L’Afrique Réelle est la revue mensuelle de référence de Bernard Lugan, au format PDF d’une vingtaine de pages, envoyée le premier de chaque mois aux abonnés par courrier électronique (60 € annuel). Elle aborde l’actualité, l’histoire et les questions africaines par une approche pluridisciplinaire : géopolitique, historique, économique, culturelle, anthropologique et géographique. L’abonnement à la revue donne droit à l’envoi par e-mail des communiqués et analyses ponctuelles.
SOMMAIRE :
Actualité :
- Algérie : quel avenir pour les exportations de gaz naturel ?
- Le Rwanda et la RDC
Dossier : Génocide du Rwanda 30 ans plus tard
- Les faits, rien que les faits…
- Assassinat du président Habyarimana : l’enquête interdite
- Un non-lieu qui pose bien des questions…
- Ces Tutsi qui accusent le FPR d’avoir assassiné le président Habyarimana
ÉDITORIAL :
Génocide du Rwanda : 30 ans plus tard
Il y a trente ans le 6 avril 1994, était assassiné le président hutu Juvénal Habyarimana, attentat qui, selon le TPIR (Tribunal pénal international du Rwanda) fut le déclencheur du « génocide du Rwanda » ou « génocide des Tutsi du Rwanda ».
Depuis, les médias répètent l’histoire officielle écrite par le régime de Kigali, à savoir que ce génocide fut « programmé » et « planifié » par les « extrémistes » hutu.
Or, ce postulat a volé en éclats devant le TPIR. Ce tribunal créé par le Conseil de sécurité de l’ONU et qui siégea à Arusha, en Tanzanie, de 1995 à 2016, a en effet, et dans tous ses jugements concernant les « principaux responsables du génocide », que ce soit en première instance ou en appel, clairement établi qu’il n’y avait pas eu « entente » pour le commettre.
Si ce génocide n’était pas programmé, c’est donc qu’il fut provoqué… Aujourd’hui nous savons que ce qui le déclencha ce fut l’assassinat du président Habyarimana.
Or, spécialement créé pour juger les responsables du génocide, le TPIR fut interdit par les Etats-Unis et par la Grande-Bretagne de rechercher les auteurs de l’acte terroriste qui en fut la cause !!! Ce faisant, Washington et Londres protégèrent donc de facto ceux qui assassinèrent le président Habyarimana.
Quant à la justice française, la seule ayant véritablement enquêté sur cet attentat, après 21 ans d’enquête, paralysée par d’incessantes interventions et manœuvres politico-médiatiques, elle a finalement renoncé à en identifier les auteurs. Certains prétendent que cela aurait pu être sur ordre du pouvoir politique français…
De fait, la France courtise le régime de Kigali qui n’a pourtant jamais cessé de la vilipender et qui a effacé le français au profit de l’anglais.
Cela n’a pas empêché le président Macron de faire nommer à la tête de l’Organisation de la Francophonie, une des plus proches du président Kagamé…
A telle enseigne que, de reniement en reniement et de lâcheté en lâcheté, en Afrique, la France est quasiment considérée comme l’alliée du Rwanda… Ce qui n’est pas pour rien dans le mépris dont elle est aujourd’hui l’objet sur le continent…
Pour un bilan de la question on se reportera à mon livre : Rwanda : un génocide en questions et à mes expertises devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda).
Bernard Lugan
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Joe Vialls explique dans son article que les organisateurs du génocide rwandais n’ont pas seulement préparé l’attentat contre l’avion du Président Habyarimana, ils ont aussi organisé les tueries massives qui ont eu lieu pendant les trois mois qui ont suivi cet attentat. Les hutu étaient visés. Des organisations au service des américains se sont assurées qu’ils soient bien armés et ont envoyé des agitateurs dans la foule dès que l’avion du Président a été abattu. A ce moment des antennes paraboliques ont envoyé vers la foule hutu des micro-ondes calibrées pour produire une rage instantanée et incontrôlable. Les antennes paraboliques étaient placées sur les rampes de chargement de trois avions qui ont effectué des centaines de sorties dans les trois mois qui ont suivi l’attentat.
Opérations américaines de contrôle mental au Rwanda et l’Irak – Opération Crimson Mist
(Grands-Lacs Confidentiel 09/03/2006)
Joe Vialls, un militaire australien à la retraite expose un autre aspect du génocide
rwandais qui, jusqu’à présent, reste inconnu du public. Nous traduisons ci-dessous des extraits de son article intitulé « American Mind Control Operations in Rwanda
and Iraq ». Cet article est intégralement disponible en Anglais à l’endroit suivant :
(http://www.vials.com/subliminalsuggestion/mindcontrol.html).
Dès janvier 2002, Grands Lacs Confidentiel a informé ses lecteurs sur les ‘progrès’ de la science maléfique, en particulier, sur les armes climatiques, électromagnétiques,
sismiques. Cette information précisait les aspects artificiellement flagrant dans
l’éruption du Nyiragongo le 17 janvier 2002, lors du raz de marée (tsunami) du 26 janvier 2004 ainsi que lors de l’impossible tremblement de terre dans la région de Kalémie le 5 décembre 2005. Les armes que nous décrivons aujourd’hui tombent
dans la même catégorie et ce sont les mêmes personnes qui les possèdent, les
utilisent, camouflent leur existence et profitent des crimes selon un plan bien établi.
Ces nouvelles armes découlent de la découverte scientifique que certaines
fréquences agissent sur le cerveau humain et peuvent modifier le comportement des
individus et des foules. Joe Vialls explique dans son article que les organisateurs du génocide rwandais n’ont pas seulement préparé l’attentat contre l’avion du Président Habyarimana, ils ont aussi organisé les tueries massives qui ont eu lieu pendant les trois mois qui ont suivi cet attentat. Les hutu étaient visés. Des organisations au service des américains se sont assurées qu’ils soient bien armés et ont envoyé des agitateurs dans la foule dès que l’avion du Président a été abattu. A ce moment des antennes paraboliques ont envoyé vers la foule hutu des micro-ondes calibrées pour produire une rage instantanée et incontrôlable. Les antennes paraboliques étaient placées sur les rampes de chargement de trois avions qui ont effectué des centaines de sorties dans les trois mois qui ont suivi l’attentat.
Si cette information est exacte, les équipages des trois avions sont responsables de tous les massacres qui ont eu lieu au cours des trois mois pendant lesquels ils ont opéré leurs machines diaboliques. Cela inclut le massacre de tutsi qui n’étaient pas
prévenus et ont été sacrifiés pour que leur mort soit utilisée comme facteur de sympathie, en faveur des tutsi qui, eux, n’ont pas été sacrifiés.
Cela inclut le fait de transformer des individus normaux en criminels, et par-là même de ruiner leur vie et d’initier le cercle de la violence qui continue jusqu’à aujourd’hui.
Les équipages des trois avions sont aussi responsables de toutes les conséquences du
‘génocide’ qu’ils ont créé. Cela inclut le crime de qualifier de génocidaire tout un
peuple innocent, et les conséquences de ce fait, en particulier le feu vert que cela a
donné à l’armée rwandaise pour massacrer les hutu au Rwanda et au Congo et
l’indifférence de la Communauté internationale devant ces crimes. Cela inclut tous
les crimes commis par Kagame, un des principaux bénéficiaires de ce faux génocide,
en particulier l’attaque du Congo, les massacres et autres atrocités qui l’accompagnent.
Les chiffres indiquent clairement que les équipages de ces trois avions comptent parmi les plus grands criminels de tous les temps. Le texte traduit ci-dessous indique que les
membres des équipages étaient parfaitement informés et conscients de leurs
actions et des conséquences qui en découleraient. Beaucoup de nos lecteurs ne seront pas surpris. Le génocide rwandais est incompréhensible pour quiconque a confiance dans la nature humaine. Seule l’information que nous présentons ci-dessous peut réconcilier l’horreur de cette réalité avec la valeur de l’être humain. Voici notre traduction du texte que vous pouvez lire en Anglais en cliquant sur
(http://www.vials.com/subliminalsuggestion/mindcontrol.html):
LA BME
https://www.la-bme.fr/auteur/