Au 1ᵉʳ janvier 2023, la France compte 35 122 000 femmes et 32 920 000 hommes. Encore nous faut-il préciser au regard de l’actualité ce qu’est une femme. Une femme est un être humain de sexe féminin. (La moitié des embryons commencent avec des chromosomes sexuels XX et l’autre moitié avec des chromosomes sexuels XY, Y porte le signal du testicule).
Sur le plan philosophique, la femme crée, occupe et fait avancer la société. En effet, selon les époques, les pays, force est de reconnaître que les femmes ont joué et jouent encore un rôle plus ou moins essentiel pour surmonter les plus grands défis auxquels la société est confrontée.
L’intérêt de définir la femme est de constater le changement, avec tous les effets d’inversion de ses valeurs essentielles. Aujourd’hui, la nouvelle définition de la femme est « un adulte qui vit et s’identifie comme une femme même s’il est né d’un sexe différent ». Pour certains dictionnaires, c’est pouvoir choisir sa voie, affirmer ses préférences et ses opinions de la façon la plus libre qui soit. Ou encore : être une femme aujourd’hui, c’est pouvoir conjuguer une vie personnelle et une vie professionnelle, ou même choisir de ne pas avoir l’une ou l’autre. Moins poétique ou philosophique, on découvre que la femme est une partenaire de la production économique et de la reproduction sociale, aux deux niveaux de la famille et de la société. Et il nous faut l’admettre, la femme est utilisée aujourd’hui comme un mobile, mobile d’exclusion politique ou pas, mobile de changement de lois d’ordre social et sociétale, mobile d’achat, de consommation, etc.
Pour l’instant, qu’ils le veuillent ou non, dans tous les cas, la femme est celle qui transmet la vie.
Pour nous, l’essence même de la femme est l’amour c’est-à-dire que nous avons en nous cette facilitée à donner et recevoir de l’amour. Une femme de qualité sait donner de l’amour aux autres et elle sait recevoir l’amour qu’on lui donne. Son amour est le reflet de la beauté de son âme. Sa tendresse, son affection, son attention, sa protection, marquent la différence d’avec l’homme. Son sens du sacrifice est admirable.
Le nationalisme est une doctrine et non une idéologie
Il tire ses racines dans des valeurs, dont les piliers remontent à la fin du 19e siècle. Dans notre monde contemporain, il désigne surtout les principes de gouvernement d’une nation. Il est le guide de la politique des hommes d’Etat chargés de la conduite des affaires de leur pays avec un objectif de préserver la puissance d’une nation et de son peuple qui l’habite et y vit avec des traditions.
C’est une manière d’être, de penser et de se comporter.
Rappelons que la définition d’une nation est une « communauté humaine de destin dans l’universel », dotée d’une âme et d’une personnalité unique enracinée dans un territoire et dans son Histoire. (La patrie est le pays où l’on est né, auquel on appartient et pour lequel on ressent viscéralement un attachement affectif).
Le nationalisme est l’expression de toutes les forces qui composent une nation et donc qui s’opposeront à sa mort et à sa destruction.
[…]
Lire la suite sur : Les Caryatides
Hélène
« Selon les époques, les pays, force est de reconnaître que les femmes ont joué et jouent encore un rôle plus ou moins essentiel pour surmonter les plus grands défis auxquels la société est confrontée ».
Cette seule phrase m’a dissuadé de lire la suite de l’article.
Je serai bref en ne donnant qu’un seul exemple : dans nos groupes (de jeunes nationalistes), les filles présentes (quand il y en avait) n’étaient là que parce qu’elles accompagnaient leur copain.
D’accord, cher GL…
Mais ne vous êtes-vous pas demandé quelle éthique les avait conduites à choisir ce copain-là et pas un autre ?
Ce que vous dites est hélas assez vrai. Effectivement trouver des femmes telles que souhaitées par l’article relève presque du défi. Souvent elles suivent sans convictions profondes jouant un rôle de facteur d’anti cohésion.
Cela étant dit, il en existe mais il faut chercher autre chose que de la viande à plaisir. La vie conjugale n’est pas le bordel à domicile….ce que trop d’hommes cherchent souvent.
Le caractère féminin fonctionne différemment de celui des hommes du fait du rôle spécifique de chacun des sexes qui sont complémentaires mais pas confondus. Nul n’est interchangeable.
La Femme ?
Comme l’a maintes fois répété Jean-Marie Le Pen : « La 3ème guerre mondiale a commencé, et c’est un guerre démographique. »
Et, dans cette guerre, qui est une guerre à mort, quelles sont nos chances… où en sommes nous ?
C’est, cette fois, au Général Bigeard que j’emprunterai la réponse qu’il me fit, alors que j’abordais avec lui un tout autre sujet, la guerre de Bosnie : » Foutez-moi la paix avec cette guerre qui ne changera rien au destin de la France. La guerre qui compte aujourd’hui, la seule dont on ne se relève jamais lorsqu’on la perd, est LA GUERRE DES MATERNITES. Or, dans un pays qui finance des étrangers pour se reproduire chez lui, et alors que ses femmes font à peine un enfant et demi par couple, nous sommes en train de perdre cette guerre! »
Qu’on ne m’en veuille pas de citer souvent les uns ou les autres. En tant que journaliste, c’était évidemment mon métier d’établir des contacts avec des notables…
Je n’en citerai pas moins, pour conclure, quelqu’un que je n’ai pas connu mais dont ma formation « Jeune Nation » m’a amené à lire tous les livres : Alexis Carrel.
Lequel fait reposer une parti de son oeuvre sur cette affirmation : « La vie n’a pas d’autre but que la vie elle-même. »
Ce qui signifie que, toutes espèces confondues, tout est conditionné par la transmission de la vie qui conditionne la continuité des familles, des peuples, voire des espèces.
C’est donc à la fonction de la femme dans la continuité de la vie que s’attaquent ceux dont le but ultime semble le génocide de nos peuples, soit par métissage, soit par remplacement.
Et puis, si j’osais pousser la cuistrerie jusqu’à me citer moi-même, je dirais que nul ne sait vraiment ce qu’est l’amour, s’il ne c’est pas penché, côte à côte avec sa maman, sur les yeux d’un nouveau né qui viennent de s’ouvrir sur le monde.
S’aimer, c’est s’inscrire à deux dans la continuité de la vie par la naissance d’un enfant.
Le reste n’est que mièvrerie hollywoodienne…