L’Académie des sciences russe a rendu récemment un rapport sur les processus climatiques mondiaux et locaux et leurs éventuels liens avec les activités humaines. Selon leur rapport, attribuer un réchauffement terrestre comme le fait le « GIEC » à une origine anthropique contredit complètement les observations scientifiques.
Selon l’Académie des sciences, la principale raison du réchauffement de l’océan et du réchauffement de la Terre est l’élimination (fluctuante) de l’isotope de potassium du noyau terrestre. La puissance de ce flux de chaleur serait d’un watt par mètre carré, soit l’équivalent du quart du flux de chaleur du rayonnement solaire. Soit une influence de plusieurs ordres de grandeur supérieure à l’impact humain, alors qu’on presse l’ensemble de l’humanité à combattre ce réchauffement, fixant des objectifs inatteignables, au prix d’énormes coûts et provoquant de véritables saccages (dans l’agriculture, les transports, le chauffage…), le tout sans véritables résultats.
En 2011, le journal Le Temps présentait ainsi l’élément chimique potassium et sa décomposition :
« Le potassium est l’un des sept éléments les plus abondants sur Terre. Pour un nombre d’atomes de 40K donné, il faut 1,3 milliard d’années environ pour que la moitié d’entre eux se soient désintégrés. C’est dire si notre planète n’a pas eu le temps de se débarrasser de son stock initial de radionucléides. Le noyau terrestre s’en serait d’ailleurs entiché : combiné au fer, le 40K formerait un alliage qui fournirait près de 25% de la chaleur dissipée par l’intérieur de la Terre. Une chaleur qui contribue à l’établissement du champ magnétique terrestre, en alimentant la dynamo interne que constitue le métal en fusion entourant le noyau. » (Potassium, cœur radioactif mais inoffensif, Le Temps, 13 juillet 2011)
Pourquoi le fumeux « GIEC » s’obstine-t-il à refuser d’explorer un certain nombre de pistes alternatives, qui sont pourtant mise en avant par de plus en plus de scientifiques, comme les influences géologiques ou solaires, pour chercher l’origine des bouleversements climatiques (réchauffement météo, montée des océans, fontes de glaciers…) ?
Des scientifiques pointent une des principale cause des catastrophes climatiques locales dans l’émission croissante d’hydrogène naturel sous l’influence des forces d’attraction changeantes de la Lune et du Soleil, qui génèrent des « trous » dans la couche d’ozone. Couche d’ozone dont on se souvient de la disparition dramatiquement annoncée il y a quelques dizaines d’années, qui devait entraîner la disparition de l’humanité dans une fournaise, et dont il apparait aujourd’hui qu’elle s’est reconstituée à plus de 85 %…
Ces travaux alternatifs ignorés par le GIEC désavouent complètement les escroqueries occidentales, par exemple le protocole de Montréal, dont la mise en place a ruiné des secteurs entiers de l’industrie chimique, sans avoir le moindre effet sur la taille des trous de la couche d’ozone, qui n’ont fait qu’augmenter.
La tendance mondialiste actuelle d’origine occidentale rejette la responsabilité des changements du climat sur les activités humaines. Elle conduit ainsi à des restructurations économiques majeures qui entraînent la disparition de compétences et de savoir-faire, le démantèlement de filière d’excellence, les faillite, chômage, pauvreté…) et des crises énergétiques.
Entraînés par les climato-dingos, les pays occidentaux cherchent à accélérer la transition des combustibles traditionnels à hydrocarbure et charbon notamment, qu’ils importent, au profit de nouvelles sources d’énergie dites « renouvelables », le tout aiguillonés par les scientifiques alarmistes du GIEC dont les rapports sont de plus en plus critiqués comme partiaux et sujets à caution !
L’adjectif « fumeux » est bien choisi pour qualifier les escrocs du GIEC, qui ne font qu’enfumer le monde…