Le 7 mai 1994, Sébastien Deyzieu (1972-1994), militant nationaliste révolutionnaire de l’Œuvre française, répondit à un appel à manifester contre l’impérialisme américain.
Quelques jours plus tôt, Philippe Massoni avait pris un arrêté pour interdire cette manifestation de « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ». La racaille républicaine maçonnique obéissait aux ordres du gouvernement d’Édouard Balladur, de son acolyte Nicolas « l’Américain » Sárközy, et de leur ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Ce dernier l’y avait nommé juste un an plus tôt.
Très proche des gaullistes et notamment des « durs », parmi lesquels les criminels du Service d’action civique (SAC), Philippe Massoni était auparavant directeur de cabinet du parrain corse Charles Pasqua. Avant de rejoindre la préfectorale, il avait fait une longue carrière dans la police et notamment les Renseignements généraux.
Malgré cela, les nationalistes se mobilisèrent pour dénoncer l’indécence des commémorations du 50e anniversaire du débarquement, qui avait conduit à l’asservissement de l’Europe.
Sébastien Deyzieu se retrouva place Denfert-Rochereau à 17 heures le 7 mai, où les flics républicains étaient amassés nombreux.
La répression fut sans pitié : ils attaquèrent violemment les jeunes Français : 107 furent arrêtés quand d’autres, seuls ou en groupe, parvenaient à s’échapper.
Parmi eux se trouvait Sébastien Deyzieu que les hommes de Pasqua traquèrent sans pitié. Le jeune militant nationaliste de 22 ans pensa trouver refuge dans un immeuble situé au 4 de la rue des Chartreux. Dans des circonstances jamais élucidées, il tomba hors du bâtiment.
Ainsi Sébastien Deyzieu rejoignit la longue cohorte des Français morts pour la cause nationale, montrant comme ses aînés la voie à la jeunesse de France, qui fait écho à Jeanne : le dévouement absolu pour la délivrance de la France et l’acceptation même du sacrifice suprême.
Chaque année depuis, c’est traditionnellement le 9 mai que les nationalistes français lui rendent honneur. Vingt-trois ans plus tard, alors que l’Europe est toujours occupée, les nationalistes poursuivent le combat et n’oublient pas.
Sébastien ? Présent !

J’ai bien connu la fiancée de Sébastien qui a témoigné dans « Minute » quelques jours après le décès de celui-ci.
Selon elle et selon les proches de Sébastien, il a tenté de monter sur le toit de l’immeuble par une gouttière en zinc qui a cédé, causant sa chute.
A l’époque, lorsqu’on était coincé par les forces de répression, changer de rue en passant par les toits était une pratique courante… du moins parmi les militants de choc !
Quant à Philippe Massoni, nous avons fait nos classes dans la même section parmi les candidats Elèves Officiers de Réserve (classe 60 2 B), au 4ème RIMA, situé à Maisons-Laffite.
C’était un grand mou, cauteleux vis à vis des supérieurs. Ce qu’il fut toute sa vie, cherchant à séduire et toujours « du côté du manche ».
Ce qui lui a réussi au delà de ses mérites réels, notamment suite à son engagement dans la maçonnerie où il a atteint les plus hauts grades.
Il fut toujours un homme de mains de cette autre crapule qu’était Pasqua.
Pour résumer : C’ETAIT UN GAULLISTE !
EXCELLENT !
Superbe article.
Merci de commenter le rassemblement des 550 jeunes dynamiques qui ont manifestés le 9 mai. 550 c’est magnifique. En espérant que ces jeunes ne sont pas des zemmouroïdes pro-Ukraine. En tout cas, pas tous. En 76 au GUD/PFN, à l’époque d’Emmanuel Ratier nous étions 80 dans les manifs dures.
Monsieur « Brunrouge »…
Dans notre pays dont la langue fut pendant des siècles la langue diplomatique, parce qu’elle permettait de peser chaque mot et qu’elle véhiculait une incomparable sagesse, il existait un proverbe auquel il ne serait pas idiot de se référer : « LE DIABLE PARFOIS PORTE PIERRE » …
– Ce qui suggère évidemment que quand un ami se rend utile… c’est bien !
– Mais que quand c’est un ennemi éventuel que l’on peut utiliser, éventuellement pour marquer contre son propre camp… c’est le top de la réussite !
Que cela plaise ou non, il faut reconnaitre que, pour la première fois, grâce à Zemmour, la problématique vitale de l’invasion migratoire et du remplacement de population a été au centre de la campagne présidentielle et a donc pénétré dans tous les foyers, faisant gagner à nos idées une crédibilité qui, jusque là, n’avait jamais atteint un tel développement dans ce domaine essentiel.
Personnellement, je me fous de l’origine des galériens, pourvu qu’ils rament et que la galère « France » échappe au naufrage.
Il sera toujours temps de faire le ménage à bord, une fois arrivés au port… si nous y arrivons !
C’est votre avis et apparemment, il vous satisfait. Si vous pensez comme Zemmour qu’il est utile chaque jour et à l’aide de sites, de radios, de journaux, de livres. Chaque jour, on pourrait dire chaque minute, de dénoncer l’immigration sans en dénoncer les auteurs, les manipulateurs, l’UE, les mondialistes, Jacques Attali avec son souhait d’une gouvernance mondiale ayant comme capitale Jérusalem (Il aurait pu choisir Paris). Vous restez au milieu du gué. Est-ce par peur ou pour ne pas aller trop loin par besoin d’un confort moral et social?
Vous semblez oublier que ce combat Jean-Marie Le Pen l’a mené pendant 50 ans. Quand Zemmour votaient Mitterrand. Vous direz avec quel résultat? Je dirais toujours plus que 7%
On a vu que la dénonciation de l’invasion migratoire, même lorsqu’elle est nommée, lutte anti-islam est finalement peu poursuivie. Avec certes des amendes, des gardes à vue, des condamnations.
On va savoir prochainement si Pierre Cassen, par exemple, sera envoyé en prison comme Hervé Ryssen. On verra sil y a un deux poids, deux mesures.
PS: Dès vos premiers mots « Monsieur Brunrouge », on perçoit votre arrogance et votre morgue. Même si, le besoin de mettre votre titre dans l’énoncé nous avait déjà donné quelques indications
« Brunrouge » (puisque vous n’aimez pas que l’on vous dise ‘monsieur’…)
Ainsi, j’aurais – dites-vous- « peur d’aller trop loin par confort moral ? » Et je me prévaudrais avec arrogance d’un « titre » ?
Commencez donc par avoir « l’arrogance » de ne pas vous dissimuler derrière un pseudo avant de parler de « confort moral ». Peut-être serez vous plus crédible…
Quant à mon « titre » concernant mes responsabilités à la tête de l’Association regroupant les anciens de l’OAS, il résulte d’années de prison conséquences de nombre d’exécutions de nos adversaires pour lesquelles je fus inculpé à l’époque.
Et si je me refuse à dissimuler mon nom, c’est que, contrairement à vous, j’assume les mêmes risques que les Pierre Cassen ou Hervé Ryssen… La prison ? Je connais déjà, pour de longues années, et je suis prêt à y crever si c’est utile à mon pays !
Je conçois mal que vous ne réalisiez pas le ridicule de clamer que les uns et les autres « restent au milieux du gué » et n’en font pas assez… pour satisfaire aux critères de quelqu’un tel que vous, n’osant même pas prendre le risque de s’exprimer sous son identité réelle !