Déjà, il faut parler d’une véritable « corrosion politique », qui n’est pas limitée à cette infrastructure, mais qui est beaucoup plus profonde. En effet, nous pouvons extraire quatre fronts de désintégration de cette Union européenne (UE), quatre lignes de fractions convergentes qui font qu’aujourd’hui, l’UE potentiellement n’existe plus ! Il ne reste pour ainsi dire que des institutions où des gouvernements dialoguent entre eux, mais ne parlent plus la même langue sur des sujets tout à fait essentiels.
Première ligne de rupture :
La ligne géopolitique dans le rapport à la Russie, nous voyons que l’Europe de l’Ouest n’identifie que partiellement la Russie comme une menace, voire, parfois, exprime un soutien à sa politique étrangère. En France par exemple, existe un sentiment d’empathie, de soutien à ce pays et plus particulièrement à sa direction politique, à commencer par Vladimir Poutine. Ce n’est pas du tout ce qu’il se passe dans les pays Baltes, comme en Pologne, Ukraine, notamment dans sa partie occidentale et ni en Roumanie.
Deuxième ligne de rupture :
La ligne économique, depuis plusieurs années une rupture entre le nord de l’Europe et le sud de celle-ci, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal et la France ainsi que le reste de l’Europe, autour de la crise de la zone euro. Cette monnaie n’est qu’un symptôme, un thermomètre de cette crise économique, qui va s’accélérer et entraîner tout le continent dans un écroulement économique jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale.
Troisième ligne de rupture :
Un front bien évidemment beaucoup plus profond parce qu’il est lié à la conception même du monde, de la culture au sens plein et entier du terme regroupant la langue, la façon de se comporter. C’est évidemment une rupture fondamentale existentielle qui se trouve être beaucoup plus grave que les questions géopolitique et économique. Au final, l’histoire de l’euro, même si elle peut avoir des conséquences significatives sur la prospérité des pays, ce n’est qu’une question de niveau de vie, et cela nous parvenons toujours à le surmonter un moment ou à un autre. Il est tout à fait évident que même si l’économie européenne s’effondre cela ne prendra jamais, sauf catastrophe géopolitique, la forme que nous avons connue au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Nous n’avons pas une Europe qui se trouve complètement anéantie, mais nous avons par contre une Europe qui est en décroissance, en train de se paupériser sans cependant destruction massive des infrastructures comme cela a été le cas entre 1940 et 1945.
Cela est donc beaucoup plus profond, car ça se traduit par cette crise migratoire, celle-ci fait venir des masses, d’hommes, par millions issues du tiers monde musulman en plein coeur de l’Europe.
Nous avons donc deux types de réactions :
Première réaction : celle de l’Europe européenne, traditionnelle, de toujours qui est une réaction de défense et de dire face à ces arrivées massives : nous ne pouvons pas les accepter, ce sont des envahisseurs, c’est une menace existentielle. Pourquoi ? Parce qu’il y a entre eux et nous un fossé infranchissable. Il y a un « nous » et il y a un « eux », qui se traduit sur les plans religieux, culturel, individuel et au niveau des comportements.
Seconde réaction : celle de l’Europe de l’Ouest, qui est une synthèse sociale-démocrate libéraliste et droits de l’hommiste, qui dit : il n’y a pas de « eux » et de « nous », il y a qu’un « nous », avec par exemple, le dernier Algérien arrivé en France est un Français en devenir, qu’il suffira d’accompagner afin qu’il devienne Français ! Nous retrouvons bien sûr la même chose dans l’Allemagne de Angela Merckel, soutenue par le patronat.
Nous retrouvons donc ce fameux projet de société, de gouvernance mondiale judéo-maçonnique définissant leur configuration du monde, qui pousse pour la maximalisation de l’immigration et qui face à ce flot migratoire affirme que ce dernier, le « migrant musulman » est une chance pour l’Europe et qu’ils feront tout pour l’intégrer.
Quatrième ligne de rupture :
La volonté d’un certain nombre de pays de se réaffirmer indépendant des USA, ce qui correspond à une rupture à l’Ouest avec le statu quo qui est porté par le soi-disant projet européen. Cela, avec les partis de la pseudo-mouvance radicale européenne (comme le FN pour la France et l’UKIP pour l’Angleterre) et des partis d’extrême gauche pas spécialement marxistes, composés de jeunes qui se refusent de payer la note des emprunts auprès des créanciers internationaux.
Cette jeunesse, qui à l’époque, n’était pas en âge d’urner en faveur de ceux qui ont contracté ces mêmes crédits, refuse aujourd’hui d’être ponctionnée encore plus sur ses impôts afin de rembourser cette dette. Mais ces partis qui ont le vent en pourpre, ont-ils réellement la solution ? Non car, ils font maintenant parti du « dit » système et ne dénoncent pas la vraie problématique : c’est à dire : la gouvernance mondiale judéo-maçonnique, car ce n’est pas politiquement respectable…
Cet effondrement de l’Union européenne n’est qu’une étape, un préalable, l’effondrement est présent dans chaque État membre, d’un point social, économique, anthropologique et bien évidemment sur le plan racial et ethnique. Nous le voyons bien en France, où notre pays est devenu une véritable « poudrière ethnique », une espèce de « gigantesque Kosovo » que nous retrouvons également en Belgique et Allemagne plus particulièrement.
Cette dynamique de désarticulation soutenue par les différents gouvernements en place avec entre autres cette arrivée massive de « réfugiés musulmans » sur pressions de forces internationalistes et financières, sont en train de dénoncer l’islamisme et de le combattre simultanément à l’étranger notamment en Irak et en Syrie et refuse d’admettre qu’il y a un lien entre islamisme, terrorisme et faillite de ce qu’ils ont appelé « l’intégration ».
Conclusions :
En affirmant, qu’il faut toujours plus d’immigration et dénonçant en même temps l’islam, cette schizophrénie nous explosera à la figure, car il est bien évident que ces deux courants en totale opposition sont inconciliables. Cette politique nous conduira vers l’implosion des états membres de l’Union européenne puis de l’Union européenne elle-même. Ce chaos qui nous entraînera directement vers des conséquences géopolitiques graves : c’est-à-dire, vers une guerre civilisationnelle incontournable.
Alors pourquoi les différents gouvernements font-ils cela ? C’est l’objectif du marxisme culturel et économique, c’est-à-dire leur gouvernance mondiale dont le but principal est de faire disparaître les nations européennes par le biais du métissage. Ainsi, les peuples du Vieux Continent deviendront une sorte de sous-hommes, issus du métissage, créant ainsi un troupeau multinational, sans qualité et facilement contrôlable par l’élite dominante, comme l’expose déjà en 1922 l’un des instigateurs du processus d’intégration européenne et fondateur du plan mettant en oeuvre le génocide des peuples d’Europe : Richard Coudenhove-Kalergie.
Les serviteurs de la mondialisation essayent de nous convaincre que renier notre identité devient un acte humanitaire et de progrès, que le « racisme est mauvais », car ils nous veulent tous comme des consommateurs aveugles. Il est urgent, aujourd’hui plus que jamais, de montrer les mensonges du système afin de réveiller « le bon esprit révolutionnaire » des Européens et par conséquent des Français. Chacun doit voir cette vérité : l’intégration européenne s’apparente à un génocide.
Arnold Schwarzenegger a allume le chandelier geant faisant face a la tour Eiffel, avant de se lancer dans une ronde endiablee.
http://www.dailymail.co.uk/tvshowbiz/article-3348611/Arnold-Schwarzenegger-mobbed-fans-Paris-takes-global-COP21-Conference.html
https://youtu.be/v8bXYBD8IME
Il faut absolument lire , relire ou faire découvrir cet homme : M. Pierre Hillard !