Après le déboulonnage des statues, après le genou à terre de l’homme blanc et occidental devant le Noir, voici un nouvel incendie de cathédrale, cette fois-ci à Nantes. Placé en garde à vue le 18 juillet, un ressortissant rwandais, chargé de l’ouverture et de la fermeture des portes de la cathédrale, a été remis en liberté dimanche 19 juillet sans aucune poursuite à son encontre. Pour son avocat, Me Quentin Chabert, son client est étranger à l’affaire. « En l’état actuel de ce que je connais de la procédure, il n’y a aucun élément qui rattache directement mon client à l’incendie de la cathédrale. Il n’y a pas eu de vies humaines qui ont été mises en danger. En l’état actuel personne n’a perdu la vie », a-t-il expliqué assez étrangement à BFMTV. Car en quoi le fait qu’il n’y ait pas eu fort heureusement de victimes rend cet acte plus acceptable, moins monstrueux ? Et qu’entend exactement Maître (et non colonel) Chabert quand il déclare étonnamment qu’il n’y aucun élément à sa connaissance qui rattache directement son client à l’incendie ? Est-ce à dire qu’il y serait mêlé indirectement, d’une certaine manière ? Et si oui comment, jusqu’où, dans quelles circonstances ? Ces considérations sont pour le moins inhabituelles.
Et l’avocat d’ajouter de manière encore plus surprenante : « Deuxième élément, s’il s’avérait que la cause de cet incendie n’était pas accidentelle, la meilleure des communautés pour pouvoir faire preuve de miséricorde vis-à-vis de l’auteur ou des auteurs de l’incendie, c’est bien la communauté catholique ». Autrement dit, un incendie qui a complètement détruit le magnifique grand orgue datant du XVIe siècle, endommagé fortement la majestueuse rosace, souillé et profané un lieu de culte, et mis en danger des vies humaines, l’acte criminel ayant eu lieu le samedi 18 juillet en début de matinée, donc à une heure où des personnes auraient pu être blessées voire tuées dans le brasier, n’a au fond aucune espèce d’importance. ll faut faire preuve de miséricorde à l’égard des incendiaires qui au fond mériteraient presque d’être loués puisqu’ils permettent aux catholiques d’exercer ainsi le pardon des offenses. De qui se moque-t-on ? Si un avocat faisait preuve d’un tel cynisme et d’une telle complaisance, à l’égard des incendiaires d’une mosquée ou d’une synagogue, ce serait immédiatement l’hallali. On exigerait de lui des excuses publiques et la LICRA, Sos-Racisme, l’UEJF le poursuivraient en justice sur-le-champ. Mais quand il s’agit d’un édifice catholique, on peut tout se permettre.
Arrivé du Rwanda il y a quelques années, cet homme de 39 ans est suivi et hébergé par le diocèse conciliaire. Il cherchait à faire renouveler son visa et « était en discussion avec la Préfecture sur ce point », précise le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès. Ce Rwandais était en réalité très mécontent du refus de la Préfecture de renouveler jusque-là son visa et n’aurait pas dissimulé sa colère, selon des proches. Aurait-il alors cherché à se venger en incendiant la cathédrale, ou en permettant à des complices (puisqu’il disposait des clefs) de mettre le feu à l’édifice sacré ? Ou est-il totalement étranger à l’affaire ? Nous n’en savons rien à ce stade. Sa garde à vue aurait duré plus de 24 heures à cause, nous dit-on, des difficultés de traduction, le jeune Rwandais ne maîtrisant pas la langue de Molière.
On peut toutefois s’étonner de la légèreté du clergé moderniste nantais accordant toute sa confiance, au point de lui confier le soin de l’ouverture et de la fermeture quotidienne de la cathédrale, à un Rwandais récemment arrivé en France, que rien ne rattache au pays, et dont nous ne savons à peu près rien des origines, du parcours, du profil, des convictions réelles, des mobiles et des buts poursuivis. Non plus que de la santé mentale. Autrefois, on était beaucoup plus prudent et circonspect avant d’engager quelqu’un, fût-ce de manière bénévole, et de lui accorder des responsabilités. Une dame qui cherchait une domestique, une femme de ménage, demandait ainsi couramment à la personne candidate à cette fonction : « Madame, avez-vous des références ? » Et l’on sait que dans les campagnes, avant d’accorder sa confiance à un étranger, à une personne récemment arrivée et qu’on ne connaissait pas, beaucoup de temps s’écoulait. Il fallait que l’étranger fît ses preuves, manifestât sa loyauté, fût de bonnes mœurs pour que la méfiance ou la réserve à son endroit disparût. Aujourd’hui on fait fi de cette prudence jugée insuffisamment généreuse, on s’interdit toute période probatoire, on prend le premier venu comme employé, compagnon, collaborateur, conjoint, et on s’étonne après que les catastrophes et les tragédies se multiplient. Qu’on ne compte pas en tout cas sur Bergoglio pour inverser la vapeur. François vient en effet d’ajouter aux litanies de la Très Sainte Vierge, dites litanies de Lorette, une invocation en faveur des migrants. Selon le successeur de Benoît XVI, il faut prier la Mère de Dieu sous un nouveau vocable : « Solacium migrantium » que l’on peut traduire comme Aide des migrants. Bergoglio n’en est pas à sa première initiative spectaculaire en faveur d’une politique immigrationniste, mondialiste, œuvrant à l’invasion du Vieux Continent par des millions de migrants, pour la plupart mahométans. Il avait déjà dit de la Sainte Vierge qu’elle était une femme métisse, avait nié son rôle de Corédemptrice et avait fait installer sur la place Saint-Pierre-de-Rome un monument en faveur des migrants.
L’ajout de ce vocable, théologiquement très contestable (on n’est pas migrant toute sa vie, ce n’est pas une qualité pérenne), et qui s’adresse pour l’essentiel à des non-catholiques (la plupart des migrants pénétrant en Europe n’ont pas reçu le baptême) prouve, de manière superlative, que les intrus du Vatican, déjà totalement soumis au judaïsme et au sionisme international, sont les fourriers actifs de l’invasion de notre continent, de la destruction de notre civilisation chrétienne, et qu’ils sont même prêts pôur cela à introduire dans la liturgie, dans les prières officielles, dans les invocations les plus traditionnelles et les plus belles de la piété catholique, leurs obsessions mondialistes, leur feuille de route planétarienne. Ce qui est pour nous une difficulté supplémentaire. Car il ne s’agit pas seulement de se battre aujourd’hui contre les cénacles mondialistes, mais aussi contre les modernistes qui depuis soixante ans participent activement à la destruction de la foi, du culte, des sacrements, au tarissement de la grâce, à l’apostasie générale, à la perte des repères moraux et doctrinaux, au vide spirituel, à la vile trahison d’une civilisation plurimillénaire et au total reniement de Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie.
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RIVAROL.
Editorial du numéro 3434 de RIVAROL daté du 22 juillet 2020
voila un article qui apporte un autre éclairage que les versions « officielles »,il est temps de nommer un heydrich comme ministre de l’intérieur
Oui oh, ils peuvent brûler ce qu’ils veulent comme ils veulent, c’est eux qui vont habiter là maintenant.
Je reviens d’un petit tour à Paris porte de Bagnolet; comme ça, pour vérifier:
Que des réfugiés rwandais partout, dans les rues, les appartements, les squares, les boutiques, ils ont même des boutiques bio.
Tout est de plus en plus normal, maintenant, tout le monde porte des masques.
Sur le chemin sur Radio Courtoisie, un indécrottable bien-pensant nous expliquait que les cathédrales portaient des messages pour toute l’humanité, pas seulement les Français, et aussi que la création n’était pas terminée, elle était en cours, il devait penser à la création de la France, qui avait bien besoin d’être créée après 2 000 ans d’existence.