Le 29 décembre, à Thèbes, un bus s’arrête. A son bord, des astronautes en provenance du tiers monde. Les successeurs de Neil Armstrong débarquent mais s’arrêtent brusquement. Le lieu d’atterrissage ne leur convient pas, ils refusent d’entrer dans le centre d’hébergement. La raison, ils affirment avoir été logés dans un hôtel cinq étoiles à Nea Makri, une ville appartenant à l’agglomération de la très célèbre Marathon.
Quel manque d’hospitalité ! C’est donc ainsi que les grecs reçoivent les sauveurs de l’Europe ? Envahir l’Europe oui, mais pas comme des clodos. Les forces vives du tiers-monde veulent du luxe.
Pour ajouter au spectacle, et comme ils avaient froid, les brillants ingénieurs ont allumé un feu en pleine rue. Probablement pour éclairer le peuple grec de leurs lumières.
Pour ceux qui seraient septiques quant à la nature bénéfique de ces dits « migrants », le Comité International de Secours tient à nous rassurer. Par le biais d’un article du Figaro il nous éclaire sur la santé mentale des futurs conquérants de l’espace.
Une hausse importante des cas d’automutilation et des problèmes de santé mentale a été constatée durant le confinement dû à la pandémie dans les camps de migrants en Grèce, a annoncé jeudi 17 décembre le Comité international de secours (IRC).
Selon l’organisation humanitaire, les données en provenance de trois îles comptant les plus grandes populations de migrants – Lesbos, Chios et Samos – montraient que les trois quarts des plus de 900 personnes secourues depuis 2018 présentaient de tels symptômes.
À la fin du mois d’octobre, 41% avaient signalé des symptômes de stress post-traumatique, 35% des pensées suicidaires et 18% des tentatives de suicide, a indiqué l’IRC. Aussitôt après l’instauration du confinement en mars en Grèce a été relevée une hausse de 71% des symptômes psychotiques et de 66% des cas d’automutilation, a souligné l’ONG.
N’ayant pas d’européens à se mettre sous la dent, les guerriers à machette sont obligés de s’éplucher eux-mêmes comme de vulgaires légumes. Espérons que dans une démarche éco-responsable, ils pensent à mettre les épluchures au compost.
Plus de 15.000 personnes vivent dans des camps sur les trois îles, et plus de 17.000 dans les camps de la mer Égée en général, selon les données du gouvernement. À Lesbos, plus de 7000 personnes sont hébergées dans un camp de tentes de fortune installé après l’incendie survenu en septembre dans les installations permanentes.
Lundi, une fillette afghane de trois ans a été retrouvée à moitié inconsciente et saignant dans les toilettes du camp, les autorités affirmant qu’elle a probablement été violée.
« La santé mentale des réfugiés a été décimée cette année, suite aux incendies dévastateurs de Lesbos et Samos, au Covid-19 et aux restrictions qui en ont découlé, et au déménagement vers un nouveau centre d’accueil temporaire à Lesbos, qui n’offre pas encore de conditions de vie dignes », a déclaré la directrice de l’IRC pour la Grèce, Dimitra Kalogeropoulou.
Ces gens ont l’air très sain, vivement qu’ils viennent peupler nos contrées et qu’ils puissent déambuler dans les rues aux côtés de nos mères, nos femmes, nos sœurs et nos filles.
« Nous avons besoin d’un système équitable et prévisible dans lequel les États membres de l’UE partagent la responsabilité d’accueillir les nouveaux arrivants, qui respecte le droit de chaque individu à une évaluation complète de sa demande d’asile », a déclaré Imogen Sudbery, directeur de la politique européenne de l’IRC.
Nous avons surtout besoin de renvoyer sans délai ces individus hors d’Europe, afin de respecter le droit naturel des peuples européens de rester maîtres chez eux.
Oscar Walter
Source : RadioThiva