Grigori Zinoviev, de son vrai nom Ovseï-Gerchen Aronovitch Radomyslski-Apfelbaum, né le11 septembre 1883 de parents Juifs ; (Apfelbaum se décompose en Apfel, pomme comme l’anglais apple et baum arbre = pommier) Comme on sait, c’est un personnage on ne peut plus éminent, et même proéminent de la révolution communiste qui a eu lieu en Russie : il était l’un des sept membres du premier Politburo, fondé en 1917 pour conduire la Révolution bolchevique avec Lénine, Zinoviev, Kamenev, Trotski, Staline, Sokolnikov et Boubnov ; puis en 1923, il forme la Troïka avec Joseph Staline et Lev Kamenev (son patronyme, c’est-à-dire le nom de son père, c’est Rosenfeld, Kamenev est de père Juif).

Entre 1903 et la chute de l’Empire russe en février 1917, il fut l’un des plus proches collaborateurs de Lénine, passant les trois premières années de la Première Guerre mondiale en Suisse puis retournant en Russie en avril 1917 dans le train plombé avec Lénine. Il est connu comme le dirigeant de longue date de l’Internationale communiste et l’architecte de plusieurs tentatives avortées de transformation de l’Allemagne en pays communiste au début des années 1920.
En septembre 1918, Grigori Zinoviev a cette saillie ni plus ni moins génocidaire :
« Sur les cent millions d’habitants que compte la Russie soviétique, nous devons en entraîner derrière nous quatre-vingt-dix millions. Quant au reste, nous n’avons rien à leur dire. Ils doivent être réduits à néant »͏
On trouve tout simplement cette citation dans Wikipédia en français : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grigori_Zinoviev
À vrai dire, cette citation est pratiquement inconnue en France et on n’a surtout pas besoin de la connaître pour passer son bac – d’ailleurs, les professeurs d’histoire de l’Éducation Nationale l’ignorent probablement. Il est vrai qu’en 1936, l’Inspecteur Général de l’Instruction Publique était un certain Jules Isaac, son supérieur, ministre de l’Éducation Nationale, Jean Zay était Juif également, et le supérieur du supérieur, c’était Léon Blum : ça ne peut pas ne pas donner une certaine orientation générale de l’enseignement de l’Histoire.
Au passage, Jules Isaac, c’est justement l’unique rédacteur de la collection de manuels d’histoire dit Malet – Isaac, autrement, c’est un Isaac qui a rédigé l’histoire de France et même l’histoire tout court, c’est dans ce genre de manuel qu’on apprend qu’il est parfaitement ridicule de prétendre que la révolution d’Octobre était une révolution judéo-communiste (rassurez-vous, on ne va pas vous refaire toute la lyre).
La citation de Zinoviev est par contre très connue dans le monde anglo-saxon, il y a des mèmes à son sujet : QUOTES BY GRIGORY ZINOVIEV | A-Z Quotes
Elle est bien sûr sur Wikipedia en anglais à la page de Zinoviev : https://en.wikipedia.org/wiki/Grigory_Zinoviev
« We must carry along with us 90 million out of 100 million of Soviet Russia’s population. As for the rest, we have nothing to say to them. They must be annihilated »
C’est assez logique que la citation soit connue chez les Anglo-saxons, d’abord parce qu’ils ont toujours été beaucoup plus anticommunistes que nous, ensuite parce que c’est un professeur d’Oxford qui l’a dénichée et rapportée dans son livre paru en 1981, cité par Wiki : The Cheka : Lenin’s Political Police

La citation de Wiki nous précise même la page, or, le livre existe sur le site Internet archive, il suffit de s’y rendre, cliquer sur le lien : The Cheka Lenin’s Political Police : George Leggett : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive

George Leggett note que Zinoviev «seemed to be advocating genocide» – «semble défendre l’idée d’un génocide» , d’où d’ailleurs le titre du présent article.
On note aussi que George Leggett met un renvoi de bas de page pour nous indiquer où il a trouvé le passage incriminé, c’est donc la note 66 du chapitre VI, à nouveau, cliquer sur le lien pour se rendre en fin de livre : The Cheka Lenin’s Political Police : George Leggett : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive

C’est donc dans une revue bolchevique de l’époque, Severnaïa Kommuna, à la page 2 du numéro de septembre 1918, que se trouve la retranscription du discours de Zinoviev.
Voici une note de présentation de cette revue :
Severnaïa Kommuna, quotidien de la Ligue des communistes de 1918 ; Severnaïa Kommuna, quotidien de la Ligue des communistes de la région du Nord et de Petrosostrovet. Publié du 2 juin 1918 au 11 mai 1919, au lieu des Izvestia du Soviet de Pétrograd. 870 numéros ont été publiés. Bureau de rédaction au 57 sur les quais de la rivière Fontanka. Créé à l’occasion de la formation de la Région du Nord. Rédacteur en chef V. A. Vatin (Bystryansky). Le 12 mai 1919, le journal du soir Izvestia Petrograda Soveta a commencé à paraître à la place de S. K. députés des travailleurs et de l’Armée rouge ».
Cette revue est théoriquement téléchargeable sur deux sites, mais depuis la France, cela a l’air bien compliqué : le site de TASS Скачать Северная коммуна 1918 №109 [PDF] – Все для студента. Il faut s’inscrire et c’est payant.

Et sur ce site, site payant qui procède par dépôt sur un site de partage : Journal « Commune du Nord » pour 1918-1919. Dépôt électronique, à Saint-Pétersbourg
Mais, dira-t-on, pourquoi ressortir cette citation et pourquoi tant de vérifications ?
C’est simple, nous venons de vérifier qu’il y a un siècle, le juif Zinoviev avait défendu l’idée d’un génocide de dix millions de personnes, ce qui en soi méritait déjà de prendre toutes les précautions possibles et imaginables.
Mais en plus, encore plus sensible, le but évident de l’article est de tirer les leçons du passé… par exemple pour ce qui se passe maintenant à… Gaza. Les petits enfants ou arrière petits neveux de Zinoviev ont-ils émigré en Israël ? Ses descendants auraient-ils l’intention de faire régner à Gaza l’équivalent de la Terreur Rouge de 1918 – 1920 ? De faire subir à Gaza le sort de la Crimée en 1920 par exemple, sous l’égide à l’époque des (tous Juifs, désolé de le rappeler) Trotsky, Sklyansky, Gusev, Kun, Vulfson, Zemliachka, Dukelsky, Danishevsky, Mekhlis, Lisovsky, Dagin, Radzivilovsk, Margolin?
Il faudrait poser la question à Benjamin Netanyahou, à Israël Katz, à Bezalel Smotrich, etc.
Si d’un côté le Hamas, le Hezbollah, les Houtis et l’Iran sont les « nazis » d’aujourd’hui, et que de l’autre, Tsahal est la réincarnation de « l’Armée rouge » et de ses commissaires politiques, ça peut donner quelque chose de tonique.



































Jeune Nation TV














Zinoniev ou un autre bolchevique avait déclaré : ’’ tout paysan qui ne meurt pas de faim est un koulak’’. Je ne trouve pas l’auteur de cette citation.
Lénine!
Bref, un Juif a demandé l’extermination de 10 millions de Russes.
C’est tout ce qu’il y a comprendre et à retenir.
Utile rappel…
On dira que je me répète… Mais ce n’est pas par hasard ! Ressasser et ressasser encore étant le moyen de faire enfin comprendre ce que les plus naïfs, conditionnés par la propagande, ont tant de mal à admettre : à savoir que les Nationaux Socialistes n’avaient pas tort de considérer qu’à l’Est, ils combattaient LE JUDEO BOLCHJEVISME !
Je répèterai donc que le livre absolument incontournable pour appréhender enfin, à la fois la réalité de l’époque et celle d’aujourd’hui, consiste dans les deux tomes de » Deux siècles ensemble » d’Alexandre Soljenitsyne, et plus particulièrement le second tome « Juifs et Russes pendant la période soviétique ».
– Il démontre qu’il s’agissait d’une « Révolution anti slave » (page 103)…
– « La nation dont ils s’étaient rendus maitres leur était étrangère et ils se comportaient comme en pays conquis » (page 116)…
Churchill lui-même le reconnaissait en févier 1930, dans un article pour le « Sunday Herald » , sous-titré « Combat pour l’âme du peuple Juif » : « Nous voyons aujourd’hui ces personnalités surgies de la clandestinité, des sous sols des cités d’Europe et d’Amérique qui ont saisi à la gorge le peuple Russe et se sont imposés en maitres incontestés de l’immense Empire Russe. »
Quant on sait que les juifs Ashkénazes qui sont parvenus à s’imposer par le terrorisme en Palestine, et s’y maintiennent aujourd’hui par le même procédé, sont pour la plupart issus de ces mêmes Ashkénazes fondateurs du communisme auquel on attribue plus de 100 millions de victimes assassinées dans les pires conditions, on commence à ouvrir enfin les yeux… et peut-être à comprendre !
Entièrement d’accord avec vous! Mais bon y aussi « Dites la vérité et vous verrez le diable » de Gerard Menuhin.
Et ils sont nombreux en France, par exemple dans les séances médiatiques bolcheviques de « debunker la désinformation » où ils ont tous peu ou prou la même tête.
Pour ceux que le sujet intéresse, il y a 4 livres passionnants :
Le grand secret du communisme de David DUKE (on le trouve chez AKRIBEIA)
Le fanatisme juif d’Hervé RYSSEN (il doit être difficile à trouver)
Deux siècles ensemble d’Alexandre SOLJENITSYNE (publié en deux tomes chez Fayard, mais a priori pas réédité). Son archipel du Goulag est pas mal non plus, je n’ai lu que les deux premiers tomes. Il avait publié une photo qui groupait tous les chefs de goulag. Comme il l’avait dit, ce n’était pas de sa faute s’il étaient tous juifs. Il faut aussi indiquer que ces camps de rééducation c’est Genryk YAGODA (un juif aussi, en russe ça veut dire fraise) qui les a inventés. Malheureusement pour lui, cela ne l’a pas empêché d’être victime d’une purge (toujours rigolo le gag de l’arroseur arrosé).
Yagoda, comme les fraises Tagada alors …
Sauf que je ne sais pas s’il y avait tellement de fraise Harribo distribuées dans les Goulag, pas trop le genre de la maison à mon avis.
–> Yagoda, en russe, a plutôt l’air de vouloir dire « baie » en russe, baie au sens de mûres, myrtilles, airelles, fraises des bois …
–> Va pour les fraises Yagoda
LA VIE, LA GUERRE ET L’APRES-GUERRE VU PAR UN ENFANT DE SIX ANS QUI SE RAPPELLAIT DES EVENEMENTS HORS DU COMMUN
1942 J’ALLAIS AVOIR 4 ANS, J’HABITAIS A ASNIERES AVEC MES PARENTS ET MA SOEUR AU 9, RUE DE VILLEBOIS MAREUIL (1) DANS LE PAVILLON AVEC JARDIN DE MON GRAND-PERE MATERNEL OÙ POUSSAIT DU MUGUET, DES SALADES, DEUX CERISIERS DE LA VARIETE MONTMORENCY ET DES POMMES DE TERRE ; LA VIE N’ETAIT PAS ROSE AVEC LES ALERTES (BOMBARDEMENTS SUR NOTRE COMMUNE PAR NOS « ALLIES » ET RESTRICTIONS ALIMENTAIRES) …
En novembre 42 ma mère sortait du pavillon pour essayer de trouver de quoi remplir son cabas au marché quand une patrouille allemande passa dans la rue en chantant Lilly Marlene, arrivée à notre niveau ma mère ne pu s’empêcher de dire à voix haute « Ils chantent aujourd’hui, ils déchanteront demain ! » Le jeune Lieutenant qui commandait les soldats et passait près de la porte d’entrée se retourna et dit en français « Je vous ai entendu Madame veuillez me montrer vos papiers sur le champ, on n’insulte pas la Wehrmacht impunément et d’abord où allez-vous » Ma mère dit « J’allais faire mes courses et voici mon livret de famille ! Le Lieutenant parcouru le livret et dit si je comprends bien vous êtes de sang allemand puisque vos parents et ceux de votre mari s’appellent tous les quatre Boch et même votre époux Mr Roger Suzan est né de mère portant le patronyme Boch, est-ce exact ? » Oui mais nous sommes implantés en France par nos ascendants depuis une quarantaine de générations et nous possédons donc la nationalité française, c’est pour cela que le père de mon mari est tombé à Verdun et que mon propre père grièvement blessé a été rapatrié du front pour l’hôpital d’Asnières en 1917 » ! L’officier hocha la tète et dit « Madame normalement je devrais vous remettre au siège local de la GeheimeStaatsPolizei (Gestapo) mais comme vous êtes Völklisch par descendance allez faire votre marché !! » Ma mère me prit par la main et me rassura en disant « Ce n’était rien qu’un contrôle allons chercher le pain . » Une semaine après en pleine nuit à 3 heures du matin l’alerte retentit et un épouvantable fracas se produisit, réfugiés à la cave le pavillon pourtant en solides meulières tremblait sur ses fondations ma mère dit « Mes enfants faisons notre prière nous allons rejoindre le Créateur ! » Les Alliés visaient la gare d’Asnières mais s’étaient trompés d’emplacement … La nuit d’épouvante passée nous sortîmes dehors et à part le pavillon de notre voisin Monsieur Blin et le notre tous les bâtiments du secteur proche (une trentaine) avaient été rasés et leurs habitants ensevelis.
En juillet 1946, la guerre étant terminée nous avions déménagé pour le boulevard Voltaire dans le onzième arrondissement de Paris ; mon père m’emmena avec ma mère au « Caveau de la République », ma tante ne pouvant me garder, entendre des chansonniers et des humoristes provenant pour la plupart des shettels de Pologne ou des ghettos de Russie, la salle était remplie ce jour là d’une majorité écrasante de Juifs reconnaissables par leurs kippas vissées sur la tête, le présentateur, un Juif, une fois le rideau levé, s’adressa aux spectateurs et dit « En voyant cette salle je comprend que les camps allemands étaient soit des couveuses ou soit des séjours de vacances ! » C’est comme ça que petit j’appris qu’un Juif est un homme portant une calotte !!
(1) La rue fut débaptisée après la deuxième guerre mondiale pour ne pas froisser nos « chers amis anglais ». Le colonel Georges de Villebois Mareuil né à Nantes en Bretagne en 1847 a été tué au combat en tant que volontaire dans l’armée afrikaan à Boshoff en Afrique du Sud (Republik van die Orange-Vrystaat) . Les Afrikanders, des blancs originaires des Pays Bas, n’avaient colonisé personne puisqu’à leur arrivée cette région était inhabitée et quand les Anglais voulurent les dominer ils s’allièrent aux noirs d’ethnie bantou pour organiser la résistance à l’impérialisme britannique qui surprit par le combat des Boers installa des camps d’extermination pour la population civile, premiers camps de la mort (de type Pol Pot au Cambodge). Si la guerre avait durée deux ans de plus la totalité de la population afrikander aurait disparu de la surface du globe ! A noter que contrairement aux bobards des vainqueurs diffusés par les médias anglo-américains les Allemands n’avaient pas ce genre de camps et la meilleure preuve en est donnée par le Crif et la Licra qui organisaient tous les deux ans et ce jusqu’à une période récente un grand rassemblement des centaines d’enfants juifs nés au camp d’Auschwitz !!! Le camp fut libéré par l’Armée rouge qui constata que les enfants étaient en bonne santé malgré le cruel manque de vivres dû aux bombardements américains qui avaient coupé les voies d’accès du camp . En visite, à Auschwitz une fois le camp libéré, le Juif Ilya Ehrembourg, l’adjoint du camarade Iossif Stalin, étant « Responsable du recensement des crimes nazis commis en Europe » déclara « Nous avons fouillé de fond en comble Auschwitz et pas la moindre trace de chambres à gaz homicides !! » Comme quoi la vérité historique est confirmée parfois par des antifascistes patentés !!!
Jean-Pierre Suzan
Fascinante histoire. Moi je suis flamand. A propos, les 1 er camp de concentration fut aux States: Andersonville prison