« Si les effets indésirables relevés après l’injection n’alarment pas les scientifiques, la possible apparition de nouveaux effets, dans plusieurs années, reste encore inconnue. « Ça m’étonnerait, mais on n’a absolument aucun recul », indique Cecil Czerkinsky, qui assure que les risques d’infertilité, de dérèglement de l’organisme ou de cancers sont analysés en amont de la mise sur le marché. « On essaye de déterminer ce risque sur les animaux, on regarde les effets pathologiques qu’il pourrait y avoir sur le système nerveux, l’appareil reproductif, etc., détaille-t-il. Mais la réponse, on ne l’a que sur le grand public quand on a injecté le vaccin. » » (Ouest France)*.
Mais quelle audace ! Ou plutôt quelle impudence ! Ils n’utilisent pas de masque pour se cacher, eux ! Il ne faut pas avoir honte pour oser publiquement une déclaration d’une telle insolence. On a beau nous dire que « ce sont des vaccins qui sont bien tolérés », que « la majorité des effets indésirables sont attendus et non graves », que les « cas de thromboses, de troubles du rythme cardiaque, de polyarthrites, ou encore de myocardites (…) sont des événements rarissimes », « que cela se produit aussi avec d’autres vaccins », qu’« il y a pratiquement dix fois plus de risque de thrombose après une infection au Covid qu’après une injection de vaccin », on ne s’y trompe pas ! L’aveu est fait, une fois pour toutes, et cela suffit : « on n’a absolument aucun recul ». Point barre : à partir de là, terminé, impossible à tout jamais de justifier le vaccinisme et le pfizerisme.
Mieux : cet aveu suffit à justifier la condamnation de tous les forcenés de la vaccination, laboratoires comme Gouvernements, pour mise en danger délibérée de la personne d’autrui, mise en danger délibérée du monde entier, puisque c’est le monde entier qu’ils veulent vacciner, sans avoir « aucun recul » ! Délibérée, oui, puisqu’ils savent pertinemment que « la réponse, on ne l’a que sur le grand public quand on a injecté le vaccin ».
Des docteurs mabouls doublés de fieffés insolents : la liste des méfaits accomplis par les tyrans du vaccin s’alourdit de jour en jour. L’outrecuidance est à son comble. La médecine est devenue un jeu d’aléas : elle ne s’en cache pas. On lance les dés, et puis on verra. C’est la nouvelle démarche scientifique : l’action avant la réflexion. On tente, et puis, après, plus tard, peut-être, on analysera. C’est ainsi, et puis quelle importance disent les médecins, puisque l’expérience ne porte que sur ces porcs de goyim ? Il faut bien expérimenter. Ha, vraiment, quelle époque : éblouis pas les Lumières de la Raison, il faudrait, ébahis, terrassés, s’agenouiller devant la caste des scientifiques modernes, vénérer les grands prêtres du Rationalisme et du Transhumanisme, se prosterner face contre-terre devant le Pfizer tout-puissant, devant ce dieu qui a daigné, dans son infinie générosité, révéler aux misérables cafards de goyim, les voies sacrées de la science médicale !
Crachons sur ces idoles covidistes : Nous sommes les anciens Barbares des forêts sauvages : on ne nous convertira pas au nouveau dogme. Nous sommes les premiers chrétiens de Rome : nous n’adorerons pas les idoles dorées. Nous sommes les Vendéens de France : on ne nous imposera pas les Lumières. Il faudra nous trancher la tête, nous jeter aux lions, nous envoyer les colonnes infernales ! Nous les attendons ! Et si vous brûlez ce qui reste de notre monde, si vous brûlez les églises de notre Dieu : croyez-nous, nous brûlerons les vôtres, et vous brûlerez avec nous ! Oui, si « nous damne le monde entier, nous l’entraînerons dans les flammes, et nous en rions volontiers ! ».
* Source : Ouest-France