Toqué, Hollande ne s’est pas pris une veste, quoi que !
Impopulaire en France, leur républicain voyage à nos frais
Reprenant les habitudes d’un François Mitterrand totalement discrédité, laissant alors Jacques Attali seul gouverner leur République au profit de la ploutocratie du « lobby qui n’existe pas », François Hollande a fui les protestations – vaines à ce jour – du peuple français, pour aller chercher un peu d’existence politique dans un pays étranger.
Chemin faisant, l’occupant de l’Élysée a ainsi été photographié en tenue chaude au Kazakhstan, un pays considéré comme particulièrement corrompu, probablement un cadeau de bienvenue qu’il y a reçu. S’apprêterait-il à le revendre au profit de l’une de ses nombreuses concubines ?
La photographie, pourtant officielle,… « fait polémique » !
Mais, alors que le cliché a été réalisé tout à fait officiellement par le photographe attitré de la présidence kazakhe, la présidence de leur République, elle, se lamente quant à… sa diffusion officielle !
C’est d’autant plus étonnant de prime abord que, pour une fois, leur président – élu démocratiquement… par 30 % du « corps électoral » – n’était pas fagoté comme l’as de pique ! Notons également que cet ensemble vestimentaire remémore assez justement l’époque des apparatchiks droits-de-l’hommistes soviétiques à la tribune du Kremlin, encore que ces derniers choisissaient le gris, couleur qui correspondait mieux aux ruines inhumaines anti-intellectuelles et amorales qu’ils ont laissées derrière eux !
Pour ces invertis, une « communication » ratée, c’est pire que tout !
Uniquement mû par l’inversion des valeurs, chère à leur République, ce communicant informe se trouve forcément une apparence ridicule dans cette tenue, puisqu’elle… a un certain cachet, contrairement à ses habituels costumes pingouinesques à manches inégales – est-ce la faute du tailleur ou bien du modèle ? – exhibant une cravate de travers et une braguette rarement fermée. Nul doute que les médiats du pseudo « clivage droite-gauche » vont laisser à leurs comiques le soin de moquer la chose pour réjouir passagèrement leurs électeurs tellement tristes et perdus qu’ils suivent assidûment les délires télé-radiophoniques du Système autrement que pour en démonter les mécanismes manipulateurs. Et puis il faut bien que les fragiles pseudo-artistes – dont la platitude égale celle des écrans modernes – continuent de se goinfrer de « contribution à l’audiovisuel public », en remplissant leurs cases horaires avec ce que l’actualité met à leur disposition.
En tout cas, il est trop tard pour retoucher le cliché, comme les Rouges faisaient pour ôter des photographies officielles les anciennes gloires déchues.
Pour le bien… des sondages et de l’écologisme marxiste
Surtout, dans un soucis de conformisme propre à leur « suffrage universel direct », cet élu de leur République est certainement gêné, après coup, d’apparaître dans un vêtement en peau de bête et fourrure.
En effet, non seulement, son hypocrite soucis de popularité pour leur vote auprès des « sans-dents » qu’il méprise en coulisse, contraints de se vêtir de matières plastiques confectionnées dans les « ateliers du monde » asiatiques qui les relèguent au chômage, le conduit-il à essayer de « se la jouer populo ».
Mais encore, l’écolo-gauchisme contradictoire l’amène à rejeter tout ce qui est… naturel, préférant les matières synthétiques faites de pétrole et de colorants chimiques toxiques et hyper-polluants, plutôt que la fourrure, pour laquelle des prélèvements raisonnables sur les populations d’animaux sauvages n’ont rien de choquant puisqu’ils contribuent à les protéger contre la famine et les épidémies, bien mieux que la débile interdiction de nourrir les oiseaux sauvages, ce qui les affaiblit et les expose d’autant plus… aux maladies contre lesquelles les technocrates et leurs « experts » du Politburo prétendent ainsi… nous protéger !
Il faut dire que leur « principe de précaution » a inspiré leur « Charte de l’environnement de 2004 », et a été introduit dans la constitution en même temps que celle-ci, devenue depuis 2005, leur quatrième pilier constitutionnel !
Pourtant, qu’y a-t-il de gênant à ce que des gens qui mangent dans une assiette où ils ont laissé déféquer des oiseaux, passent éventuellement de vie à trépas ?