Un rappeur antifasciste, Pavlos Fyssas, célèbre pour ses appels à la violence contre les nationalistes, a trouvé la mort lors d’affrontements avec des Grecs attablés à un café pour regarder un match de football. Attaqués par les communistes, les supporteurs ont appelé des renforts, dont un homme de 45 ans qui serait à l’origine de la mort de l’antifasciste.
Selon un scénario bien rôdé et hélas bien connu, les faits ont immédiatement conduit à une vaste manipulation médiatico-politique, faisant passer les agresseurs d’extrême gauche pour des « victimes », eux qui étaient venus attaquer de simples citoyens regardant dans le bar d’un quartier populaire de l’ouest d’Athènes un match à la télévision.
Ce fait a conduit les habituels défenseurs des antifascistes, du Parti communiste à la droite libérale-conservatrice, à appeler à nouveau à la dissolution de l’Aube dorée dont l’influence ne cesse de grandir. Le mouvement nationaliste, s’impose jour après jour dans la rue comme dans les esprits, face à l’incurie et la déliquescence de l’État. Seuls contre tous, les militants de l’Aube dorée s’opposent aux dégâts causés par l’immigration, la corruption, le capitalisme sauvage comme aux agressions des antifascistes. Ces derniers, comme le montrent encore aujourd’hui les réactions unanimes de la presse capitaliste tant en Grèce qu’à l’étranger, sont soutenus sans faille par le système, reprenant leurs mensonges et leurs mots de (dés)ordre.
Suite à cet incident, les antifascistes ont organisé des émeutes à travers le pays. Ils ont notamment tenté d’attaquer les locaux de l’Aube dorée dans plusieurs villes ; ils ont renoncé face aux militants déterminés du mouvement qui ont fermement défendu leur parti.
L’État a mené plusieurs perquisitions contre l’Aube dorée, les juges obéissant notamment aux ordres du parti d’extrême gauche Syriza. Chaque perquisition s’est soldée par un échec, les enquêteurs étant repartis sans avoir trouvé le moindre élément incriminant, pas plus de complots que d’armes, quand les extrémistes de gauche défilent ouvertement armés et lancent des appels aux meurtres et à l’émeute.
Face aux pillages et agressions des antifascistes, la police est parfois intervenue, comme ici à Athènes :
A noter que les antifascistes en France, coupables ces derniers mois de multiples exactions, ont annoncé un rassemblement ce jeudi soir à 19 heures. Cette manifestation n’a pas été interdite par la Préfecture de police de Paris, alors que samedi dernier encore, des passants ont été attaqués dans un bar par le groupuscule violent « Action antifascistes Paris-Banlieue », dont les membres, connus et identifiés, bénéficient de la part de la police et de la justice françaises de la même impunité que les racailles antifascistes en Grèce.
C’est un lieu commun de le dire : pour une information concernant un antifasciste – qui venait agresser de simples supporteurs – les médiats masquent les violences commises contre cent nationalistes. Ces derniers mois, à Agrinio, un Grec a été grièvement blessé à coups de couteaux et tournevis par des anarchistes. Les locaux de l’Aube dorée ont été attaqués, notamment touchés par des cocktails molotov à Chania et Patras.
Dans cette dernière ville, un homme d’une soixantaine d’année a été grièvement à la tête et à la poitrine le 24 juillet. Il a été extrait de sa voiture, qui a été gravement endommagée ; sa femme a également été blessée ainsi que l’autre occupant du véhicule.
Aucune des racailles n’a été arrêtée. L’agression s’est produite à l’issue d’une manifestation célébrant la mémoire des héros tombés lors de l’invasion de Chypre et sous les yeux des forces de l’ordre de l’État grec, qui ont clairement laissé faire. Indymedia a par la suite revendiqué l’agression.
En décembre 2012, des hommes attablés à la terrasse d’un café sont attaqués par une cinquantaine de racailles à Volos, à côté de l’université. Un homme de 55 ans a été grièvement blessés.
En décembre 2012, un local du mouvement a été l’objet d’un attentat à la bombe. Les impacts ne laissent aucun doute sur l’intention meurtrière des criminels antifascistes.
En mars, ce sont les locaux de Messolonghi qui avaient été touchés par un attentat.
C’est vrai que pour la Grèce, le terme « taubiracailles » s’imposent moins évidemment qu’en Spéhi ! Faudrait voir…
Dans la deuxième vidéo, on voit de dos une grosse mémère (c’est-à-dire, dans les pays méditerranéens, qu’elle doit avoir 25-30 ans…) qui court inconsciemment, ou courageusement, ou témérairement, vers la bagarre sanglante !… Elle ralentit et s’arrête toutefois : l’information a eu le temps de remonter à son cerveau.
Tandis que moi, pétochard, j’avais déjà décarré pour me réfugier dédaigneusement derrière mon écran, d’où je juge le monde, tout, et le reste.
Comptons sur Aube dorée pour avoir prévu une solution de repli au cas où Bruxelles ordonnerait sa dissolution.