Bill Cosby a été une « star » de la télévision américaine, promue par les médiats juifs pour suppurer les écrans américains. C’est le Juif Carl Reiner qui le « découvrit » et fit de lui une vedette, jusqu’à lui obtenir sa propre série télévisée, le Cosby Show. Jusque-là, les héros télévisés américains étaient aimant, courageux, dignes, propres et altruistes. C’était le début de l’inversion des valeurs dont chacun peut constater le résultat cinquante ans plus tard avec des antihéros drogués, trompant leurs femmes, homosexuels, dépressifs, psychopathes, etc.
Dès les années 60, le vers était dans le fruit comme en témoignent ces faits. C’est bien après qu’ils se soient produits, qu’une première accusation était arrivée devant la justice en 2006. La plainte avait finalement été retirée après que Bill Cosby eut accepté de verser de l’argent à sa victime. Depuis, une quinzaine d’autres femmes ont révélé avoir subi des viols de Bill Cosby. Toutes décrivent un processus identique : droguées, alors qu’elles se trouvaient avec lui pour travailler notamment, puis violées. Le « collectionneur d’art afro-américain » multimillionnaire s’apprêtait à revenir à la télé ces dernières semaines quand plusieurs voix se font faites entendre.
Devant la gravité des accusations, même David Letterman a été contraint d’annuler une émission où Bill Cosby devait être la vedette, malgré les révélations passées.
L’auteure Joan Tarshis a dénoncé un viol commis en 1969, alors qu’elle avait 19 ans.
« Je n’ai pas appelé la police parce que je n’avais que 19 ans à l’époque. J’avais peur et je pensais que personne ne me croirait. Bill Cosby, c’était Monsieur Amérique »
a-t-elle expliqué.
Même explication pour Tamara Green :
« C’est un prédateur sexuel. Je ne conteste pas le fait que cet homme a également répandu le bien autour de lui, mais il est plein de failles et il s’octroyait tous les droits des années durant en raison de son statut et de sa célébrité. »
Une autre personnalité, Janice Dickinson, a confirmé des faits similaires à son encontre.
Pendant ce temps-là, Bill Cosby, par l’intermédiaire de son avocat, a fait déclarer :
« Il aimerait remercier tous ses fans pour leur soutien. Aucune autre déclaration ne sera faite ».
L’avocat qui avait défendu Dominique Strauss-Kahn après son viol dans une chambre d’hôtel, Benjamin Brafman, affirme que si des plaintes étaient déposées, et même si les faits sont avérés, les chances de condamnations sont faibles.