2019, Editions Pardès, 79 pages, 12 €
Du 19 avril au 19 juin 1938, Codreanu, le chef du Mouvement légionnaire roumain (la Garde de Fer) a été emprisonné. Ces deuxmois passés dans des conditions odieuses entre les murs de la prison de Jilava ont transformé ce héros magnifique en martyr chrétien.
Ces annotations brèves – parfois, à peine ébauchées –, écrites en hâte, nous appren nent le déses poir de l’homme traqué, privé de sa liberté, qui sent autour de lui la haine et qui supporte la torture morale. Mais elles révèlent aussi le jaillissement de la lumière chrétienne.
Ces notes ne sont aucunement un testament politique ou un essai politico-littéraire. Ces deux mois d’épreuves ont fait découvrir à Codreanu la triste barbarie de notre siècle. Mais ils lui ont aussi fait contempler les portes impériales de la renaissance humaine.
De ces quelques lignes émouvantes, il faut retenir un message essentiel: l’humanité a besoin «d’une école de grande élévation et de grande moralité chrétienne», «douleur après douleur, souffrance après souffrance, supplice après supplice, blessure après blessure sur nos corps et dans nos âmes, et tombe après tombe, ainsi, nous vaincrons…»
Disponible sur la Boutique nationaliste
J’ai demandé à une Roumaine si elle connaissait Codreanu. Au début, elle m’a répondu que non.
Et puis ensuite elle m’a dit que c’était un personnage historique très connu.
Pas sûr donc que les Roumains s’en souviennent tant que ça, mais il reste quelque chose.