manipuler les opinions publiques et préparer leur projet de gouvernance mondiale.
Je ne vous citerai que trois crapules : le confinement prépare « le monde d’après » selon Emmanuel Macron, vers « le gouvernement mondial » prophétise Jacques Attali. Et pour arriver à cela, il faut en passer par le « Great reset » qui sera exposé par Klaus Schwab lors de la prochaine grande kermesse mondialiste du forum de Davos.
Inutile de développer devant vous la gestion calamiteuse de l’épidémie et les mesures en apparence incohérentes mais toutes plus criminelles les unes que les autres tant sur le plan sanitaire, humain, économique que social.
Les systèmes de santé, dans tous les pays européens, étaient dans un état misérable quand la pandémie a frappé, car les politiques sanitaires sont alignées sur celles des entreprises selon la loi du profit maximum et non considérées comme un service et un bien public. Au lieu de mobiliser les moyens politiques et financiers pour faire face à l’afflux de malades, ils décident de paralyser le Pays : Ainsi les restaurants, les bars, salles de spectacles, les petits commerces sont les grands sacrifiés de leur folie.
Ce virus tue, certes. Mais il n’est qu’une forme agressive de maladie parmi beaucoup d’autres. Leur état d’urgence et leur tyrannie sanitaire seront bien plus meurtriers et dévastateurs. Nous l’avons compris, tout cela est voulu !
Nos pays sont sciemment démembrés, car les richesses doivent être confisquées par un petit nombre de trusts et de financiers apatrides selon la logique néfaste de la démocratie qui tend inexorablement vers l’oligarchie.
Il y a deux manières de gérer un pays : soit le gouvernement sert les puissances d’argent pour tenir le peuple en esclavage, soit il s’appuie sur le peuple pour lutter contre les ploutocrates.
Le monde est aujourd’hui dirigé par Mammon et le Veau d’or. Mais la révolte gronde.
Déjà partout en Europe les nationalismes se réveillent : ils sont les seuls porteurs d’Espérance pour nos peuples meurtris.
Le nationalisme sera le grain de sable qui fera dérailler le plan mondialiste. Pour cela nous devons trouver le chemin qui nous mènera au cœur et à l’âme de nos peuples.
Alors continuons la lutte, ensemble. En commençant par le rétablissement de la vérité et la pratique de l’Amitié.
Adelante !
Arriba Espana !
Qui vive ? France !
Yvan Benedetti
José Antonio Primo de Rivera ? Présent !
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