Le 5 juin 2013, alors qu’un groupe de jeunes sympathisants des Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires se rend à une vente privée de vêtements dans le 9ème arrondissement parisien, une attaque de la vermine antifasciste provoque une violente altercation entre les deux groupes. Parmi les victimes, Clément Méric, jeune militant d’extrême gauche décède en chutant malencontreusement contre un poteau.
Le prétendu agresseur, Esteban Morillo, 20 ans au moment des faits est immédiatement interpellé pour homicide involontaire. Après plus d’un an de détention, il est finalement remis en liberté le 2 septembre 2014 mais demeure à compter de cette date sous contrôle judiciaire strict avec interdiction formelle de quitter son département de résidence.
Cette fumeuse affaire aurait pu passer pour un fait divers si elle n’avait pas été l’élément déclencheur permettant au Système de lancer le rouleau compresseur de la répression contre ses opposants irréductibles. En effet, suite à la mort de cette racaille d’extrême gauche, le sinistre de l’intérieur en la personne du défunt (politique) Manuel Valls a annoncé la dissolution des Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires, de Troisième Voie, des Jeunesses Nationalistes et de l’Œuvre française, qualifiée de « matrice idéologique de l’extrême droite ».
La dissolution du plus vieux mouvement nationaliste français sur des prétextes fallacieux (dans la mesure où celui-ci était parfaitement irréprochable dans le cadre de cette affaire) a provoqué un véritable coup de semonce au sein du camp National.
Pour autant, la volonté manifeste du premier ministre de leur république de « tailler en pièces les mouvements qui propagent la haine » est à inscrire dans un contexte européen. En effet, si la répression désormais systématique contre les détracteurs de leur démocrassie à l’agonie est un phénomène avéré en France, nos camarades étrangers y sont également durement confrontés.
Nos amis grecs de l’Aube Dorée ont également fait les frais d’une manipulation similaire suite au décès du rappeur antifasciste Pávlos Fyssas. Il eût été probable que ce meurtre fut commis par un sympathisant du mouvement si le premier ministre Samarás n’avait pas reçu quelques mois auparavant la visite en grande pompe de Ralph Lauder, président du Congrès Juif Mondial. Celui-ci avait ordonné au nom de la communauté juive de Grèce la « mise hors d’état de nuire du mouvement Aube Dorée » et de ceux qu’il qualifiait arbitrairement d’antisémites en fonction du degré de soumission qu’ils voulaient bien accorder à la toute puissante communauté de Lumière.
Cette gigantesque mascarade montée de toute pièce par les tenants du même Système qui sévit partout en Europe a provoqué l’arrestation immédiate du Secrétaire Général du mouvement, Nikólaos Michaloliákos, ainsi que de quatre autres députés pour « appartenance à une organisation criminelle », un comble lorsque l’on sait à quel point ce parti se soucie de la survie de son peuple en menant des actions sociales de grande ampleur.
Ces différents coups de force contre les opposants authentiques de leurs régimes vermoulus sont autant de preuves que nous sommes considérés comme dangereux. La preuve en est que tandis qu’ils mènent une politique extrêmement laxiste contre les casseurs d’extrême gauche (réellement violents ceux-là), ils n’hésitent plus à employer la force dans le but de nous faire taire, allant jusqu’à monter de toute pièce des assassinats politiques censés légitimer leur impitoyable répression.
Nous ne pouvons que nous réjouir car cette vague de persécutions est un signe de la faiblesse croissante de la clique mondialiste mise en place en 1945. De la même manière qu’un chien qui mord se sent en danger, la coterie cosmopolite frappe car elle sait que ses jours sont comptés et qu’elle ne peut que retarder l’échéance de son effondrement. Ils nous appartient donc d’accélérer le processus d’écroulement de cette machine infernale destructrice des peuples et des Nations en menant une action sans concession capable de pousser le Système dans ses retranchements.
Le temps joue en notre faveur et nous serons en première ligne le jour où triomphera la Révolution Nationale que nous appelons de nos vœux. Empros, en avant !
Qui vive ? France !
Addendum du 4 juin 2018 : Depuis les dissolutions, dénonçant cette acte de forfaiture, notre directeur, Yvan Benedetti, n’a cessé d’affirmer que « l’Œuvre existe et existerait encore alors qu’on ne parlerait plus ni de Valls, ni de Hollande et qu’à moins de nous dissoudre dans l’acide, ils nous retrouveraient toujours sur leur chemin. » Pour cela, entre autre, il est poursuivi et a été jugé le lundi 4 juin 2018 au Tribunal correctionnel de Lyon sous le chef d’accusation de « reconstitution et maintien de ligue dissoute ». Quand on sait que Valls, naturalisé en 1982, n’était même pas français quand l’Œuvre française fut créée par Pierre Sidos en 1968, on mesure l’inanité d’une telle ineptie.
Bravant les réquisitions du procureur réclamant 6 mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve et 15000 euros d’amende, ce 4 juin 2018, devant ses juges, notre ami Yvan Benedetti a courageusement réaffirmé « la permanence de l’Œuvre française malgré les dissolutions et à travers l’Œuvre celle du nationalisme, et à travers le nationalisme, celle de la France! Oui l’Œuvre française et la France sont irrévocables ! Aux juges de prendre leurs responsabilités ! J’ai pris les miennes. Celles que nécessitent le combat au service de notre peuple et de notre communauté nationale. C’est grand, c’est fort et cela nous consume tout entier ! »
Addendum du 28 mai 2019 : Le 4 juillet 2018, le Tribunal condamnait Yvan Benedetti pour les faits dénoncés ci-dessus à 4000 € d’amende ou 80 jours de prison. Yvan Benedetti formait évidemment appel de cette décision inique et était rejugé par la Cour d’appel de Lyon le 7 mai dernier. Répondant point par point aux motifs servant de prétexte aux dissolutions, Yvan Benedetti a réaffirmé qu’il ne paiera aucune des amendes : « Je ne les paierai pas, elles sont nulles et non avenues ». « Je maintiens l’Œuvre Française ». L’avocat général a requis une peine de 6 mois de prison avec sursis simple et la perte des droits civiques, civils et familiaux pendant 3 ans. En lien, le compte-rendu de l’audience fait par le C.L.A.N. – Comité de Liaison et d’Action Nationaliste. La décision a été mise en délibéré au 11 juin.
Quoi qu’il en soit, serrons les rangs face au Système afin de dénoncer, de s’opposer à ce diktat et cette imposture. Pour que la France Vive, pour que le nationalisme s’impose, pour que l’Œuvre française perdure !
Addendum du 11 juin 2019 : Ce 11 juin, les juges de la cour d’appel de Lyon ont donc partiellement suivi les réquisitions. En alourdissant la peine de prison mais en rejetant la privation de ses droits : Yvan Benedetti a donc été condamné en appel à 8 mois de prison avec sursis pour avoir maintenu l’Œuvre française.
« Je savais que j’allais être condamné puisque je me suis toujours dit coupable de maintien de ligue dissoute. Mais après 4 ans d’enquête et d’investigation, c’est quand même la montagne qui accouche d’une souris. Je prends ça pour une victoire » (Yvan Benedetti)
Le traitement de l’affaire Meric est une preuve de plus que la France est sous l’emprise d’un régime de nature chimiquement bolchevique.
Valls et tous les partis politiques « républicains » ont organisé dès l’annonce du décès de Meric une manifestation pour dénoncer le « fascisme » avant même tout début d’enquête. Le Procureur avait requis que l’infraction soit qualifiée d’homicide volontaire ! heureusement le juge d’instruction a requalifié en homicide involontaire.
En première instance Esteban et son ami Samuel, lequel ne s’était même pas défendu contre les agresseurs antifas x avaient été condamnés à 11 ans de prison ferme !
Ne jamais oublier que les « rouges » sont des sociopathes.