Un peu de gauloiserie ne nuit pas à la santé mentale !
Petit devoir de vacances, histoire d’aller au fond des choses, suite à la dernière saillie de Sandrine Rousseau sur feu Geneviève de Fontenay…
Bonjour !
À force de tout déconstruire, Sandrine Rousseau qui est à la cause féministe ce que les émeutes urbaines sont à la défense du « vivre ensemble », au vu des sons produits par son orifice steakophobe supérieur, semble affligée d’un rare cas de fusion bucco-annale. Bien que le concept novateur de sodomie fellatoire qui en découle mériterait sans doute d’être exploré, avec toute l’abnégation requise au nom de la science, il serait quand même préférable que, parfois, elle la ferme. D’autant que, courageuse, mais pas téméraire, elle n’aurait pas craché sur Geneviève de Fontenay de son vivant ; la dame au chapeau, décédée ces jours-ci, féminine, mais pas faible pour autant, ayant eu assez de répondant pour la recycler façon déchets verts dans la benne médiatique la plus proche.
Comme c’est l’été, plutôt que de traiter comme à mon habitude d’une actualité anxiogène qui sera toujours là à la rentrée, je vous invite donc à vous installer confortablement, afin d’approfondir, dans ce second devoir de vacances, les causes et finalités de cette guerre des sexes absurde que Sandrine nous impose.
Le cœur du problème
L’égalité n’est qu’une abstraction mathématique qui n’existe pas dans la nature. Faute d’occuper strictement le même espace-temps, dès l’instant de leur conception, même deux clones strictement identiques ne sont pas égaux. Celui qui marchera sur le côté route du trottoir aura plus de chances de se faire écraser et celui du côté mur de se prendre une fiente de pigeon, chaque seconde qui passe les différenciant davantage. D’un point de vue sociétal, l’idée même d’égalité, a fortiori entre des individus physiquement différents, est une utopie dangereuse qui nie à la fois les incompatibilités qui devraient être prises en compte (comme c’est le cas avec le fameux « vivre-ensemble ») et les complémentarités, comme c’est le cas entre les hommes et les femmes, qui elles permettent d’avancer. Bref, on évite les affrontements nécessaires et on en crée des artificiels là où ils n’ont pas lieu d’être.
Depuis avant Brigitte Macron, la nature des rapports homme-femme, ce que les imbéciles appellent le « patriarcat toxique », découle d’une inégalité majeure : contrairement à la maternité, la paternité n’est jamais certaine et, objectivement, même s’il peut dépasser la chose en raison de son besoin inné de transmission, un homme n’a aucune raison de subvenir, parfois jusqu’au sacrifice, aux besoins d’une famille qui ne serait pas la sienne. Or sans famille point de civilisation. Outre l’intuition, désormais scientifiquement établie, que la multiplication des partenaires impacte négativement la capacité féminine à établir la relation durable à laquelle, pourtant, la majorité des femmes aspire, l’obsession au cours des siècles, pour la virginité et autres stigmatisations de la femme volage, loin d’être une oppression gratuite n’étaient donc rien d’autre qu’un échange raisonnable de bons procédés, la femme seule ne pouvant ni concevoir, ni maximiser les chances de survie de sa progéniture et échangeant contre un peu de sexe (hors épisodes migraineux) et un cadre plus strict, davantage de sécurité.
On aurait pu penser, au vu de l’évolution de la science, que l’avènement de la liberté sexuelle, incitant les femmes à passer leurs années les plus fertiles à devenir les proies jetables d’une minorité qu’elles se disputent, tout en alimentant le segment de marché extrêmement rentable du célibat de masse, aurait été équilibré, au nom de la sacro-sainte égalité, par un test de paternité systématique à la naissance, afin de ne pas casser la motivation principale des hommes à soutenir une famille. Or, non seulement ce n’est pas le cas, mais la chose est punie en France d’une peine d’un an d’emprisonnement ou de 15 000 € d’amende. Il est vrai que la notion même de famille basée sur les liens du sang est la première chose à détruire quand on veut casser un pays, liens du sang qui sont, en outre, la première pierre d’une prise de conscience ethnique qu’il convient d’effacer au nom des valeurs de la république. Il en va de même pour tout type de transmission hors supervision étatique, contribution habituellement dévolue au père et qui se traduisait jadis, par toutes ces entreprises portant fièrement la mention « père & fils » dans leur raison sociale. Quand la complémentarité est basée sur un échange équilibré de bons procédés et qu’on supprime cet équilibre, on altère la complémentarité CQFD.
Morale contre nature
Ce n’est pas parce qu’on est capable de rationalité qu’on est forcément rationnel. En fait, le plus souvent, nous passons notre temps à rationaliser après coup des décisions impulsives pour maintenir l’illusion d’être plus que des animaux. Or, il n’y a rien de plus irrationnel que la morale, pavant l’enfer de bonnes intentions, surtout lorsqu’elle ne se contente plus de s’élever au-dessus des lois de la nature, ce que l’on appelle civilisation, mais finit inévitablement par prendre son contrepied, aboutissant immanquablement à l’inverse du résultat escompté.
Dans la nature, le bien et le mal n’existent pas, il n’y a que le bon qui permet de survivre et le mauvais qui fait de vous le repas de quelqu’un d’autre. En des temps reculés où le déodorant n’avait pas encore été inventé et où l’espérance de vie avoisinait les 30 ans (selon l’appétit des tigres à dents de sabre locaux), attendre d’avoir fini ses études supérieures pour faire des enfants n’était pas vraiment une option, la notion d’adolescence non plus, ne laissant que 2 catégories : enfant et pubère. En gros, si ça sentait le poisson, c’était susceptible de passer à la casserole, même si on peut supposer que, même à l’époque, les mâles normalement constitués étaient plus prompts à tirer par les cheveux dans une caverne, les femelles ayant des signes apparents de fécondité pleinement développés.
C’était certes efficace, mais améliorable et heureusement car, même s’il y a encore certaines régions du Monde qui fonctionnent à l’ancienne et que, même chez nous, certaines caves de cité font parfois encore office de grottes, mon pacifisme a des limites et j’aurais moyennement apprécié que ma fille se fasse capillotracter à 10 ans et demi. Je discutais l’autre jour de la terre plate avec un ami reptilien qui m’a avoué que les hommes de l’âge de pierre sont toujours parmi nous et vivent cachés, se reconnaissant parfois par un patronyme en « Stein » qui, justement, signifie pierre en allemand, ainsi que par leur attirance pour les très jeunes femmes. J’ai un petit doute, car je le soupçonne d’être complotiste.
Pour autant, même si j’ai un petit goût de vomi dans la bouche de devoir faire cette distinction, d’autant que la zone grise entre les deux est parfois ténue, s’ils méritent amplement d’être lourdement punis par cette même loi des hommes qu’ils enfreignent, il est pernicieux au vu de ce qui précède, en les qualifiant abusivement de pédophiles, de les mettre dans le même panier que des gens qui vont, eux, contre les lois de la nature en sodomisant des bébés et qui, sans ce distinguo pénible, mais nécessaire, plutôt que d’être spécifiquement ciblés seront invisibilisés dans une masse artificiellement gonflée pendant que les médias, allez savoir pourquoi, braqueront les projecteurs sur les premiers et seulement les premiers.
D’autant que si on cherche vraiment à protéger les très jeunes adolescents jusqu’à ce qu’ils aient la maturité psychologique requise pour prendre pleinement conscience de ce qu’une vie sexuelle implique (auquel cas on peut s’interroger sur la pertinence d’expliquer la sodomie à l’école maternelle), le constat alarmant qu’ils ont quand même, entre eux, notamment les filles, des rapports de plus en plus tôt avec, en prime, pour référence, des films pornographiques pas spécialement axés sur le respect mutuel, démontre qu’en focalisant sur ce qui nous choque à juste titre, technique connue de manipulation, on en arrive à l’inverse du résultat escompté pour en oublier ce qui fonctionne, comme par exemple, la remise en question de l’école mixte, stupidement écartée, au nom du principe absurde d’égalité.
De même, la nature de l’homme étant de protéger la femme, il lui a concédé de lui-même, toujours au nom de la morale (et non du féminisme) un certain nombre de droits spécifiques ce qui, jusqu’à un certain point, compte tenu des évolutions, est à la fois compréhensible et justifié, mais une fois ouverte la boîte de pandore, faute d’objectifs précis après lesquels s’arrêter (ce qui aurait été amoralement rationnel) la protection légitime des femmes a ouvert la voie à leur protection juridique en tant que catégorie, qui a ouvert la voie au féminisme 2.0, qui a ouvert la voie à la protection des minorités, qui a ouvert la voie à une immigration de masse laquelle, première boucle contradictoire, n’adhère pas au concept de droit des femmes, puis aux LGBT qui les effacent et les remplacent par des trans dans le sport et jusque dans les concours de Miss (deuxième boucle) ce qui amène logiquement à la sexualisation des enfants et à l’intégration, à terme de la minorité pédophile, troisième boucle qui produit exactement, encore une fois, l’effet contraire de celui prétendument recherché au départ ce qui, selon certains, était peut-être la véritable finalité.
Bref, avec l’humilité qui nous caractérise, fidèle à notre tradition du « solublème », aux fins de réduire une inégalité naturelle, on en a créé beaucoup d’autres, elles totalement artificielles, cassant en prime, au passage, des équilibres millénaires. D’autant que si la compassion féminine est essentielle dans le cadre familial et associatif pour cimenter la société, et sans remettre en question qu’il peut exister des femmes parfaitement compétentes en dehors de ce registre, transposée, soit par des femmes, soit par des métrosexuels féminisés ou des hypocrites, à des secteurs qui réclament une extrême rigueur comme : la politique, l’éducation ou la justice, c’est une véritable catastrophe.
Les femmes en roue libre
Si les femmes, par leur influence, se sont toujours efforcées d’éviter aux hommes de partir en roue libre, ce qui n’est jamais bon, la réciproque est également nécessaire. Tout individu qui a accompagné son épouse dans un magasin de vêtements pourra le confirmer : probablement de par le fait que dans certains domaines il a, au bout de neuf mois, des conséquences beaucoup plus lourdes que pour les hommes, les femmes ont un problème avec le choix, problème qui croît exponentiellement avec le nombre d’options qui leur est présenté. Or elles sont passées en quelques décennies du choix relativement confortable du moins pire des prétendants de leur village, aux choix offerts par le monde du travail, l’école, l’université et finalement le Monde entier, puisqu’il suffit d’un compte Instagram pour attirer tous les affamés de la planète, ce qui pousse parfois certaines à faire la moue en permanence en se la jouant star de cinéma, ce qui ne favorise pas les rencontres.
Elles terminent alors leur périple sur Tinder, où elles peuvent, sans que cela les perturbe le moins du monde, être aussi superficielles que les hommes auxquels elles en font généralement le reproche et choisir, sur la base du seul physique, parmi une minorité d’individus qui n’ont que l’embarras du choix, vont les consommer sans donner suite, pour finir avec quelqu’un de plus jeune quand ils en auront bien profité, créant à la fois un ressentiment envers les autres hommes qui n’y sont pour rien, tout en confortant, faute de pouvoir regarder la réalité en face, le rêve éveillé d’une âme sœur cochant toutes les cases de plus en plus nombreuses ajoutées au fil des années qui, quelque part, les attend. Ce qui revient à se lamenter de n’avoir rien à se mettre devant une armoire pleine, chose qui deviendra réalité, lorsque pour avoir trop attendu elles auront trop changé pour trouver encore dans ladite armoire quelque chose qui leur aille dans le créneau de fertilité qui leur reste.
La polygamie assure à presque toutes les femmes d’avoir un homme, mais laisse beaucoup d’hommes sur le carreau, rebut parfois violent et peu enclin à faire face à ses responsabilités paternelles, que nous avons la bonne idée d’importer en masse, perturbant les équilibres, de sorte que même la monogamie qui, elle, permet normalement à une majorité d’hommes de trouver une épouse, ce qui est le garant d’une société stable et moins agressive, ne peut plus jouer son rôle. Un déséquilibre encore aggravé quand les femmes ne sont pas disponibles, occupées qu’elles sont à gaspiller leurs meilleures années sur Tinder à courir après un mirage.
Il en résulte, en partie en raison d’une récession économique, impitoyable pour les individus peu qualifiés, le phénomène des INCELS (célibataires involontaires) qui se font pomper leurs ressources par tout ce qui a deux seins sur internet, pour ensuite se délecter devant des vidéos des mêmes qui se fracassent contre le fameux mur, en réalisant qu’elles ont perdu leur créneau et qu’elles vont probablement finir seules, le tout en fantasmant sur la mythique femme traditionnelle en voie d’extinction qui, certes, n’a pas les mêmes critères de choix que l’instagrammeuse, mais n’est pas plus intéressée qu’elle, et c’est logique, par un type qui passe ses journées à tuer des zombies pixélisés dans le sous-sol de ses parents.
Car le paradoxe d’une société superficielle qui n’a jamais autant valorisé la beauté physique photoshopée, c’est que tant la sédentarité, que la malbouffe et les perturbateurs endocriniens, font que, dans la vraie vie, hommes et femmes tendent vers un modèle androgyne unique, à la fois gringalet, adipeux et moche qui ne plaît à personne. Un individu rendu, de surcroît, égocentrique et dépourvu de la moindre patience par un matraquage médiatique permanent qui le maintient dans un stimulus émotionnel constant, le rendant peu apte aux relations durables.
Pour finir, celles finalement prêtes à faire des compromis pour se caser, réalisent que les hommes un peu établis qui pourraient encore s’intéresser à elles, tendent à virer MGTOWs lesquels, contrairement aux incels, prétendent avoir le choix, mais optent pour le célibat, considérant que les risques, notamment en matière de divorce et de garde d’enfant, sont trop élevés et systématiquement à leur désavantage, leur épouse pouvant sans avoir à se justifier, à la fois les ruiner et les priver de leurs gosses en raison d’une saute d’humeur ou du réchauffement climatique.
Conclusion
Même si c’est toute la société qui s’effondre au détriment de tous, l’homme étant câblé différemment, c’est la femme qui, au bout du compte, reste la principale victime de sa propre émancipation. Certes, du fait d’être aussi un être humain, elle ne se résume pas à son rôle de mère, même si certaines s’en contentent avec bonheur, option économiquement peu pourvoyeuse en TVA qui leur vaut d’être amplement stigmatisées, mais si elle ne remplit pas sa fonction biologique, même avec un abonnement Netflix et un nombre proportionné de chats, une fois passée la période éphémère des cafés gratuits et des portes qui s’ouvrent toutes seules, un peu comme un cheval à trottinette qui n’a jamais couru la crinière au vent, elle aura généralement un sentiment de vide qu’elle essaiera de compenser autrement, parfois avec un certain succès, par une frénésie d’activités, de consommation compulsive, d’investissement dans des choses émotionnelles futiles, et autres addictions diverses qui lui éviteront de toucher du doigt la différence entre solitaire et solitude et d’affronter ses angoisses profondes sans portable et sans musique pour bloquer son introspection.
Par ailleurs, pour avoir simplement remplacé la dépendance à un homme par la dépendance à l’état, tous ses droits et illusions d’indépendance et d’autorité sont artificiels et (tout comme son aisance matérielle éventuelle qui lui permet d’appeler un plombier homme pour déboucher les chiottes) n’existent que tant que tient debout la société, en pleine déliquescence, qui les lui a accordés, contre nature, mais nullement par bienveillance, plébiscitant son travail pour faire baisser les salaires, le célibat prolongé pour maintenir la frénésie acheteuse, et les divorces et les mères célibataires pour multiplier le nombre de foyers fiscaux, doubler les dépenses et mieux manipuler les gamins. Nonobstant, beaucoup réaliseront trop tard qu’elles se sont fait avoir et qu’il vaut mieux être un chihuahua perdu dans la forêt amazonienne qu’une femme seule, abandonnée en rase campagne par un état défaillant incapable, lui, de sentiment, dans les périodes difficiles qui s’annoncent.
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Pour ceux qui le souhaitent, la transcription complète de toutes les vidéos figure sur le blog de La mite dans la caverne.
En cas de censure sur Youtube, la vidéo est aussi disponible sur Odysee.
Loin de la monomanie, tout à fait factuellement nous-nous devons de remonter à l’origine de la guerre des sexes.
Henri Makow a écrit un excellent résumé avec son livre :
« Cruel Hoax – L´Arnaque Cruelle – Féminisme et Nouvel Ordre Mondial – L’attaque contre votre identité humaine »
Comme d’habitude, une ultra-sur-représentation de Snorkys, de cocos (qui sont les mêmes) et de malades mentaux.
(Malades mentaux, cocos et snorkys qui sont les mêmes … sachant que Freud a fait de ses obsessions du Q et de l’analyse son inceste communautaire un métier très lucratif mdr ) .
La guerre des sexes a été lancée (aux USA) par des femmes atteintes de troubles psychiatriques, qui souvent on mal fini, échec de tous leurs couples, tendances sociopathiques évidentes, toxicomanie avérée pour la majorité d’entre-elles, militantisme d’ultra-gauche etc …
Avec l’ultra-féminisme militant d’ultra-gauche est sorti le vocabulaire signé des mots en « ISME » comme à chaque fois, c’est à mon sens autant une signature que la décapitation régicide est une signature de certaines autres sectes.
Un esprit curieux pourrait y voir des redondances entre « SEXISME » et des mots comme :
« Raciste »
Mot propulsé par Lev Davinovitch Bronstein l’inventeur de la solution finale en URSS portant le sobriquet euphémisme de « goulag » pour faire croire aux « gentils » que le goulag c’était super-cool, que ça ne tuait personne… et que 600 camps de solution finale du Snorky Lev Davidovitch Bronstein (Trotsky) et ses dizaines de millions de déportés c’est à oublier face aux 50 camps de son ami socialiste Allemand ….
« homophobie »
Mot inventé en 1965 par George Weinberg, psychologue juif, militant homosexuel.
« Nazi »
Mot Yiddish apparu vers 1800 (« Nazé shalom » = « prince de la paix »)
« Misogyne »
Vieux mot issu de la Grèce Antique
Ressuscité le 18 novembre 1965 par l’activiste féministe d’extrême gauche Pauline M.Leet (Pauline Leet Pittenger) ( Bonne chance pour trouver des infos sur cette personne….)
-L’historique des mots c’est mal !
Ok ok je sais, il ne faut pas traiter de l’historique quand il s’agit de quiconque d’autre qu’un Occidental, blanc, de surcroit catholique et pire encore s’il est de droite et enraciné.
Dans ce cas là on dit « tu vas déclencher la guerre civile à toi seul espèce de salaud inconséquent »
Donc interdiction d’évoquer les innombrables crimes contre l’humanité des Snorkys avec leur révolution communiste sur des dizaines de pays….
(révolution coco et ses crimes y compris le général « Lee » en Chine, qui n’était pas du tout Chinois, mais un snorky « Russe » )
Comme dirait la révolutionnaire indépendantiste communiste Tobby-Rat devenue non-indépendantiste quand il s’agissait d’occuper de très lucratifs postes « colonialistes » :
-il ne faut pas trop évoquer la traite arabo-musulmane, afin que les « jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes »
(l’Express du 4 mai 2006)
(cf : « par contre sur les sales blancs tu peux y aller à fond, et ensuite tu te plains de racisme ou de sexisme s’ils osent te dire le moindre mot » )
-Par contre s’il s’agit d’un sale blanc, Occidental, chez-lui, il est totalement à la mode, admis, légalement encouragé par la loi, les juges rouges et les hussards noirs de la raie publique, autant que de parler d’histoire uniquement à charge, quitte à falsifier totalement les faits …
…falsifier au point de faire du plus grand propriétaire d’esclaves des USA (un afro) un pur mâle blanc d’ultra-droite patriarcal sis-genre … ou même d’oser prétendre que la monarchie était plus absolutiste que la raie-publique …mdr
D’accord, d’accord, je vois déjà les contre-informateurs Rudy-R et Tristan Mendes-F issus du NKVD de leur cousin Trotsky me rétorquer que mes propos sont plus dangereux qu’une BOMBE ATOMIQUE .
-Tiens, ils ont raison, parlons-en, la bombe atomique de Julius Robert Oppenheimer de parents Snorkys pratiquants, qui a crée la bombe atomique qui aura fait Hiroshima et Nagasaki.
Fidélité légendaire à la nation qui fit que le gentil destructeur de mondes aura fait les plans de la bombe atomique à ses cousins résidant en URSS.
[Très intéressant à étudier ce type, aussi « discriminé » qu’un Fabius] :
-« Leur mère Ella dirige avec gentillesse et rigueur la maison, où se trouvent plusieurs œuvres d’art acquises par son mari notamment des toiles de Pablo Picasso, Rembrandt, Auguste Renoir et Vincent van Gogh. Le couple emploie trois bonnes qui demeurent sur place. » (Karl Marx Levy Mordechaïl avait une bonne de plus ! )
[La science rien que la science, pas d’ingérence] :
-À l’université, il rejoint un club où sont discutées de grandes questions politiques et sociales contemporaines (renaissance du Ku Klux Klan, conséquences du Traité de Versailles, putsch de la Brasserie de 1923, etc.). Même si le club n’a aucune visée gauchiste, des partisans de la révolution bolchevique et du socialisme y prononcent des conférence..mfr
[J’suis tellement ultra-privilégié, blindé à peine débarqué et même avant mon immigration…. et en plus avec les plus grands et cruels mafieux des USA, des Meyer Lansky et Jack Rudy à cette époque que j’vais pas me plaindre »] :
-Oppenheimer, qui éprouve une « haine froide » envers le régime, offre 3 % de son revenu annuel (Wigner et Ladenburg ont suggéré entre 2 % et 4 %). Il félicite les deux physiciens de ne pas avoir demandé à tous les physiciens en sol américain, car les universités américaines font parfois montre d’antisémitisme. En cette époque de chômage massif, les emplois qualifiés sont rares et embaucher des étrangers serait vivement critiqué. En effet, plus de treize millions de chômeurs cherchent activement un emploi, car ils vivent « dans des conditions de dénuement effroyables, souffrant de maladies et de malnutrition »
LE LIEN ENTRE OPENHEIMER ET LE FEMINISME donc avec le communisme (ellipse) :
En septembre 1936, il rencontre Jean Tatlock, une militante communiste de dix ans sa cadette, fille de John Tatlock, professeur à Berkeley qui discute régulièrement avec Oppenheimer de littérature anglaisenote .
Elle entretient des liens orageux avec le Parti communiste des États-Unis d’Amérique (CPUSA), jamais satisfaite des actions entreprises.
Sa relation avec le chercheur a un « caractère passionnel, orageux et intermittent ». Elle lui fait rencontrer des amis qui défendent la cause des républicains espagnols ou des travailleurs espagnols immigrés en Californie. (la révolution coco en Espagne ça vous parle ?)
Oppenheimer participe aux collectes de fonds et envoie de l’argent à différentes organisations de gauche poursuivant des visées humanitaires.
Même s’il ne sera jamais membre du CPUSA, il lit des ouvrages de Karl Marx et de Lénine. En 1936, son frère Frank épouse une Canadienne membre du CPUSA (Frank deviendra plus tard membre du parti). Les trois échangent des idées et des projets, s’influençant mutuellement
Jean Frances Tatlock (21 février 1914 – 4 janvier 1944) était un psychiatre américain. Elle était membre du Parti communiste des États-Unis et était journaliste et écrivaine pour la publication du parti Western Worker.
Tatlock a lutté avec sa sexualité, à un moment donné écrivant à un ami qu’« il y a eu une période où je pensais que j’étais homosexuel. Je suis toujours, d’une certaine manière, obligé d’y croire, mais vraiment, logiquement, je suis sûr que je ne peux pas l’être à cause de ma non-masculinité. » ;-)
Tatlock souffrait de dépression clinique et était soigné au mont Sion.(L’hôpital Mount Zion) ;-)
J’aime bien cette histoire d’amour féministe de GUERRE DES SEXES, tout y est : troubles de l’identité de genre, psychiatre Freudienne, militante communiste, journaliste, soignée au Mont Sion Hôpital.
Bon le comique avec Oppenheimer est que lui-même était officiellement atteint de troubles mentaux, mais connaissant l’escroquerie du Freudisme il n’a pas voulu se faire soigner par la « science » de son cousin ^^
C’est dingue, dès que je vois un cancer social et sociétal quelque part …. en cherchant très peu je retombe sur des Snorkys ce qui est mathématiquement logique quand il y a dix milliard de snorkys en Occident sans compter dans le reste du monde…. ^^
Ne soyons pas complotistes, la discrimination positive, l’affirmative action, les quotas, c’est juste bon pour faire suer les Occidentaux et en faire des sous-citoyens chez-eux !
Petite précision de remise en contexte, énième cohen-si-danse :
Sigmund : Obsession du Q Sigmund Freud et ses théorie de la conspiration qu’il généralise à toute la population des gentils, cela uniquement sur base des maboules « discriminées et ultra-blindées » de sa « patientèle.
Edward Bernays :
Il est à deux titres le neveu du psychanalyste Sigmund Freud3,4, neveu germain et neveu par alliance:
son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l’épouse de Freud,
sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l’une des sœurs de Freud
(le comique étant que… consanguins et toujours prêts à parler de « vieux sang pourri des Français » ou de « régénération » des autres par l’immigration mais uniquement des autres)
Edward Bernays est l’inventeur du symbole phallique de « la flamme de la liberté », la cigarette pour les femmes, preuve indéniable et très lucrative de leur émancipation .
[Accessoirement Edward Bernays est également le type qui a permis à l’oligarchie US de mondialiser 14-18, guerre pour laquelle le snorky a fait des merveilles pour retourner l’opinion publique US en faveur d’une mondialisation du conflit.
Les snorkys ne sont pas étrangers à la seconde guerre mondiale et pas danss le rôle qu’on nous impose de penser, révolution bolchevique Trotsky-Bronstein, Lénine-Blank, traité de Rapallo 1922 qui planifiait 39-45 et pacte socialo-communiste dit pacte gremano-soviétique suffisent à ridiculiser la version révisionniste Fernand Nathan ^^ ]
Le comique de l’histoire est que les mêmes snorkys dans la gauche en France disaient à la même époque (1914) qu’il ne fallait surtout pas donner le droit de vote aux femmes, car celles-ci sont trop « dans le giron du curé » c’est à dire trop équilibrées, trop conservatrices, en un mot trop « gentilles » .
BRICS et Afrique
Pour revenir sur l’actualité de l’émancipation de l’Afrique vis à vis des « sales occidentaux » je me demande si la De Beers est concernée par cette émancipation, si le pillage des bois précieux qui a fait la fortune de la famille de Bernard Henry-Lévy est concernée (sic)…
C’est toujours pratique de pouvoir se dire du moyen orient, ou occidental, ou slave, ou nationaliste, ou internationaliste, ou communautariste ou multiculturaliste et tout cela en même temps au choix quand l’une ou l’autre des options arrange.
(exemple : 95% des armateurs et principaux de la traite des esclaves du commerce triangulaire étaient soi-disant occidentaux mais ils étaient éternellement attachés à un pays du moyen orient et n’allaient jamais à l’église …pareil pour l’industrie esclavagiste de la canne à sucre, c’est de la faute des sales « occidentaux » qu’il parait …Pratique vous dis-je …)
L’Afrique s’émancipe des « sales blancs » et j’y suis totalement favorable.
La seule émancipation qu’il reste à faire et celle de l’occident vis à vis des snorkys
La seule discrimination positive qu’il reste à faire c’est celle des Gaulois chez-eux vis-à-vis des snorkys, dans la politique, l’administration, le spectacle, la chanson, la banque, la presse, le cinéma, le journalisme, l’édition, la psycho, psychia, la médecine etc ….
Quand on en fait la liste objective on aurait tendance à se demander s’ils ne sont pas plus de 7 milliards dans le monde tant ils sont sur-représentés ….
CONCLUSION ÉGALITARISTE ET INCLUSIVE :
Pour rééquilibrer les choses au nom de la repentance, la discrimination positive et l’égalitarisme qui LEUR sont si chers depuis si longtemps, il est temps d’interdire totalement aux snorkys le moindre emploi dans le domaine de la banque, de la finance pendant au moins deux millénaires .
Pour la presse, l’édition, le spectacle, la médecine un bon 700 ans d’interdiction totale suffira.
Pour ce qui est lié à la vie de « les tas » dans la raie-publique, 250 ans d’interdiction totale et absolue permettra de rééquilibrer ce qui a été drastiquement déséquilibré par la sur-ultra-surrepréséntation …
DISCLAIMER
Ne m’affublez pas d’intentions négatives ou de volonté de discrimination, bien au contraire j’étudie particulièrement les snorkys et je ne fais là que d’accéder à leurs obsessions séculaires (chez-les autres seulement) de l’égalitarisme, de la discrimination positive, des quotas, de l’inclusivité et de la repentance éternelle etc ….
Allégations qu’il sera difficile de contester tant mondialement tout le monde le sait et que la chose se documente on ne peut plus aisément.
Preuve en est, même l’ultra-hyper bourgeois Walter Rathenau signataire du traité de Rapallo 1922 planifiant et préparant la seconde guerre mondiale pour laquelle lui et les siens sont bien entendu « les seuls à avoir souffert » se plaignait comme une grosse larve d’avoir été discriminé…
(discriminé au point d’avoir fait des études supérieures, au point d’être le fils du patron de AEG, au point d’être patron d’industrie à 22 ans,, au point d’être représentant diplomatique pour l’Allemagne et le très socialiste PSD…
Bref Rathenau a « terriblement souffert » de discrimination… autant que la famille Rothschild, ou que l’ultra-bourgeois Karl Marx Lévy Mordechaïl, ou que l’ultra-bourgeois de noblesse héréditaire Léon Trotsky-Bronstein, ou que Laurent Fabius etc …)
EMANCIPATION DE LA FEMME LEUR CONCEPT :
La femme s’est émancipée depuis longtemps, les BRICS s’émancipent, et nous les « gentils » on se décolonise quand ??? …à commencer émanciper l’état d’Attali, Rothschild, BHL, Cohn Bendit le socialiste allemand donc nazi ^^, Jack Lang, du CRIF, de la LICRA des DYNASTIE HEREDITAIRES Bedos, Fabius, Veil-Buzyn et autres Glucksmann super impliqués dans la guerre en Ukraine etc… ???
Emancipation au nom de l’égalitarisme, l’anticolonialisme, de la repentance éternelle intergénérationnelle et de l’affirmative action et donc du WOKISME, de l’éveil… bien-sûr ;-)
GUERRE DES SEXES ET AUTRES GUERRES
Certains ont toujours investi des deux côtés des conflits, exemple de Rothschild avec la guerre France-Angleterre, ou de Rothschild et son neveu Marx, ou même d’un certain Eric.Z face à la LICRA …
J’ai mis bien longtemps à comprendre le concept de diabole sous l’angle non-théologique, l’étude de l’histoire m’aura permis de comprendre qu’en tous lieux, à toutes les époques, dans toutes les cultures, sous tous les régimes politiques, dans toutes les révolutions chez les autres, certains diaboles revenaient partout, tout le temps ….
(gauchisme, protestantisme, maçonnerie ou snorkys c’est la même chose, exactement la même chose, les mêmes diaboles)
Vous me direz que j’y vais bien vite en besogne, « on ne va pas stigmatiser », je vous accorde que plus de mille ans d’histoire dans tous les pays ce n’est pas assez pour se permettre de remarquer quelques récurrences … ^^ mdr
Je pose juste de candides question, à l’impossible nul n’est tenu, je ne suis qu’un modeste « gentil », donc un peu simplet … comparé à ces saigneurs du copier/coller … mdr
Excusez… m’sieur
Il y a dans ce fatras que vous nous imposez des informations et analyse franchement intéressantes.
Mais, en Université, voire simplement avant le Bac, n’avez-vous jamais pratiqué cet exercice nécessaire de concision appelé REDUCTION DE TEXTE ?
Ne vous a-t-on jamais appris d’une analyse diluée dans d’infinies digressions perdait tout impact ?
Vos propos très pertinents nécessitant en fait un court chapitre par sujet méritaient mieux que d’être étouffées par plus de 200 lignes.
Mais ce qui est pourtant un progrès par rapport à l’une de vos récentes interventions qui comptait… plus de 300 lignes ! Mazette…
La retraite, peut-être, où les longues soirées de vacances en solitaire ?
Il est à supposer que vous vous ennuyez beaucoup…
Au point de faire partager votre ennui aux autres ?
Désolé Monsieur le président.
Ne sachant pas qui sait quoi, à quel point et sur quel point la raie-publique et l’éduction nationale ont détruit toute base historique, je digresse pour que chacun y trouve des pistes de recherche qui lui faisaient défaut.
Désormais je vais éviter de commenter, vous avez raison c’est long, inutile, saoulant, chronophage (pire qu’un livre de 600 pages ^^)
Habitué à la lecture il est vrai que je ne réalise pas l’épuisement physique et moral de subir visuellement, même pire encore parfois de lire trois cent lignes.
Comble de l’outrage, il se peut que chacune de ces trois cent lignes ne soient pas des révélations pour chacun des lecteurs.
Enfin chacun peut supposer que un mois de vacances ou d’être retraité pour écrire de si « chronophages commentaires ».
Je vous rassure sur ce point : Pour un non-humain écervelé et habitué à la lecture et l’écriture comme on en faisait avant les milléniums le débit moyen d’écriture est de 300 caractères à la minute.
Je pense qu’à l’avenir un implant cérébral en vente sur Amazon pourrait palier cet affreux inégalitarisme faisant que moins on lit, moins on écrit, moins on est rapide à lire et à écrire.
Par conséquent je penserai donc à être plus sévère avec mes propres lectures qui souvent ne m’offrent que quelques pistes-informations intéressantes pour une lecture de quelques centaines de milliers de lignes .
Pour information :
300 lignes = 2/3 de page mdr ^^, …. 10.000 lignes = 20 minuscules pages….
Désolé de vous avoir heurté visuellement avec de si longs dont pour lesquels je compte faire récompenser de la Légion d’honneur « quelque lecteur particulièrement méritant a eu la patience de lire ces commentaires » .
Fichtre que les gens sont courageux c’est dingue, et quelle oisiveté dilettante qui n’a que cela à faire que d’oser avoir l’arrogance d’écrire des commentaires dépassant dix lignes, je l’avoue, je fais repentance.
Pire encore je ne suis pas Président, ce qui fait du vilain internaute chronophage un personnage particulièrement anonyme égotique ^^
PS : Pour vous rassurer je ne suis pas un surhomme, encore moins un retraité qui nécessite trois jours pour taper trois cent lignes et je suis beaucoup plus jeune que vous.
Merci de nous avoir confirmé le bien fondé de l’affirmative action afin de niveler les inégalités. ;-)
Et encore une fois mille pardon d’avoir osé écrire trois cent lignes de blog soit deux tiers de page papier, dans votre domaine réservé.
Faute impardonnable s’il en est … :-D
Merci PRESIDENT de m’avoir remis à ma place de manant arrogant et égotique, j’ai vraiment honte de moi .
Je pars définitivement de ce pas pour me prendre un mois de vacances afin de me remettre de l’effort démesuré de tant de lecture/écriture quelque peu trop intellectuels, voir rances.
Au revoir, au revoir PRESIDENT ^^
pfffttt
Si quelque lecteur particulièrement méritant a eu la patience de lire ces commentaires jusqu’ici, je voudrais simplement lui signaler le livre publié récemment par Eric NAULLEAU sur le même sujet, intitulé « LA FAUTE A ROUSSEAU »
L’auteur manie à merveille un humour caustique… une plume trempée dans le vitriol.
Un court extrait : « Avec Sandrine Rousseau et ses pareilles, désormais les femmes comptent pour des prudes, des contre-révolutionnaires sexuelles, des liquidatrices de 68 ou de 69, des sans-culottes reculottées jusqu’au nombril »
La Sandrine en prend pour son grade. On passe de l’indignation à l’éclat de rire.
(mai 2023, éditions Léo Scheer)
Ah oui..; j’ai écrit « de » à la place de « du ». Vous devinez où et pourquoi…
On a parfois de ces pudeurs…
Une guerre est absurde quand les deux camps finissent par se rendre que ni l’un ni l’autre ne gagnera et que les pertes qui s’accumulent rendent souhaitable la fin du conflit.
Les hommes commencent seulement à mesurer, avec un mélange de surprise et d’effroi, l’ampleur de la guerre totale que leur font les femmes. Ils cherchent à se rassurer en pensant, comme l’auteur de cet article, qu’elles seront nombreuses à prendre conscience de leur erreur et à la regretter. Personnellement, je n’aurai pas cette naïveté.
Les hommes ne sont pas au bout de leur surprises. Tôt ou tard, il leur faudra encore apprendre (et ce sera encore à leurs dépends) que les femmes sont plus dures qu’ils ne le sont, bien plus, qu’elles n’ont rien à pardonner et, partant, rien à regretter.
Ce qui est regrettable, c’est cette cécité des hommes à l’égard des femmes. La première femme d’Adam, qui s’appelait Lilith, se refusa à lui et s’éloigna de lui. La seconde, il put la toucher, mais elle le mit dans la merde pour le restant de ses jours en lui donnant à bouffer de la pomme pourrie.
Ce qui est écrit dès les premières pages de la Bible aurait dû nous servir de leçon. A part un poète gauchiste, qui pourrait être assez con pour croire que la femme est « l’avenir de l’homme » ?
La femme n’est pas l’avenir de l’homme, elle en est la négation. La guerre des sexes, ce sont bien des femmes qui l’ont allumée, et le féminisme, c’est une guerre totale qui par nature ne peut pas aboutir à une réconciliation, mais débouchera sur leur séparation.