Soutenu par les « Big Tree », les trois plus gros gérants de fonds américains que sont BlackRock, Vanguard et Slate Street, Netflix figure en bonne place parmi les GAFAM avec ses 203,7 millions d’abonnés. Non content de diffuser un large panel de films ou séries, l’entreprise réalise aussi ses propres productions : « Orange is the New Black » série étiquetée « pro-LGBT » remporte, par exemple, un succès phénoménal, au point d’être le programme le plus regardé de la plateforme.
L’influence néfaste de la consommation d’écrans, devenue plus que jamais excessive, en ces temps prolongés de confinement, n’a plus besoin d’être démontrée. Pourtant, l’on ne néglige que trop le pouvoir du divertissement pour instiller des idées progressistes aux enfants, de manière ludique. Dans cette vidéo, je vous montre les procédés utilisés par ce grand groupe pour lobotomiser les jeunes cerveaux, à grand renfort de féminisme et de contenus pro-LGBTQ.
La liberté de penser n’existe pas vraiment chez Netflix. Promotion systématique du multiculturalisme, de l’univers LGBTQ, de l’idéologie féministe… Tous les contenus arborent cet aspect militant, notamment à grand renforts de falsifications historiques, de représentations masculines forcément « toxiques », ou d’attaques caricaturales contre l’Église catholique.
Source : la chaîne Youtube de Virginie Vota
Lorsque j’étais journaliste à « Minute », nous avions édité un numéro spécial sur le second degré de la pornographie qui utilise le vecteur sexuel pour s’immiscer dans le socio-culturel et le renversement des valeurs. Or, 1/4 de siècle est passé, et je pense qu’un tel travail de dénonciation de ces méthodes devrait être entrepris à nouveau aujourd’hui pour dénoncer le second degré politique des vidéos porno qui se multiplient, et plus particulièrement à destination des adolescents. Le racisme anti blancs, plus particulièrement, y prend des dimensions ignobles, par l’avilissement systématique des femmes européennes dans des scènes dites « interraciales ». Je sais que les intellectuels de droite répugnent à publier sur ce genre de problèmes, mais il y a pourtant des éléments qu’on ne peut pas ne pas dénoncer.