Non pas celui auquel on pense, le prétendu “Holocauste”, mais celui perpétré par les vainqueurs de l’Allemagne contre cette nation et ses habitants, au mépris de la plus élémentaire justice et des règles les plus évidentes du comportement civilisé, par les Alliés d’hier, “chrétiens” de surcroît en ce qui concerne les Occidentaux. Plus nous progressons dans la connaissance des faits et documents disponibles, de source officielle ou de source révisionniste, plus nous sommes saisis d’un haut-le-cœur en découvrant les atrocités imputables non pas aux “nazis” mais aux représentants des nations dites démocratiques censées représenter le droit et la morale. Ils combattaient, nous dit-on, au nom des plus nobles principes et instituèrent à l’issue des combats une instance prétendument internationale, en réalité un tribunal de vainqueurs, voué en réalité à la vengeance, pour prétendument définir et mettre résolument hors-la-loi des agissements inadmissibles en temps de guerre comme en temps de paix : noble initiative, certes, si elle n’avait eu pour but de punir avec une partialité et une hypocrisie révoltantes, mais d’analyser sans concessions les comportements des uns et des autres pour tenter d’édicter des règles contraignantes garantes d’un avenir de paix.
Nous nous référons essentiellement aux documents provenant de sources alliées ou mieux encore de sources juives. Depuis plus de soixante ans ils nous parviennent au compte-gouttes, si rigoureuse est la volonté d’étouffement et de répression, mais leur message ne laisse aucun doute. Une chape de plomb pèse sur l’information, surtout lorsqu’elle risque de laisser apparaître une autre “vérité historique” qu’il est interdit d’évoquer. Ceux-là mêmes qui s’y risquent sont mis au ban de la société. Après un lavage de cerveau systématique la manipulation des esprits atteint un tel degré que la liberté d’expression est quasi inexistante. Les catacombes redeviennent d’actualité, le maquis accueille les proscrits ! La peur règne encore, près de septante années après les événements, et le souvenir des tortures infligées aux Allemands, aux prisonniers de guerre, aux civils et à tous ceux qui de près ou de loin ont joué un rôle dans leur pays en guerre, associé au matraquage holocaustique permanent, suffisent à refouler la moindre tentative de réflexion.
Le plus effroyable crime contre l’humanité perpétré de mémoire d’homme n’est pas celui qu’on croit et que les institutions juives ont magistralement mis en scène, inventant même une « industrie de l’Holocauste » dénoncée par l’un des leurs, mais c’est la monstrueuse mystification qui empoisonne l’humanité depuis des décennies. Les récits grandguignolesques d’innombrables survivants “miraculés” font florès tandis que les témoignages concernant les horreurs commises par les vainqueurs tout comme ceux en faveur des Allemands n’ont pas droit de cité. Les insoutenables tortures auxquelles ces derniers ont été soumis jusqu’à ce qu’ils avouent des crimes inexistants sont la honte de l’Occident et de la chrétienté. La vindicte des Soviétiques a encore dépassé dans l’horreur celle de leurs alliés. Le mensonge, déjà inadmissible dans la propagande de guerre, a déshonoré les justiciers félons depuis 1945 jusqu’à aujourd’hui. Entendons-nous bien : cette prise de conscience ne réhabilite nullement les chefs nationaux-socialistes et leurs fidèles, ni ne les dédouane des excès qu’ils ont pu commettre comme tout pays engagé dans une entreprise guerrière nourrie par la haine, le mensonge et la mauvaise foi. Mais n’en rajoutons pas. La réalité se suffit à elle-même. L’un des révisionnistes les plus sérieux et les plus exhaustifs, un scientifique emprisonné en République fédérale pour crime de pensée, a très justement écrit dans son magistral ouvrage Conférences sur l’Holocauste (livre interdit – il est presque inutile de le préciser) que la révision de l’histoire du IIIe Reich l’absolvant de diaboliques meurtres de masse n’en fait pas pour autant un ange (« so wird aus dem bisher als Teufel wahrgenommenen Dritten Reich noch lange kein Engel »).
La guerre réveille la barbarie et les prétendues lois de la guerre tentent seulement de la masquer. L’examen objectif des faits démontre amplement que la félonie du prétendu camp de la civilisation ne le cède en rien à celle imputée, souvent à tort, aux zélateurs du Führer ! Il importe de dénoncer les mensonges, de rétablir les faits et ainsi de désarmer les esprits, c’est la mission des révisionnistes et des historiens honnêtes.
Jacques Vecker
Article tiré de la revue « Libre Expression » (Château de Vaugran, 30480 SAINT-PAUL-LA-COSTE)