Dans ce vingt et unième numéro de Zone Rouge, OMERTA a interviewé Jean-Paul Le Perlier, ancien commando delta de l’OAS, président de l’ADIMAD-MRAF (Association amicale pour la Défense des Intérêts Moraux et matériels des Anciens Détenus et Exilés politiques de l’Algérie Française), ami et contributeur de Jeune Nation.
1962. L’indépendance de l’Algérie. Pour Jean-Paul Le Perlier, c’est une trahison. Celle de la France envers ses soldats, envers ses engagements, et envers ceux qui ont combattu pour elle. Refusant d’accepter ce qu’il considère comme un abandon, il choisit la voie de la lutte armée et entre dans la clandestinité. Dans son témoignage, il raconte :
- Le massacre des harkis, ces soldats algériens fidèles à la France qu’il appelait ses frères d’armes.
- Les missions secrètes, où il recevait l’ordre de « liquider » les cibles désignées par l’organisation à laquelle il appartenait.
- Son arrestation, suivie d’un interrogatoire brutal et des tortures infligées par ce qu’il nomme les « barbouzes gaullistes ».
- Sa vision amère et critique du général de Gaulle, qu’il accuse d’avoir trahi l’Algérie française.
- Et enfin, ce combat, devenu l’engagement d’une vie : défendre une mémoire, une cause, et des camarades tombés dans l’oubli.
Source : Omerta
Gloire à tous ces soldats « perdus » ! Vive l’Adimad-Mraf !
Demain 10h au cimetière de Vichy, hommage au général Raoul Salan.
Un jour un ancien de l’OAS m’a dit : »Nous, les gars de l’OAS, nous sommes les derniers Français à nous être révoltés contre un Etat, les armes à la main. » Combien c’est vrai.
Merci à Jean-Paul Leperlier pour ce témoignage. Comme je l’écris souvent à Lajos Marton. Je suis fier d’être votre Ami. Et que chaque camarades qui liras votre témoignage le partage avec les jeunes générations.
L’exemple des commandos du Mossad qui ont arrêté de tirer par ce qu’il y avait des enfants. A ce Régis, surtout ne pas aller trop loin pour sauver ses fesses. Son premier reportage sur le front ukrainien , pas très facile de comprendre s’il était pro-russes ou pro-ukrainiens.
La douleur de cet (ces) hommes trahis m’éventre.
Et on en chie tous les jours